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samedi 13 février 2016

Accidents d’éoliennes : l'omerta des médias


2 techniciens s’enlacent avant de mourir lors de l’incendie de l’éolienne


Chaque année, de nombreux accidents d’éoliennes sont à déplorer, parfois très graves, causant souvent des dégâts environnementaux, des blessés et même parfois des morts. Pourtant, ces accidents ne sont pratiquement jamais relatés par les médias.



Déjà cette année, au moins deux accidents sérieux se sont produits. Le premier est un incendie qui s’est déclenché le 14 janvier 2016 lors de travaux d’entretien dans une nacelle d’une éolienne à Uedem, dans l’arrondissement allemand de Clèves, le long de la frontière hollandaise. Les trois techniciens ont réussi à s’échapper mais deux ont été blessés, dont l’un tellement grièvement qu’il a dû être évacué par hélicoptère.

Les pompiers sont intervenus, mas vu la portée bien insuffisante de leurs lances, ils n’ont pu atteindre la nacelle qui a brûlé pendant trois heures jusqu’à épuisement des combustibles (dont une demi-tonne d’huiles minérales). Ils ont établi un périmètre de sécurité de 500 mètres de rayon (80 hectares) et demandé aux habitants des villages voisins, pourtant distants de plus d’un kilomètre, de rester confinés chez eux, fenêtres fermées, pour se protéger des épaisses fumées, probablement toxiques, que dégageait l’incendie (Source : site des pompiers d’Uedem).











Et le 8 février 2016, la première éolienne à avoir été érigée en Bretagne, à Dinéault, en 1999, a été partiellement détruite par une tempête, perdant deux de ses trois pales. Il n’y a aucune victime à déplorer car, heureusement, les débris des pales n’ont pas atteint les habitations les plus proches, pourtant situées à seulement 300 m de l’éolienne (source : Le Télégramme).

Aucun de ces deux accidents n’a été signalé dans les grands médias : à part des sites opposés à l’éolien, seules quelques gazettes locales en ont parlé. Pourtant, dès qu’un incident minuscule se produit dans une centrale nucléaire, cela fait la une de ces médias.







Par exemple, lorsque le 19 décembre 2015, un petit incendie s’est produit dans un tableau d’alimentation électrique situé hors de la partie nucléaire de la centrale de Tihange et qu’un travailleur situé dans un autre étage «s’est plaint de picotements», tous les grands médias ont couvert cet incident, certains même comme RTL cachant la bénignité des faits. Clairement deux poids, deux mesures…

Car les dizaines d’accidents d’éoliennes, qui se produisent chaque année dans le monde (voir liste en anglais), sont presque tous cachés par les grands médias.



Et même des accidents très sérieux ont été occultés, comme l’incendie d’une éolienne à Ooltgensplaat, le 29 octobre 2013, aux Pays-Bas, qui avait fait deux morts : deux techniciens de maintenance, âgés de 19 et 21 ans, avaient tenté de s’échapper du feu en montant sur le toit de la nacelle; voyant les flammes s’avancer,  ils s’y étaient enlacés (voir photo) et, pour échapper aux flammes, l’un d’eux s’était jeté dans le vide, alors que le cadavre de l’autre fut retrouvé calciné dans les débris de la nacelle (source : LiveLeak).

Une chose est certaine, c’est que les médias cachent délibérément toute information contraire aux idéologies dominantes, comme l’éolienne, cette « énergie du futur » (vieille de plus de 2000 ans), l’immigration, cette « chance pour l’Europe » ou l’islam, cette « religion d’amour et de paix ».

Les raisons possibles de cette omerta journalistique sont nombreuses : crainte d’être banni pour des propos « politiquement incorrects », adhésion à l’idéologie gauche-écolo dominant dans les médias, dissonance cognitive amenant les journalistes à refuser les réalités qui les dérangent (lire notre article « Politiciens et journalistes : tous menteurs ? ») ou contrôle des médias par le pouvoir politique, comme en Allemagne (lire notre article Médias : « le gouvernement décide des sujets », dit l’ex-chef de la télévision ZDF! »)…

Mais quelles que soient les raisons, les grands médias nous trompent sur ces sujets, délibérément et en toute impunité. Seuls, quelques médias indépendants, comme Le Peuple, osent présenter les vérités qui dérangent aux dogmes dominants, malgré qu’ils soient violemment critiqués pour cela. Sans eux, le peu de liberté de presse qu’il reste disparaîtrait à tout jamais…













J.S.