Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 29 mars 2016

Les Français sont parmi les plus eurosceptiques d'Europe


Un quart seulement des Français, des Belges, des Néerlandais et des Italiens estiment qu'il y a "plus d'avantages que d'inconvénients" à appartenir à l'Union européenne, d'après les résultats d'un sondage Elabe diffusé mardi. La France (58 %) et le Benelux (Belgique, Pays-Bas, Luxembourg) (55 %) sont également les pays de l'Ouest européen membres de l'UE, où les personnes interrogées se déclarent le plus opposées à l'accueil de migrants et de réfugiés.

Les Français réfractaires à l'accueil des réfugiés

Selon cette enquête pour le site Atlantico, seuls 25 % des Belges et des Néerlandais, et 26 % des Français et des Italiens considèrent qu'il y a "plus d'avantages que d'inconvénients" à appartenir à l'UE, contre respectivement 40 % des Français, 37 % des Belges, des Néerlandais et des Italiens, d'un avis contraire. Les Britanniques sont 36 % (contre 40%) à voir plus d'avantages que d'inconvénients à appartenir à l'Union européenne. Et à l'autre bout du spectre, 42 % des Allemands (contre 24 %) et 54 % des Espagnols (contre 18 %) plébiscitent l'appartenance de leur pays à l'UE. Sur la question des migrants et réfugiés "notamment en provenance de Syrie", les Français (58 %), les Belges et Néerlandais (55 %) et les Britanniques (51 %) sont les plus réfractaires à ce que leur pays en accueille. À l'inverse, 69 % des Espagnols, 67 % des Allemands et 57 % des Italiens pensent qu'il se doit d'en accueillir.

Enquête réalisée en ligne du 9 au 15 février auprès d'un échantillon de 800 personnes de 18 ans et plus pour chacun des pays de la zone prise en compte, soit un total de 4 800 personnes, selon la méthode des quotas.