Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

dimanche 20 septembre 2015

Et si on aidait les « réfugiés » à retourner se battre pour libérer leur pays ?


Examinons ce problème des « migrants », devenus « réfugiés », sans a priori et avec objectivité. On constate que la très grande majorité de ces « réfugiés » sont des jeunes apparemment en bonne santé physique (si l’on en juge d’après leur combativité contre les forces de l’ordre des pays qui les réceptionnent) et, nous dit-on, d’un niveau intellectuel élevé.

Ils quittent, disent-ils, leurs pays en guerre non pas parce qu’ils sont des lâches mais parce qu’ils ne veulent pas être tués sans pouvoir se défendre. Ce qui est tout à fait compréhensible. Les enfants et les femmes que nous accueillons doivent être pris en charge, c’est un devoir d’humanité et, depuis des décennies, nous n’en manquons pas.

Mais pour les 80 % de ces « réfugiés », tous jeunes et en bonne santé et si désireux de défendre leur patrie, de participer à la libération de leur pays, de combattre les ennemis, la solution m’apparaît simple : pourquoi ne pas prendre la décision de former et d’encadrer militairement, en quelques semaines, ces dizaines de milliers de jeunes « réfugiés », de les armer et de les transporter dans leurs pays afin qu’ils puissent combattre ceux qui les chassent, qui les assassinent.

80 % de 800.000 « réfugiés », cela ferait une armée irrésistible contre laquelle l’État islamique ne résisterait pas très longtemps, que ce soit en Syrie, en Irak où en Libye. N’est-ce pas le rôle, le devoir des pays européens de les aider à reconquérir leurs territoires ? Et non pas de prévoir, d’ores et déjà, le regroupement familial afin qu’ils s’installent définitivement dans nos pays…

Ne nous dit-on pas que ces « réfugiés » sont destinés à retourner chez eux, une fois la paix rétablie ?

Mais par qui sera-t-elle rétablie, si ce n’est par eux-mêmes ? N’est-ce pas ce que font les Kurdes (femmes, hommes et même vieillards) depuis des mois ? Et cela malgré les bombardements des Turcs et l’indifférence d’autres nations. N’est-ce pas ce que font les milices ?

Au lieu de fournir en armes on ne sait trop qui, ne serait-il pas plus logique de les remettre à des « patriotes » volontaires pour repartir se battre le plus tôt possible ? N’est-ce pas là leur objectif prioritaire, avant qu’il ne soit trop tard ? Cette solution nous coûterait bien moins cher que ce que l’Europe versera aux dizaines de milliers de « réfugiés », et aux villes qui les accepteront, et profiterait à nos fabricants d’armes en tout premier lieu.

Entendons-nous bien : cette solution ne peut être envisagée que s’il s’agit de « réfugiés » destinés à retourner chez eux et non pas de « migrants » prêts à s’installer et à être assistés définitivement…

Manuel Gomez