Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Classement des pannes automobiles par marques 2025 : https://fiabiliteautomobile.blogspot.com/ Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

lundi 7 juillet 2025

61% des auteurs de féminicides sont des étrangers

 

Le mouvement féministe a mis en lumière le phénomène des féminicides
DR


La «Schweiz am Wochenende» consacre ce samedi une large place au féminicide et au débat autour de l’importance de l’origine migratoire des auteurs. Pour le PS, il s’agit d’un problème 100% masculin et le contexte migratoire n’est pas pertinent. L’UDC au contraire trouve qu’il s’agit à 100% d’un problème lié aux étrangers. Les deux partis sont unanimes sur une chose: l’Office fédéral de la statistique ne dispose pas de données suffisantes sur ce sujet.

Or, en se penchant sur les chiffres des statistiques comme l’a fait le journal alémanique, on remarque qu’en 2020, il y a eu 28 cas qu’on peut qualifier de violences domestiques. En comparaison avec d’autres années, on constate que ce chiffre n’a guère évolué en dix ans. Mais qu’il n’a pas baissé non plus. Sept crimes sur dix sont commis par des hommes et trois par des femmes. Reste que le contexte migratoire ne peut pas être occulté. 61% des auteurs d’homicides dans le contexte familial sont des étrangers. À noter qu’en Suisse, la proportion de la population étrangère est de 25%.

Pas tout blanc et tout noir

Les scientifiques et chercheurs qui étudient le phénomène ne cachent pas que l’origine des auteurs de tels crimes a une influence. Ils pointent du doigt également les facteurs économiques. Les étrangers vivraient plus souvent dans des situations précaires, ce qui pourrait conduire à davantage de violence.

Frank Urbaniok, médecin-chef du service de psychiatrie et de psychologie du canton de Zurich, a participé à l’une des études les plus complètes sur la violence domestique. Parmi les auteurs de ces crimes, les personnes originaires d’Afrique du Nord, des Balkans et de Turquie sont massivement surreprésentées. «Les influences culturelles jouent un rôle et ne pas en tenir compte est une erreur», explique-t-il. Mais ce critère n’est pas le seul pour expliquer le phénomène car la plupart des étrangers ne commettent pas de délits. L’empreinte personnelle est également déterminante, indique le médecin. Certaines personnes présentent très tôt dans leur personnalité certains profils à risque comme une susceptibilité accrue ou un problème de domination.

La criminalité et la violence, notamment contre les femmes, ont une cause: les individus non intégrés

Compte tenu de leur part à la population totale, les migrants affichent un taux de criminalité et de violence, notamment à l’égard des femmes, totalement disproportionné. Les actes de violence et menaces contre les fonctionnaires progressent elles aussi. Une justice complaisante ménage les criminels au lieu de protéger les victimes.

Les statistiques sont éloquentes: selon la statistique criminelle, 432’754 délits relevant du Code pénal, 76’308 violations de la loi sur les stupéfiants et 38’405 violations de la loi sur les étrangers ont été recensés l’an passé. Le nombre d’accusés d’origine étrangère a augmenté de 4%. « En Suisse, la violence et la criminalité sont dans une large mesure importées », a relevé le conseiller national Albert Rösti, président de l’UDC Suisse, devant les médias à Berne. Aussi bien la statistique fédérale de la criminalité que la statistique des condamnations confirment que les actes de violence ne sont pas commis par des hommes en général, mais qu’ils sont principalement imputables aux hommes non intégrés. Compte tenu de leur part à la population totale, soit 25%, les migrants sont largement surreprésentés chez les criminels, notamment quand il s’agit de délits graves.

Les non-intégrés font la chasse aux femmes « sans honneur »

Tel est notamment le cas pour les crimes sexuels. Selon la statistique criminelle de la Confédération, 626 viols ont été dénoncés en 2024. Sur les 527 accusés, 317, donc 60%, étaient des étrangers. Chez les adultes condamnés pour viol en 2023, la proportion d’étrangers était de 74%. Les deux tiers des condamnés pour contrainte sexuelle étaient des étrangers. Les cas de violence domestique sont eux aussi principalement le fait des migrants, indique l’Office fédéral de la statistique. En 2023, les hommes étrangers ont été enregistrés par la police en moyenne 3,7 fois plus souvent pour violence domestique que les hommes suisses. La statistique des actes de violence contre l’ex-partenaire donne un tableau semblable: là encore, les étrangers sont trois fois plus souvent coupables que les Suisses.

De nombreuses femmes ne se sentent plus en sécurité dans l’espace public. « Des jeunes femmes sortant le soir sont souvent grossièrement insultées, sexuellement harcelées, voire agressées physiquement », a relevé Virna Conti, présidente des JUDC Genève. Des jeunes hommes issus de cultures aux structures patriarcales se donnent rendez-vous sur les places et dans les rues pour faire la chasse aux femmes jugées « sans honneur », les toucher, voire, dans les cas extrêmes, les violer en groupe. Leurs propres femmes et filles sont contraintes aux mutilations sexuelles, aux mariages forcés et au port du voile.

La migration a apporté à la Suisse de nouvelles formes de criminalité, concrètement la criminalité des clans. Les grandes familles roumaines appliquent de préférence l' »escroquerie du neveu » alors que les clans turcs se servent de l' »astuce du faux policier » pour extorquer de l’argent à leurs victimes. Ces dites grandes familles criminelles sont actives dans le trafic de drogues, la prostitution, le racket et commettent des brigandages, des cambriolages et d’autres vols. Le fait que la mafia lave son argent sale en Suisse est bien connu. « Il s’agit notamment de vérifier dans quelle mesure les innombrables ‘barbershops’ et autres stands kébab y sont impliqués ».

Huit attaques par jour contre des agents de police

Autre phénomène inquiétant: l’augmentation des actes de violence contre les fonctionnaires. « Huit fois par jour on assiste en Suisse à une agression contre une agente ou un agent de police », a relevé Thomas Werner, fonctionnaire de la police municipale de Zurich et député cantonal zougois. Très souvent les auteurs de ces actes sont issus de la migration. « On assiste régulièrement en ville de Zurich à des attroupements de jeunes et de jeunes adultes à des endroits bien connus. Ces réunions dégénèrent régulièrement en bagarres générales, souvent à coups de couteau », a poursuivi Thomas Werner. Ces individus sont fréquemment sous l’emprise d’alcool ou de drogues et perdent toute inhibition. Lorsque les agents de police interviennent, ils se font eux-mêmes attaquer violemment, mais leurs agresseurs s’en sortent généralement à bon compte. La loi prévoit certes une peine privative de liberté jusqu’à trois ans ou une peine pécuniaire d’au-moins 30 jours-amende pour des menaces ou des actes de violence à l’égard de fonctionnaires et d’autorités, « mais le problème, c’est que les ministères publics et les tribunaux requièrent et prononcent trop rarement des peines maximales », constate Thomas Werner.

L’Etat néglige manifestement sa tâche centrale, à savoir la sauvegarde des droits de la liberté du peuple et la protection des femmes et des hommes contre le crime et les criminels. Cette attitude se répercute directement sur le sentiment de sécurité des citoyennes et des citoyens. De nombreuses personnes ne se sentent plus en sécurité dans notre pays: les personnes âgées, les femmes, mais aussi des jeunes et surtout des jeunes femmes. Les agentes et agents de police doivent être mieux protégés dans l’accomplissement de leurs tâches publiques. « Nous réclamons une justice crédible et efficace. Une peine privative de liberté doit devenir la règle pour les actes de violence et les menaces contre des fonctionnaires », a exigé le président de l’UDC Suisse, Albert Rösti. L’autorité politique doit aussi intervenir vigoureusement contre la criminalité étrangère en appliquant enfin fidèlement l’initiative pour le renvoi des étrangers criminels. Les criminels étrangers condamnés doivent être systématiquement expulsés après avoir purgé leur peine.

Egger Ph.

Comment les constructeurs automobiles européens se ruent sur les technologies chinoises pour survivre localement

 

Il y a quelques années, dans un passé pas si lointain, la grande messe de l’automobile se déroulait à Genève, à l’occasion du salon éponyme. C’était le rendez-vous de la voiture d’exception, mais pas que, puisque les constructeurs présentaient à tour de bras leurs nouveautés, de la plus accessible à la plus puissante, en passant par tous les extrêmes, même en termes de prix.

Mais depuis la crise du Covid-19, le Salon de Genève n’est plus, ou n’est plus que l’ombre de lui-même. Un temps délocalisé au Qatar, il est revenu dans ses bases historiques cette année, mais sans faire grand bruit puisqu’il s’agissait plutôt d’un salon dédié aux distributeurs locaux.

Mais où est donc passée l’effervescence automobile mondiale ? Ces quelques jours où toute la planète auto se retrouve ? Pas au Mondial de Paris, même si on en reprend (un peu) le chemin, un peu au CES de Las Vegas, rendez-vous incontournable pour certains constructeurs. Non, il faut aller du côté du Salon de Shanghai pour en prendre plein la vue.

Plein la vue en termes de design ? Pas vraiment. En termes de puissance, de sportives, de supercars ? Il y en a quelques-unes, plutôt intéressantes d’ailleurs, mais nous n’y allons pas pour ça. Non, Shanghai c’est une effervescence de nouvelles voitures, chinoises pour la plupart, qui intègrent des technologies toujours plus avancées, dont seuls les constructeurs chinois ont le secret désormais. Mais en 2025, il n’y a pas que les marques chinoises qui ont fait grand bruit à Shanghai.

Sur le stand Audi, un véhicule attire immédiatement l’attention. Ce n’est pas seulement sa silhouette longue, effilée, sa teinte violette, ou son allure de break futuriste sans calandre apparente. Ce qui marque surtout, c’est son logo, si on peut encore appeler cela ainsi. Pas celui aux quatre anneaux emblématiques d’Audi, mais un nouveau logo surmontant le nom AUDI, écrit en majuscules.

Ce détail, loin d’être anecdotique, marque une rupture. L’AUDI E5 Sportback incarne la réponse du constructeur allemand aux nouveaux standards de l’électromobilité en Chine. Mais plus encore, il illustre un basculement de pouvoir inédit dans l’histoire récente de l’automobile.

Une Audi chinoise, par et pour la Chine

L’AUDI E5 Sportback n’est pas seulement un nouveau modèle : c’est une redéfinition complète de l’ADN de la marque, façonnée non pas à Ingolstadt, en Allemagne, mais à Shanghai.

Développée main dans la main avec le constructeur chinois SAIC, propriétaire de MG et de Maxus notamment, l’E5 repose sur une plateforme inédite baptisée « Advanced Digitized Platform ». Elle permet des performances impressionnantes : une autonomie de près de 770 km selon le cycle chinois CLTC, des mises à jour à distance pour toutes les technologies embarquées, le tout avec des performances de premier ordre.

La voiture est équipée des dernières technologies de l’industrie automobile : LIDAR pour la conduite autonome, reconnaissance des feux de circulation, stationnement autonome…

Un véritable condensé de ce que les clients chinois attendent d’une voiture de demain et de ce que le reste du monde commence à regarder avec envie.

Quand le maître devient l’élève

Cette co-conception entre Audi et SAIC n’est pas un cas isolé. Elle symbolise un changement assez profond en Chine, mais encore peu palpable chez nous, en Europe : les constructeurs chinois, longtemps considérés comme des élèves apprenant des géants occidentaux, deviennent désormais des sources d’innovation, et même plus encore.

Volkswagen, par exemple, a présenté trois nouveaux concepts électriques inspirés directement de la concurrence chinoise : les ID. Evo, Aura et Era. Développés avec SAIC et FAW, ils intègrent une architecture 800 volts (que le groupe ne propose pas encore en Europe, hormis sur certaines Audi et Porsche), des ADAS boostées à l’intelligence artificielle et des modèles hybrides rechargeables à l’autonomie impressionnante, qui dépasse régulièrement les 1 000 km en cumulant moteur thermique et électrique.

Et il n’y a pas que les constructeurs européens qui cèdent aux sirènes chinoises. Chez General Motors, c’est Buick qui tente de se réinventer en Chine. Autrefois symbole d’un statut à part, la marque américaine s’est marginalisée. Elle revient aujourd’hui avec une nouvelle plateforme « Xiao Yao » pour véhicules électriques et hybrides, également conçue avec SAIC, et utilisant les batteries de CATL capables de regagner jusqu’à 350 km d’autonomie en seulement 10 minutes de charge.

Toyota, de son côté, affiche clairement la couleur : sa gamme bZ (pour « beyond Zero ») a été développée avec les entreprises chinoises FAW, GAC et BYD. Son nouveau modèle phare, le bZ7, est destiné exclusivement au marché chinois, avec un design épuré, des technologies de pointe issues de chez Huawei, autres géants chinois de la tech’, et une conception axée sur la demande des clients chinois.

Pendant ce temps en Europe, Toyota peine encore à proposer des modèles électriques convaincants, à l’image du bZ4X déjà vieillissant. L’Urban Cruiser pourrait redonner un peu d’allant à la gamme électrique du constructeur.

Comment la Chine mène-t-elle désormais la danse ?

En moins d’une décennie, les marques locales sont passées de 30 % à 60 % de parts de marché en Chine. Ce bouleversement ne s’explique pas seulement par le soutien massif du gouvernement chinois, les subventions ou la maîtrise de la chaîne d’approvisionnement des batteries. Il repose avant tout sur une compréhension du marché, une capacité à innover rapidement et une écoute constante du client.

Et ça pour le coup, c’est bien palpable en Europe, car les quelques marques chinoises commercialisées en Europe, comme MG ou BYD, ont une capacité à écouter et à éliminer les défauts de leurs autos en un temps record. Preuve en est : notre dernier essai du MGS5 EV, remplaçant du ZS EV, qui a quasiment gommé tous les défauts que l’on reprochait à son prédécesseur.

Pour plusieurs analystes du marché automobile, le client chinois est aujourd’hui « le plus gâté au monde ». Il bénéficie d’une offre pléthorique, de prix compétitifs et d’innovations constantes. Et il ne se contente plus d’avoir une belle voiture ou un nom prestigieux sur le capot : il veut tout à la fois. Conduite autonome, assistants vocaux, mises à jour logicielles, design futuriste et autonomie record. Le beurre et l’argent du beurre en somme.

Les marques occidentales ont construit leur réputation dans l’ère des véhicules thermiques. Cette réputation ne se transfère pas automatiquement sous l’ère des véhicules électriques, preuve en est avec les résultats devenus catastrophiques en Chine pour certains constructeurs au nom prestigieux : Porsche, Audi, Mercedes, BMW… Tous enchaînent revers sur revers, sur un marché autrefois qualifié d’Eldorado. Et forcément, avec le ralentissement global du marché automobile mondial, ça commence à peser sur les finances.

Audi, symbole d’un revirement stratégique

Il y a encore dix ans, Audi régnait sur le marché chinois du haut de gamme automobile. Les A6, A7 et autres A8 étaient des symboles de réussite professionnelle.

Aujourd’hui, les acheteurs chinois préfèrent les modèles haut de gamme de BYD (notamment via sa nouvelle marque Denza), Xpeng, Nio ou Li Auto, perçus comme plus modernes, plus connectés et plus en phase avec leurs attentes. Surtout, comme le client européen, le fait que ces voitures soient chinoises est aussi un argument d’achat.

La baisse de 11 % des ventes d’Audi en Chine l’année dernière en est la preuve. Pour contrer cette tendance, la marque allemande a opté pour une stratégie assez inédite. Portera-t-elle ses fruits ? Nous aurons la réponse d’ici quelques années, mais force est de constater que l’approche est effectivement assez différente de la stratégie globale de la marque que ce soit en Europe ou aux États-Unis.

Une révolution cantonnée à la Chine ?

Pour les passionnés d’automobile européens ou américains, l’E5 Sportback et ses consœurs peuvent faire rêver, même si cette profusion technologique n’est certainement pas l’argument numéro un des clients de ces marchés.

Toutefois, il est aujourd’hui peu probable qu’elles franchissent nos frontières dans un avenir proche. Entre les tensions commerciales, les hausses de droits de douane, et les mesures visant à de plus en plus s’isoler de la Chine commercialement parlant, il n’y a aucune raison tangible pour que nous ayons ne serait-ce qu’une bride de cette auto et de cette marque en général en Europe.

Aux États-Unis, le précédent gouvernement de Joe Biden avait interdit les composants matériels et logiciels chinois dans les véhicules commercialisés dans le pays, et Donald Trump a récemment renforcé les tarifs douaniers sur les véhicules importés de Chine. Des décisions soutenues par les deux camps politiques, au nom de la sécurité nationale, mais aussi pour protéger une industrie automobile américaine menacée de déclassement technologique. Comme en Europe en somme.

Mais pour combien de temps cette « muraille technologique » tiendra-t-elle ? Comme toute révolution industrielle, car c’est comme cela qu’on pourrait l’appeler aussi, ce qui se passe aujourd’hui en Chine finira par déborder ailleurs. Lorsqu’un client étranger (en l’occurrence européen dans notre cas) est exposé à ces technologies, il est évidemment envieux. Et si le prix est aussi abordable que nos voitures vendues aujourd’hui chez nous, alors effectivement, le danger est réel pour nos constructeurs, l’argument du « Made in China » n’étant plus un frein. C’est d’ailleurs l’un des rôles de l’augmentation des frais de douane : préserver nos constructeurs locaux en augmentant « artificiellement » le prix des voitures chinoises vendues chez nous.

D’une manière générale, les géants européens, américains, et même japonais n’ont plus le choix. Pour rester compétitifs, ils doivent soit accélérer leur propre transformation, soit continué à s’adosser aux nouveaux leaders technologiques chinois. Audi a fait le choix d’embrasser cette réalité, reste à savoir si d’autres constructeurs suivront.

Mais il semblerait que ce soit le prix à payer pour retrouver une dynamique sur le marché chinois qui est, aujourd’hui, le premier marché automobile mondial avec 22,9 millions de véhicules vendus en 2024 d’après l’association China Passenger Car Association, dont plus de 11 millions de véhicules électrifiés.

frandroid.com

Où fêter le 1er août 2025 en ville et dans le canton de Fribourg

 


Cette année, de nombreuses communes font preuve d'originalité pour célébrer la fête nationale et les événements patriotiques ou festifs sont légion. Toutes les bonnes idées à marquer d'une croix blanche, c'est par ici !


Fête nationale à Fribourg 

Les Grandes-Rames, en Basse-Ville de Fribourg, serviront comme de coutume d'écrin aux réjouissances patriotiques du 1er août. Commencez bien la soirée festive par un verre de l'amitié offert à tous entre 18h30 et 19h30. Côté animation, une sculture lumineuse et un concert pop-rock mettront l'ambiance. La partie officielle démarra à 20h. À noter que le funiculaire fonctionnera jusqu'à 23h30 le soir de la fête nationale. 

Ve 1er août dès 18h30h / Gratuit


Fête du 1er août à Jaun

Au sommet du télésiège de Jaun, sympathique petite station des Préalpes fribourgeoises, des grillades du 1er août vous mettront en appétit dès 11h avant le début des festivités à 18h. Au programme : verre de l'amitié, discours et hymne national. 

Ve 1er août, de 11h à 21h30


Fête du 1er août à Bulle

Deux jours pour célébrer la fête nationale, rien que ça ! Cors des alpes, concerts et autres animations patriotiques devraient avoir lieu : le programme est encore en cours de préparation...

Du 31 juil au 1er août, gratuit


Croisière du 1er août sur le lac de Schiffenen

Admirez les feux d'artifice près du camping Schiffenen avant de passer aux choses sérieuses en montant à bord du bateau solaire d'Grandfey. La balade dure une heure dans un cadre pittoresque. 

Ve 1er août, croisière au départ de Schiffenen à 22h, retour à Schiffenen à 23h. 20 fr. par personne


loisirs.ch

Denis Vipret a-t-il guéri Céline Dion, Depardieu et Zidane?

 

Le palmarès de stars guéries par Denis Vipret 

est fortement remis en doute

Denis Vipret a-t-il vraiment guéri Gérard Depardieu? En l'état, rien ne permet de l'affirmer.
Photo: DR


Le guérisseur Denis Vipret affirme avoir soigné pas mal de beau monde: Céline Dion, Zinédine Zidane, Gérard Depardieu, Didier Cuche ou Lauriane Gilliéron. Dans le même ordre d'idée, le Fribourgeois, épinglé par la RTS ce dimanche 6 juillet pour des accusations d'agressions sexuelles dans le cadre de ses soins, assure avoir travaillé pour le Real Madrid, le FC Sion ou le HC Gottéron.

Mais la seconde partie de l'enquête de la RTS met en doute cet impressionnant palmarès, détaillé dans un podcast de Johan Djourou en 2021, publié par Blick. En somme, l'émission «Vraiment» est allée vérifier les affirmations de Denis Vipret auprès des stars et des clubs sportifs.

Une réalité enjolivée?

La manageuse de Céline Dion indique qu'elle ne «connait pas ce monsieur» dans l'entourage de la diva. Ni Gérard Depardieu, ni son avocat, n'ont souhaité répondre. Une photo des deux hommes ensemble existe, comme avec Zinédine Zidane. La RTS n'a rien trouvé qui permet d'affirmer que le guérisseur a fait plus qu'un selfie avec la star du ballon rond.

Seuls l'ex-miss Suisse devenue comédienne Lauriane Gilliéron et le skieur Didier Cuche confirment avoir eu recours au magnétiseur en 2005. De quoi agir sur la sciatique de la première. Mais pour le sportif, les soins prodigués n'ont rien pu faire pour son genou endolori.

Côté clubs, le FC Sion et le HC Gottéron ont bien, un jour, eu recours à Denis Vipret – mais préfèrent aujourd'hui s'en distancer. Et pour le Real Madrid, dont le guérisseur affirme avoir soigné les joueurs durant trois ans? La porte-parole dément fermement un quelconque emploi du Fribourgeois dans l'histoire du club espagnol.

Denis Vipret, le magnétiseur controversé:
 mythe ou réalité?


 



Léo Michoud

Le pactole pour Swissgrid grâce au monopole d'Etat

 

La société suisse Swissgrid détient le monopole d'Etat sur l'exploitation du réseau électrique national. Tandis que l'entreprise roule sur des millions, les consommateurs trinquent. Du côté de la direction, les salaires ont grimpé en flèche.

Personne ne peut échapper aux contributions de Swissgrid, l'exploitant national du réseau électrique. Cette société qui détient un monopole d'Etat perçoit des taxes pour l'utilisation de l'électricité dans toute la Suisse. En contrepartie, elle entretient ce vaste réseau de 6700 kilomètres, le développe et veille à sa stabilité.

Mais l'entreprise est régulièrement sous le feu des critiques. Swissgrid réalise chaque année des millions d'excédents, grâce aux taxes étatiques. Depuis 2014, ces excédents représentent plus de 890 millions de francs. Sur cette somme, 200 millions ont été distribués sous forme de dividendes aux géants de l'électricité Axpo et FB, comme l'avait récemment révélé Blick. Indignés, plusieurs politiciens avaient déposé des interventions dans différents cantons pour limiter les salaires des dirigeants. 

Le salaire du chef a fortement augmenté

Un coup de gueule politique qui n'a que peu d'échos. Pendant ce temps, Swissgrid continue de prospérer avec des caisses bien remplies. Une enquête de Blick montre que le salaire le plus élevé au sein de la direction en 2024 s'élevait à 900'000 francs. Une rémunération qui serait, selon toute vraisemblance, celle du PDG Yves Zumwald.

Le patron d'une entreprise qui compte «seulement» 784 employés touche un salaire similaire à des dirigeants d'autres entreprises fédérales beaucoup plus grandes. Pour se faire une idée: à La Poste (35'100 emplois à plein temps), le PDG Roberto Cirillo, qui a entre-temps quitté ses fonctions, a touché 1,04 million de francs. Son homologue Vincent Ducrot a gagné presque autant aux CFF (35'500 postes à plein temps). A noter que les cotisations de l'employeur pour la prévoyance sont toujours prises en compte dans les montants.

L'évolution du salaire du PDG de Swissgrid est particulièrement frappante: en 2017, la première année complète d'Yves Zumwald, il touchait 730'000 francs. Entre-temps, son salaire est passé à 920'000 francs en 2023. Sans parler d'un bonus plus que généreux. Rien qu'en 2024, la rémunération variable a représenté 230'000 francs, soit plus de 40% de la partie fixe de 520'000 francs.

«Un salaire usuel dans la branche»

Comment justifier un salaire aussi élevé? Car l'exploitation du réseau électrique a déjà été qualifiée d' «activité monopolistique sans risques, avec des bénéfices garantis par l'Etat». Interrogé par Blick, Swissgrid répond: «En tant qu'entreprise du secteur électrique, Swissgrid s'aligne sur les standards de rémunérations usuelles de la branche. Et cela, à tous les niveaux.»

Swissgrid précise que les salaires des cadres sont fixés par le conseil d'administration, en concertation avec son comité du personnel et de rémunération. Une part variable est également prévue, liée à l’atteinte des objectifs fixés. Swissgrid souligne aussi qu'elle n'appartient pas à la Confédération, mais majoritairement aux fournisseurs d'énergie.

Les consommateurs paient, les groupes profitent

Sauf qu'un tel salaire passe mal auprès du grand public. Swissgrid a déjà été critiquée à plusieurs reprises pour avoir fait grimper les coûts supportés par les consommateurs. En cause notamment: l’introduction d’un nouveau système d’acquisition pour l’énergie de réglage – ce courant de secours indispensable pour stabiliser le réseau en cas de déséquilibre entre l’offre et la demande.

En 2024, le nouveau système a généré près de 100 millions de francs de coûts supplémentaires par rapport à l'ancien. Une hausse directement répercutée sur les consommateurs… et qui a, dans la foulée, permis aux entreprises d’électricité de réaliser des profits supplémentaires.

Lucien Fluri

Sven Altermatt

blick.ch

samedi 5 juillet 2025

Coop vante chaque baisse de prix... et tait des hausses deux fois plus nombreuses




«Vendez du rêve aux clients!» Ce mantra fait partie du répertoire quotidien de tout bon service de relations publiques. Coop ne fait pas exception à la règle. Comme ses concurrents Migros, Aldi, Denner et Lidl, le grand distributeur suisse communique régulièrement sur ses «bonnes actions» à destination des médias.

Et quoi de tel qu'une baisse de prix pour étaler sa générosité aux yeux de tous? «Déjà 1000 réductions en 2025», se vantait Coop il y a deux semaines. «Coop envoie un signal fort à ses clients», pouvait-on lire dans le communiqué. «Nous prenons nos promesses au sérieux», déclarait Andrea Kramer, responsable de la direction Marketing/Achats. A priori, cela sonne bien. D'autant que Migros a, elle aussi, promis de son côté de baisser les prix de ses produits de 1000 francs.

Des augmentations de prix? Personne n'a rien vu

En revanche, et de façon moins surprenante, les augmentations de prix sont volontiers balayées sous le tapis. Or, elles surviennent régulièrement, notamment lorsqu'un fournisseur décide de vendre plus cher sa marchandise ou lorsque les coûts de productions augmentent du côté des fabricants.

Blick en a désormais la certitude: depuis début 2025, Coop n'a pas seulement baissé ses prix, mais elle a aussi augmenté ceux de nombreux produits proposés dans ses supermarchés. Au total, ce sont plus de 2298 augmentations qui s'opposent à un total de 1256 baisses de prix depuis le début de l'année.

Au cours du premier semestre, les hausses de prix ont été nettement plus nombreuses que les baisses pour les produits comme la viande, le poisson et la charcuterie. Pour les produits laitiers et les œufs, Coop a également augmenté ses prix plus souvent qu'elle ne les a baissés. Une tendance similaire est constatée au niveau des produits boulangers.


Coop nie avoir tiré profit des hausses de prix

Interrogé par Blick, Coop ne s'étend pas sur les différentes catégories de produits. «Nous nous engageons fondamentalement pour des prix à la consommation avantageux pour nos clients», déclare Sina Gebel, porte-parole du géant suisse de la grande distribution. Elle assure que «Coop ne gagne pas plus en fin de compte sur les produits dont le prix a augmenté».

Les raisons des augmentations de prix sont en premier lieu des coûts d'approvisionnement plus élevés, «notamment en raison de l'augmentation des coûts des matières premières, notamment du café et du cacao». Sina Gebel souligne que ces coûts touchent tous les détaillants et pas seulement Coop. Pour les baisses de prix des quelque 1000 produits du premier semestre, son entreprise a investi 50 millions de francs «sur ses fonds propres».

Ceux qui sont abonnés au journal Coop y trouvent toujours la communication sur les prix en cas d'adaptations importantes. Par exemple, le pot de Nutella de 400g coûte désormais 4,20 francs contre 3,95 francs précédemment, une hausse que Coop impute à une augmentation des tarifs du côté du fabricant. Quant aux communiqués de presse destinés au grand public, il y a peu de chance qu'ils s'attardent un jour sur les hausses de prix.

 Ulrich Rotzinger

blick.ch

Martin Pfister fêtera le premier août à Fribourg

 


Le nouveau conseiller fédéral viendra célébrer le premier août à Fribourg. Martin Pfister prendra la parole vers 19h50, lors de la partie officielle de la célébration qui aura lieu aux Grandes-Rames à partir de 18h selon 1700, le bulletin d’information de la ville de Fribourg.

Un apéritif sera offert à la population lors de la soirée, entre 18h30 et 19h30. Des animations musicales se succéderont également, assurées par la fanfare La Concordia et le groupe High5, tout comme des spectacles animés par la Compagnie Paradox, la roue Cyr et du jonglage de feu.

Et pour celles et ceux qui préfèrent célébrer le pays dans notre campagne, bonne nouvelle: les traditionnels brunchs à la ferme du premier août sont de retour pour la 33e année consécutive. Quatorze fermes, réparties dans tous les districts du canton, participent. Toutes les infos sont disponibles sur le site paysanssuisses.ch.

Mattia Pillonel

Frapp.ch