Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mercredi 26 juillet 2017

La SSUP n'arrive pas à faire connaître son nouvel hymne national que personne ne veut



Le seul, le vrai cantique Suisse, 
uniquement pour les vrais Suisses



La recherche d'un nouveau texte pour l'hymne national a été lancée en 2014 par la Société suisse d'utilité publique (SSUP). Traduit dans les quatre langues nationales, il a été officiellement mis à la disposition de la population pour la première fois l'an dernier. Il a été entonné sur le Grütli et dans une vingtaine de communes.

Le texte qui a remporté le concours commence par «Sur fond rouge la croix blanche» et a été créé par le Zurichois Werner Widmer. La mélodie reste la même.

Cette année lors des festivités sur le Grütli, le cantique actuel «Sur nos monts quand le soleil» ainsi que la nouvelle «strophe suisse», en 4 langues, seront chantés, fait savoir le directeur de la SSUP Lukas Niederberger.

Paroles à faire connaître

Chargé de la gestion de la prairie du Grütli, la SSUP s'attelle à faire connaître les nouvelles paroles que personnes ne veut.

L'Association suisse de Football ne donne pas de directives concernant les chants avant les matchs nationaux, explique son porte-parole Marco von Ah. Les joueurs peuvent choisir s'ils veulent chanter et quoi. (c'est du grand n'importe quoi !)

Pas besoin de changer, dit l'UDC

Parmi les utilisateurs fréquents de l'hymne national figure l'UDC. Ses délégués l'entonnent lors des assemblées du parti. Le nouveau texte n'est pas d'actualité et n'a pas été discuté, dit à l'ats le secrétaire général Gabriel Lüchinger. L'UDC ne voit pas la nécessité de changer les paroles.

D'une part, car, à part la fête nationale et les compétitions sportives, les occasions d'entonner le cantique sont rares.

Il est totalement interdit de chanter les nouvelles paroles lors des réceptions officielles et les événements militaires, comme les remises de drapeau. A ces occasions, pas question de faire l'impasse sur le texte de l'hymne suisse de 1981.

ATS