Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

vendredi 11 mars 2016

Allemagne : la fuite d'un rapport de police révèle un pic d'augmentation des crimes des migrants


Le pire resterait à venir. Selon le rapport, les crimes liés aux migrants seraient plus nombreux qu'on ne le pense, et risquent encore d'augmenter, notamment concernant les stupéfiants et les agressions sexuelles.

93 000 ! C'est le nombre de fois l'année dernière où la police a du intervenir dans des centres de réfugiés pour résoudre des conflits d'ordre culturel, ethnique, religieux, liés au logement, au manque de place et d'intimité, ainsi que des problèmes liés à la surconsommation d'alcool.

Issues d'un rapport censé être confidentiel intitulé «Challenges et impact sur la police», ces informations ont fuité dans les pages du magazine allemand Spiegel.

Provenant du service intérieur de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, elles dressent un portrait inquiétant des problèmes à venir liés à l'immigration et à la radicalisation, qui risquent de peser lourdement sur les capacités de la police.

Pourtant, le rapport souligne aussi qu'une grande majorité de migrants ne sont pas des délinquants.

Les conclusions de ce rapport seraient plus alarmistes que celles de l'année dernière explique Express.co.uk, car le précédent aurait omis d'inclure les statistiques de trois des 16 Etats fédéraux.

En 2015, l'Allemagne a enregistré 1,1 millions de migrants, qui selon le rapport seraient responsables de 200 000 crimes. En 2016, si Angela Merkel maintient sa politique pro-migrants, Berlin pourrait accueillir 1,5 millions de migrants supplémentaires s'inquiète Horst Seehofer, ministre-président de Bavière.