Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

lundi 28 mars 2016

Le racisme anti-blanc, çà commence comme cela…


#Tous-unis-contre-la-haine mais une haine hémiplégique à tendance autiste



Par un clip de propagande du gouvernement financé par tous mais qui en exclut certains. Un clip contre l’islamophobie et l’antisémitisme qui exclut, d’emblée, les actes racistes à l’encontre des Blancs ou des chrétiens.

Le racisme anti-blanc, ça commence par la relaxe d’un rappeur qui chantait « Nique la France » : « Ce que j’en pense, de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau et de leur hymne à deux balles. Je vais pas te faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment je me torche avec leur symbole écœurant », disait la chanson, écrite par le rappeur Saïdou, de son vrai nom Saïd Zouggagh.

Le tribunal correctionnel de Paris (mars 2015) avait alors estimé « que la notion ne recouvre aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique », que « la « blancheur » ou la « race blanche » n’est « en aucune manière une composante juridique de la qualité des Français » et que « les Français blancs dits de souche ne constituent pas un “groupe de personnes” ».

Pas de race, pas de racisme. Et nique la France

Le racisme anti-blanc ça commence par la multiplication des actes de profanation de lieux de culte ou de sépultures chrétiennes – près de deux par jour – sans que nos politiques s’en offusquent et avec le silence complaisant de nos médias. Ça perdure par une laïcité à tolérance variable qui admet les repas sans porc dans les cantines publiques et les élues voilées à la mairie d’Argenteuil, et s’offusque des crèches dans les lieux publics.

C’est la Légion d’honneur lamentablement attribuée au « rattrapage » à Aurélie Châtelain qui, au prix de sa vie, a évité un carnage dans une église de banlieue un dimanche. Un oubli pour un symbole.

Le racisme anti-blanc, ça commence par une relecture de l’Histoire : Clovis, Saint Louis ou François Ier, Henri IV, Louis XIV ou Napoléon ne sont plus étudiés dans les collèges français. Rayés des programmes ou relégués en option pour consacrer du temps, entre la sixième et la cinquième, à « l’enseignement des civilisations extra-européennes », de l’empire du Mali à la Chine des Hans. Effacer des manuels ceux qui ont fait rayonner la France, oublier nos conquérants d’hier pour apprendre à courber l’échine demain.

Et commémorer des défaites françaises : le 19 mars 1962

Le racisme anti-blanc, ça existe, ce sont aussi des crachats, des paroles et du sang, comme pour cette jeune fille de 18 ans violée par quatre individus dans un parc à Évry chez Manuel en 2014 : aucun remords, juste de la haine. Ils n’auraient pas touché la jeune fille si elle avait été turque. Ils l’ont agressée parce qu’elle était française et que « les Français sont tous des fils de pute ». Le juge qui les a fait incarcérer les a mis en examen pour viol en réunion et barbarie, mais aussi – plus rare – pour racisme.

#Tous-unis-contre-la-haine, mais une haine hémiplégique à tendance autiste. Une indignation porte-étendard du vivre ensemble. Qui trie les victimes en fonction de leur appartenance, hiérarchise les douleurs, classe les crimes par ordre d’importance.

Une haine qui en oublie une autre. Volontairement.

La définition du racisme, en quelque sorte.



Anne-Sophie Désir