Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mercredi 9 mars 2016

Des Syriens responsables et coupables de la mort du petit Aylan


Stupéfaction dans le camp psychopathe auto-flagellateur ! 
Voilà une info qui mérite d’être soigneusement… tue.


Ces jours-ci, deux informations relatives aux invasions migratoires, ne changeant pas spécialement la donne en tant que telles, mais parfaitement tues (sauf omission) dans les médias français et méritant, à ce titre, d’être soulignées. Débarquant de Mars, et prenant connaissance des derniers développements de l’actualité, j’ai bêtement cru que la mort du petit Aylan aux portes du paradis européen n’était due qu’à l’écœurante indifférence des gouvernants et habitants de ce dernier, et que la honte les accompagnerait, ainsi que leurs descendants, jusqu’à la fin des temps…

Et voilà qu’on apprend que la justice turque a expédié manu militari le procès des deux trafiquants syriens à l’origine du drame (notez bien leurs noms : Muwafaka Alabash et Asem Alfrhad) et les a envoyés derrière les barreaux pour une durée de quatre ans. À noter qu’au passage, les co-accusés ont désigné le père d’Aylan comme organisateur de la traversée. Curieux, en effet, que sa femme et son gosse n’aient, contrairement à lui-même, disposé de gilet de sauvetage… Stupéfaction dans le camp psychopathe auto-flagellateur : des Syriens responsables et coupables de la mort du petit Aylan ! Voilà une info qui mérite d’être soigneusement… tue. En effet, dans tué, il y a tue. (Algemeen Dagblad, 4 mars)

La seconde information constitue un cas intéressant de censure par omission concernant directement la France, ou du moins ce qui se passe dans sa « jungle » calaisienne. Le comportement d’un certain nombre d’envahisseurs migrants dans les rues de Calais ou dans son environnement portuaire ressemble parfois, d’ailleurs, au défilé des vainqueurs, tant leur apparente arrogance se double d’une quasi-impunité que leur assurent police et autorités, à en croire les vidéos non officielles disponibles sur la Toile.

Selon des propos relayés par la presse néerlandaise, des bénévoles du camp de Calais ont déclaré au journal britannique The Independent avoir observé un certain nombre de cas de viols de jeunes garçons ces six derniers mois, aussi bien à Calais que dans le reste de l’Europe d‘ailleurs. Vous me direz, enfin, je veux dire les antiracistes diront fort à propos que, dans toutes les « cultures », on pratique le viol des petits garçons, y compris celui couvert parfois par le cardinal du coin… Certes, certes, mais ce qui nous intrigue, c’est moins ces viols que le silence médiatique qui, comme par enchantement, les entoure…

Les victimes, âgées entre 14 et 16 ans, présentaient des blessures en lien avec les faits, mais sur les sept cas connus, seul un garçon a pu être examiné à l’hôpital, les autres craignant des réprésailles ou par sentiment de honte. Par ailleurs, selon Algemeen Dagblad, citant The Independent, l’organisation Save the Children constate également des cas de maltraitance concernant de jeunes garçons aussi bien à Calais que dans le reste de l’Europe. « Les organisations constatent un nombre croissant de types de maltraitance, parmi lesquelles le viol, essentiellement du fait de bandes criminelles », déclare un correspondant au journal britannique. de Volkskrant relate également que « les bénévoles œuvrant à Calais ne semblent avoir aucune confiance dans la police française, qui semble s’en laver les mains », selon un témoignage anonyme.

Nous n’irons pas aussi loin, sachant que la police obéit aux ordres du politique… L’Europe paradis, donc, mais exclusivement pour passeurs, mafias et trafiquants, semble-t-il.

Silvio Molenaar