Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

dimanche 30 juillet 2017

Foios ; ville espagnole ou le quotient intellectuel est identique à la température ambiante


Attention, ces images sont choquantes et d'un autre temps






La scène se passe dimanche 23 juillet, à Foios, une ville espagnole sise près de Valence, dans le nord-est du pays. Lors d’une fête populaire traditionnelle, des locaux ont mis le feu aux cornes d’un taureau. Prise de panique, la bête a foncé contre le poteau qui la retenait prisonnière encore quelques secondes auparavant. Selon des informations des médias locaux, l’animal est «mort sur le coup».

Plus tôt dans la journée, les aficionados valencians avaient eu droit à une autre tradition locale: le lâcher de taureaux dans les rues. Les bovins sont laissés libres dans les faubourgs ainsi que sur les places de la cité ibère et doivent «chasser» les passants. Le taureau mort en soirée avait alors grièvement blessé un jeune homme de 20 ans, qui avait dû être pris en charge par les services médicaux.

La vidéo de la mort du bovidé a été mise en ligne par une ligue de défense des animaux, dénonçant un acte barbare et le fait que des centaines de ce genre de «fiestas» ont lieu chaque année au pays. Sur les réseaux sociaux, ils sont nombreux à s’être offusqués de ce décès atroce. Les fans de tauromachie, eux, se défendent en affirmant que la bête n’a pas souffert et que cette tradition date de plus de 400 ans.