Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

lundi 29 août 2016

La France doit retrouver un vrai chef d’État !




Permettez-moi d’être de très, mais alors de très, très mauvaise humeur. Pour des dizaines de motifs, mais pour l’un d’entre eux en particulier, qui n’est ni économique, ni philosophique, ni spirituel, mais bien politique. La décision du juge des référés du Conseil d’État d’accepter les doléances de deux associations dont l’une, au moins, mériterait un audit approfondi m’avait poussé à écrire un pamphlet. Beaucoup d’autres auteurs ont exprimé leurs sentiments sur ce burkini d’invention provocatrice. Mais, toute réflexion faite, c’est la politique qui me pousse vers le clavier de l’ordinateur.

Car tout est politique dès lors qu’il s’agit de l’islamisation en marche forcée de notre pays. Plus nos gouvernants cèdent, plus les revendications se font agressives. Et que les instances républicaines, officielles et souveraines encouragent un tant soit peu cette islamisation est révoltant. Scandaleux.

Innommable.

Comment une association – le CCIF -, dont on sait qu’elle est très controversée, dont les subsides publics lui permettent d’engranger tous les soi-disant actes « islamophobes », peut-elle désormais s’enorgueillir d’une décision prise par trois juges « indépendants » (hum ?) alors que l’on sait que les actes antichrétiens sont quotidiens et qu’ils viennent de coûter la vie à un prêtre ? Car ne vous y trompez pas, la République vient de délivrer un blanc-seing à tous les musulmans radicaux ou modérés, vos voisins peut-être, dont vous ne soupçonniez pas qu’ils puissent un jour vous provoquer, vous toiser en vous signifiant qu’ils ont désormais tous les droits de vous narguer avec leurs tenues mahométanes, leur ramadan, leur halal, leurs cinq prières quel que soit l’endroit et l’heure de celles-ci, etc.

Alors, oui, Robert Ménard, Jacques Myard , Marine Le Pen et bien d’autres, heureusement, ont raison : seules de nouvelles lois – donc la Politique, avec un grand P – peuvent et doivent nous sortir de cette situation que la France n’avait jamais connue depuis l’époque gallo-romaine. Une situation emblématique de la faiblesse de quarante ans d’une politique mollassonne qui a laissé envahir notre pays par des millions de gens venus du sud de la Méditerranée, qui n’avaient pas notre culture mais qui, surtout, voulaient garder la leur, et que nous n’avons pas été capables de franciser comme nous avions réussi à le faire pour les émigrés d’avant-guerre !

Ne comptons pas sur Nicolas Sarkozy, et moins encore sur Alain Juppé pour nous donner les lois qui refouleront quelques centaines de milliers de ces « Français de papiers », de faux Français que le regroupement familial et des frontières ouvertes nous ont imposés. Il faut arrêter les pompes aspirantes, stopper toutes ces aides qui attirent tous ces peuples que leurs États maltraitent, supprimer le regroupement familial. Que la loi impose à l’ensemble de nos concitoyens de respecter les origines chrétiennes de notre civilisation. Qu’elle impose aux « nouveaux Français » de se soumettre à nos us et coutumes. Que le droit du sol soit aboli.

La France doit retrouver la France. Ce sera par le biais de la politique, et des hommes politiques courageux qui n’ont aucune ambition personnelle. Après 40 ans de combines politiciennes qui ont enrichi nos hommes politiques, la France a besoin d’un homme qui fasse le don de sa personne à la France. Un vrai chef d’État.

Floris de Bonneville