La Cathédrale Saint-Nicolas de Fribourg, de style gothique rayonnant, domine le centre de la ville médiévale de Fribourg (Suisse). Elle est construite sur un éperon rocheux surplombant de 50 mètres la rivière Sarine.
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Une chapelle romane, préexistant la ville de Fribourg (fondée en 1157) est remplacée par l'église Saint-Nicolas dont l'édification commence en 1283. Le corps principal est achevé en 1430, le clocher n'étant terminé que beaucoup plus tard, c'est-à-dire en 1490.
D'abord église paroissiale, elle devient église collégiale en 1512, avec doyen et chapitre de chanoines. Ce n'est qu'en 1924 que l'église Saint-Nicolas devient cathédrale du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg.
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La tour-clocher (11 cloches) est haute de 76 m et comporte un escalier en vis de 365 marches. Réalisés entre entre 1896 et 1936, les vitraux sont l'œuvre du peintre polonais Józef Mehoffer et les verrières, d'Alfred Manessier.
La cathédrale de Fribourg est construite en molasse, roche sédimentaire abondante sur tout le plateau suisse. Extrêmement friable, ce matériau est particulièrement sensible à la pollution issue des gaz d'échappement et des pluies acides, ce qui nécessite des travaux de restauration et de conservation en continu.
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C'est au début du XIIème siècle que le duc Bertholde IV de Zaeringen fonda sur la plate forme rocheuse de la Nuithonie la Ville de Fribourg. A l'emplacement de l'actuelle cathédrale, le fondateur construisit la première église dédiée à Saint Nicolas. Il ne subsiste rien de cet édifice de style roman. Le développement rapide de la cité et la prospérité économique furent à l'origine de l'édification de l'actuel bâtiment de style gothique.
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Au cours des siècles, le décor intérieur et extérieur de la cathédrale va considérablement s'enrichir. On distingue trois grandes époques : L'art gothique Le baroque L'art moderne Le portail principal renferme un ensemble de sculptures d'un grand intérêt artistique. L'ensemble des ornementations, représente le jugement dernier, au centre le Christ assis sur un trône. Les deux registres inférieurs illustrent le jugement. On peut distinguer d'un côté les "bons" emmenés par Saint Pierre vers le Paradis.De l'autre les damnés sont torturés et poussés dans la gueule de l'enfer. Sur les flans sont disposées les statues des douze apôtres, ainsi qu'une représentation de l'annonciation.Le tout fut réalisé dans le courant du XIVème. Le porche de l'épiphanie a gardé son aspect original ainsi qu'une partie de sa polychromie ! La place centrale revient à la Sainte Vierge Marie (patronne du diocèse), tandis que les rois mages et Saint Nicolas sont placés à ses côtés.La chapelle Saint Laurent (située au fond de la cathédrale), fondée par Jean Mossu vers 1430, renferme un important groupe : la mise au tombeau. Ces reproductions, de l'épisode tragique, de la passion de Notre Seigneur, étaient très courantes au Moyen Age dans les cathédrales. Celui de Fribourg est considéré comme l'ensemble le plus monumentale en Suisse. Les vitraux réalisés par Alfred Manessier, à la demande du chapitre, donnent à cet endroit une atmosphère paisible, propice au recueillement. Les fonts baptismaux sont un excellent spécimen d'art flamboyant. Ils ont été exécutés de 1498 à 1499. Le bassin de forme octogonale est richement décoré par diverses scènes dont le baptême du Christ.En 1513, on entreprit la réalisation de la chaire. Cette pièce en molasse, finement sculptée est une imitation de celle de la cathédrale de Strasbourg. C'est de cette chaire que Saint Pierre Canisius s'est si souvent adressé aux gens de Fribourg.
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Vers le milieu du XVème siècle Fribourg ferra partie du duché de Savoie. Ceci aura des conséquences importantes au niveau artistique. Les stalles de la cathédrale Saint Nicolas, font partie de cette famille " savoisienne " qui compte treize compositions semblables en France et en Suisse. C'est Antoine de Peney et son neveu qui réalisèrent les cinquante stalles entre 1462 et 1464. Le programme iconographique choisi, fait référence à un sermon attribué à saint Augustin. Il s'agit d'une concordance entre les prophéties de l'ancien testament et le credo.
Le XVIIème est un temps d'épanouissement culturel pour Fribourg. De cette époque date la reconstruction du chœur, ainsi que de nombreuses compositions qui enrichissent l'édifice.
L'atelier Reyff qui œuvre à Fribourg sera une des chevilles ouvrières de la propagation de l'art baroque, tout particulièrement au niveau de la statuaire. De cette même période date le cycle de tableaux des apôtres, des prophètes et docteurs de l'Eglise qui ornent le vaisseau centrale.
L'aménagement des chapelles latérales date du XVIIIème. Le style des autels varie, ainsi on passe du style baroque (plutôt modéré en certains endroits) au style rococo.A partir de 1927 des nombreux travaux s'échelonnèrent. En 1980, on entreprit la restauration interne de l'édifice, ce fut l'occasion de mettre des vitaux aux fenêtres hautes qui en étaient dépourvues. Le chapitre Saint Nicolas fit appel à Alfred Manessier, qui avait précédemment réalisé les verrières du Saint Sépulcre. Par la suite, il conçut une troisième œuvre pour la cathédrale. Il s'agit de la rose qui surplombe le portail principal, un grand vitrail sur le thème du " Magnificat " et qui fut posé au court de l'année marial 1988.
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Fribourg est une charmante ville située sur un éperon rocheux formé par un méandre de la Sarine. Cet éperon est bordé de trois côtés par des falaises en molasse atteignant 50 mètres par endroits. La ville moyenâgeuse fondée au XIIe siècle s’est développée à partir du XIIIe siècle où de nombreux ordres monastiques sont venus s’installer dans ses murs. C’est en 1283 que le chantier de la cathédrale a débuté avec le soutien financier des bourgeois de la ville. Après de multiples interruptions de chantier, elle fut achevée en 1490 avec la tour de style gothique flamboyant. D’église paroissiale, elle deviendra collégiale dès 1512 avec l’installation d’un chapitre de chanoines, puis siège de l’Evêque en 1615, mais ne sera officiellement désignée comme cathédrale qu’en 1924.
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Fribourg est une charmante ville située sur un éperon rocheux formé par un méandre de la Sarine. Cet éperon est bordé de trois côtés par des falaises en molasse atteignant 50 mètres par endroits. La ville moyenâgeuse fondée au XIIe siècle s’est développée à partir du XIIIe siècle où de nombreux ordres monastiques sont venus s’installer dans ses murs. C’est en 1283 que le chantier de la cathédrale a débuté avec le soutien financier des bourgeois de la ville. Après de multiples interruptions de chantier, elle fut achevée en 1490 avec la tour de style gothique flamboyant. D’église paroissiale, elle deviendra collégiale dès 1512 avec l’installation d’un chapitre de chanoines, puis siège de l’Evêque en 1615, mais ne sera officiellement désignée comme cathédrale qu’en 1924.
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Le choix de l’emplacement est dû à la conjonction de deux puissants courants telluriques (en rose) à ne pas confondre à des réseaux géomagnétiques. Le courant principal remonte la Sarine, passe par les abbayes de Maigrauge et d’Hauterive, continue sur Lausanne où il se sépare en plusieurs branches. Le courant secondaire venant d’Avenches, capitale politique et religieuse de l’Helvétie romaine se mêle au courant principal dans le choeur de la cathédrale. Une superbe sculpture de vouivre orne l’angle sud-est. La vouivre est une sorte de dragon, symbole druidique des courants énergétiques subtils qui sillonnent la surface et les profondeurs de la Terre.
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Le choix de l’emplacement est dû à la conjonction de deux puissants courants telluriques (en rose) à ne pas confondre à des réseaux géomagnétiques. Le courant principal remonte la Sarine, passe par les abbayes de Maigrauge et d’Hauterive, continue sur Lausanne où il se sépare en plusieurs branches. Le courant secondaire venant d’Avenches, capitale politique et religieuse de l’Helvétie romaine se mêle au courant principal dans le choeur de la cathédrale. Une superbe sculpture de vouivre orne l’angle sud-est. La vouivre est une sorte de dragon, symbole druidique des courants énergétiques subtils qui sillonnent la surface et les profondeurs de la Terre.
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Si vous avez la chance de pouvoir accéder au choeur, vous sentirez rapidement l’énergie du courant tellurique vous remonter le long des jambes. Au bout de 3 minutes, tout votre corps est parcouru de fourmillements et votre corps éthérique se dilate jusqu’à plusieurs mètres. La suite ne peut être décrite, car elle doit être vécue.
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La présence d’eau dans un lieu sacré, sous n’importe quelle forme, n’a d’intérêt que pour l’information qu’il y a dans l’eau (principe homéopathique) et non pas en tant qu’information "eau". En utilisant ces eaux avec conscience et après avoir activé le lieu, elles acquièrent un pouvoir purificateur et alchimique. Elles décuplent la perception extrasensorielle et établissent un pont vers les entités spirituelles.
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Le relevé des réseaux géomagnétiques est une opération de longue haleine, effectuée en général à l’aveugle par plusieurs personnes. En cas de doute, elles sont vérifiées à l’aide d’un instrument qui permet de les entendre. La polarité des lignes est déterminée à l’aide de la mesure du corps éthérique. Cette méthode est décrite dans le dossier consacré au biochamp.
Une autre idée qui circule est que le réseau Hartmann n’existe que depuis l’invention du courant industriel 50 Hz. Il a toujours existé et les bâtisseurs l’ont déplacé, démultiplié et fixé de façon à ce qu’il corresponde et sous-tende la géométrie de l’édifice. Le but est l’énergétisation de la forme, afin qu’elle puisse rayonner vers l’extérieur et vers l’intérieur.
L’avantage de la démultiplication du réseau Hartmann est qu’il nous permet actuellement de détecter des édifices enfouis dans le sol depuis des siècles. La précision est telle, qu’avec la pratique, il est possible d’en faire des relevés avec une précision de quelques centimètres. Cette technique de recherche a été vérifiée en plusieurs occasions sur des objets invisibles en surface, mais dont nous possédions les relevés de fouilles archéologiques. La manière dont les lignes sont disposées ainsi que l’écartement des lignes permet de situer l’époque à la laquelle le bâtiment a été construit. Je collabore dans ce sens avec des archéologues qui ont compris l’intérêt de cette technique de prospection. Ce genre de démonstration apporte la preuve que la géobiologie peut être une science exacte, bien qu’empirique, lorsqu’elle est pratiquée par des gens compétents.
Nous utilisons ces tubes pour nous envoyer des messages à distance. La transmission, basée sur le principe de Morse, est pratiquement instantanée. Ce genre d’expérience est inoubliable pour ceux dont la sensibilité est suffisante pour participer.
Il y a un lien direct et naturel entre l’art de dessiner et l’art de construire.
Peut-être faut-il être architecte pour comprendre cela. L’art du trait et l’art de construire relèvent d’une même logique. Les réflexions de certains historiens ou occultistes en tout genre me font bien rire. Je ne leur en veux pas de n’avoir jamais tenu en main une pierre et une truelle, mais quand je vois leur tracé où la majorité des lignes ne correspondent à aucun élément d’architecture, je n’appelle pas cela de la géométrie. Ont-ils seulement pris la peine d’aller vérifier leur hypothèse in situ, avec une chevillère (double décamétre) ? Je l’ai fait et je peux vous assurer que cela marche à 1 ou 2 cm près ! Combien de fois ai-je vu des plans de cathédrale superposés à des Fleurs-de-Vie, à des arbres séphirotiques ou à des étoiles à 5, 6 ou 7 branches ? Ce ne sont que des spéculations ésotériques sans fondement, une projection de désirs sans lien avec la réalité.
L’art du Trait est une science exacte. Elle est opérative et non pas spéculative, s’il en est qui arrivent encore à comprendre la différence entre les deux et qui n’ont pas leur mental embué par la désinformation ésotérique et exotérique.
Voici la liste des 7 outils géométriques utilisés par les bâtisseurs :
les rapports musicaux de la gamme diatonique les polyèdres réguliers et leur bissection les racines carrées et la division sacrée le nombre d’or (Phi) et ses dérivés l’inscription et la circonscription de polyèdres réguliers les quadratures du cercle et le cercle et les arcs de cercle.
Ces outils sont décrits en détail dans mon cours de géométrie sacrée.
Que l’on prenne les axes des murs et des piliers ou le volume intérieur (nu des murs), tout le tracé géométrique en plan et en coupe repose sur le nombre d’or (Phi = 1,618) et sur ses dérivés, en particulier sa racine carrée. La nef est composée de rectangles homothétiques dont les diagonales forment un angle de 108º (angle du pentagone). Ces rectangles sont basés sur le nombre d’or, car le rapport entre le grand côté et la demi-diagonale vaut Phi. Je n’en dirai pas plus car le tracé parle de lui-même. De l’édifice entier jusqu’au détail d’architecture, la cohérence est totale.
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L’orientation de l’édifice est calée sur l’orientation générale locale du réseau Hartmann, soit l’azimut 102º. L’axe principal est superposé à une large bande du réseau Nickel (bande rouge).
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Nombreux sont ceux qui confondent cette ligne de réseau géomagnétique avec le réseau sacré ou solaire (réseau Or).
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Les points les plus importants, comme le centre du chœur et celui des stalles, les autels secondaires, le baptistère, la statue du Christ et la mise au tombeau, sont marqués par la présence de cheminées cosmotelluriques de tailles et de vibrations diverses. Si certaines d’entre elles sont là depuis la nuit des temps, d’autres, plus récentes, ont été "importées" consciemment ou inconsciemment par la psyché humaine. Un lieu de prière va attirer une cheminée positive, vibratoirement élevée, au contraire un lieu de souffrances physiques et émotionnelles va attirer une cheminée négative de très basse fréquence vibratoire. La mise au tombeau est représentée par un groupe de statues grandeur nature qui forme un ensemble absolument remarquable au point que vous avez l’impression de faire partie de la scène. Elle dégage une souffrance permanente et intemporelle dès que vous regardez la scène.
Les points les plus importants, comme le centre du chœur et celui des stalles, les autels secondaires, le baptistère, la statue du Christ et la mise au tombeau, sont marqués par la présence de cheminées cosmotelluriques de tailles et de vibrations diverses. Si certaines d’entre elles sont là depuis la nuit des temps, d’autres, plus récentes, ont été "importées" consciemment ou inconsciemment par la psyché humaine. Un lieu de prière va attirer une cheminée positive, vibratoirement élevée, au contraire un lieu de souffrances physiques et émotionnelles va attirer une cheminée négative de très basse fréquence vibratoire. La mise au tombeau est représentée par un groupe de statues grandeur nature qui forme un ensemble absolument remarquable au point que vous avez l’impression de faire partie de la scène. Elle dégage une souffrance permanente et intemporelle dès que vous regardez la scène.
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J’ai indiqué sur le plan la présence de trois courants d’eau souterrains. Notez la position, inhabituelle, du baptistère placé exactement à l’aplomb de l’un d’entre eux. Beaucoup de géobiologistes passent leur temps à détecter les courants d’eau dans les lieux sacrés, courants dont ils ne peuvent d’ailleurs jamais en vérifier la présence. Les canaux remplis de galets ne sont pas de soi-disant artifices de bâtisseurs pour amener de "l’énergie éthérique" ou une "information" de l’eau dans l’édifice. Il s’agit simplement d’un dispositif technique servant de drainage des eaux de surface. Ce dispositif, logique du point de vue constructif, se retrouve depuis la plus haute Antiquité aussi bien dans des édifices sacrés que profanes. C’est l’étude approfondie de plans de fouilles archéologiques qui m’a permis d’arriver à cette conclusion. D’ailleurs, ce dispositif n’est mis en place que dans les zones où l’eau de surface à de la peine à s’infiltrer. La dimension et le nombre de canaux sont déterminés en fonction du poids de l’édifice, de la stabilité du terrain et de sa perméabilité.
La présence d’eau dans un lieu sacré, sous n’importe quelle forme, n’a d’intérêt que pour l’information qu’il y a dans l’eau (principe homéopathique) et non pas en tant qu’information "eau". En utilisant ces eaux avec conscience et après avoir activé le lieu, elles acquièrent un pouvoir purificateur et alchimique. Elles décuplent la perception extrasensorielle et établissent un pont vers les entités spirituelles.
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Toutes les lignes des réseaux géomagnétiques (lignes vertes et rouges) à l’intérieur de la cathédrale ont été déplacées par magie opérative, méthode appelée de nos jours " psychokinèse ", ou méthode psychobiophysiologique. Contrairement à une idée reçue, les réseaux ne se placent pas naturellement dans les murs et les murs n’ont pas été construits sur les lignes.
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Vous pouvez constater sur le plan que les lignes sont démultipliées dans les murs et les piliers. Ce mode de faire relève encore de la magie opérative. Cette démultiplication est en principe proportionnelle à l’énergie cosmotellurique qui circule dans les murs. Le même procédé a été utilisé dans le monde entier, depuis que l’homme crée des lieux sacrés.
Le relevé des réseaux géomagnétiques est une opération de longue haleine, effectuée en général à l’aveugle par plusieurs personnes. En cas de doute, elles sont vérifiées à l’aide d’un instrument qui permet de les entendre. La polarité des lignes est déterminée à l’aide de la mesure du corps éthérique. Cette méthode est décrite dans le dossier consacré au biochamp.
Une autre idée qui circule est que le réseau Hartmann n’existe que depuis l’invention du courant industriel 50 Hz. Il a toujours existé et les bâtisseurs l’ont déplacé, démultiplié et fixé de façon à ce qu’il corresponde et sous-tende la géométrie de l’édifice. Le but est l’énergétisation de la forme, afin qu’elle puisse rayonner vers l’extérieur et vers l’intérieur.
L’avantage de la démultiplication du réseau Hartmann est qu’il nous permet actuellement de détecter des édifices enfouis dans le sol depuis des siècles. La précision est telle, qu’avec la pratique, il est possible d’en faire des relevés avec une précision de quelques centimètres. Cette technique de recherche a été vérifiée en plusieurs occasions sur des objets invisibles en surface, mais dont nous possédions les relevés de fouilles archéologiques. La manière dont les lignes sont disposées ainsi que l’écartement des lignes permet de situer l’époque à la laquelle le bâtiment a été construit. Je collabore dans ce sens avec des archéologues qui ont compris l’intérêt de cette technique de prospection. Ce genre de démonstration apporte la preuve que la géobiologie peut être une science exacte, bien qu’empirique, lorsqu’elle est pratiquée par des gens compétents.
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La cathédrale peut être activée depuis le carré magique (carré jaune) situé dans l’axe de l’édifice à 12 mètres en avant de la porte d’entrée. Il n’est bien entendu pas dessiné sur le sol, mais il est facilement repérable par le croisement de deux lignes Curry et par un quadrillage formé par une démultiplication volontaire du réseau Hartmann S’il n’y a pas de réseau Hartmann, méfiez-vous de votre mental, votre carré magique n’existe certainement que dans votre tête !
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La raison principale de la présence d’un carré magique n’est pas l’activation du lieu. Promenez-vous sur les cases, utilisez votre intuition, vous finirez par en ressentir les effets savamment calculés et mis en place par les maîtres bâtisseurs.
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Du choeur partent une série de tubes, appelés " tubes magiques " (lignes jaunes) qui relient la cathédrales à d’autres édifices sacrés de la région. Ces tubes ont été mis en place par magie opérative lors de la construction de l’édifice, d’autres, bien plus anciens, datent des utilisations successives et antérieures de ce site sacré. Lorsque les tubes sont activés, l’énergie arrive en grande quantité sur le point central.
Nous utilisons ces tubes pour nous envoyer des messages à distance. La transmission, basée sur le principe de Morse, est pratiquement instantanée. Ce genre d’expérience est inoubliable pour ceux dont la sensibilité est suffisante pour participer.
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Tout édifice sacré est basé sur les Nombres et la Géométrie. La géométrie utilisée par les bâtisseurs est une géométrie euclidienne dont le tracé, outil de l’architecte, sert à l’élaboration du plan et à la mise en oeuvre de l’édifice.
Il y a un lien direct et naturel entre l’art de dessiner et l’art de construire.
Peut-être faut-il être architecte pour comprendre cela. L’art du trait et l’art de construire relèvent d’une même logique. Les réflexions de certains historiens ou occultistes en tout genre me font bien rire. Je ne leur en veux pas de n’avoir jamais tenu en main une pierre et une truelle, mais quand je vois leur tracé où la majorité des lignes ne correspondent à aucun élément d’architecture, je n’appelle pas cela de la géométrie. Ont-ils seulement pris la peine d’aller vérifier leur hypothèse in situ, avec une chevillère (double décamétre) ? Je l’ai fait et je peux vous assurer que cela marche à 1 ou 2 cm près ! Combien de fois ai-je vu des plans de cathédrale superposés à des Fleurs-de-Vie, à des arbres séphirotiques ou à des étoiles à 5, 6 ou 7 branches ? Ce ne sont que des spéculations ésotériques sans fondement, une projection de désirs sans lien avec la réalité.
L’art du Trait est une science exacte. Elle est opérative et non pas spéculative, s’il en est qui arrivent encore à comprendre la différence entre les deux et qui n’ont pas leur mental embué par la désinformation ésotérique et exotérique.
Voici la liste des 7 outils géométriques utilisés par les bâtisseurs :
les rapports musicaux de la gamme diatonique les polyèdres réguliers et leur bissection les racines carrées et la division sacrée le nombre d’or (Phi) et ses dérivés l’inscription et la circonscription de polyèdres réguliers les quadratures du cercle et le cercle et les arcs de cercle.
Ces outils sont décrits en détail dans mon cours de géométrie sacrée.
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Tous les édifices construits par des bâtisseurs sont tracés avec au moins un de ces outils géométriques. Ils ont été utilisés avec la même rigueur depuis Sumer jusqu’à la période baroque. .
Le but de la géométrie sacrée est d’obtenir une cohérence maximale. C’est pour cette raison qu’il faut utiliser le moins possible d’outils géométriques différents. Si, en cherchant le tracé régulateur d’une église, vous découvrez qu’un seul outil géométrique a été utilisé, en plan et en élévation, vous pouvez être certain de détenir la vraie clé.
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En voici la démonstration pour la cathédrale de Fribourg.
Que l’on prenne les axes des murs et des piliers ou le volume intérieur (nu des murs), tout le tracé géométrique en plan et en coupe repose sur le nombre d’or (Phi = 1,618) et sur ses dérivés, en particulier sa racine carrée. La nef est composée de rectangles homothétiques dont les diagonales forment un angle de 108º (angle du pentagone). Ces rectangles sont basés sur le nombre d’or, car le rapport entre le grand côté et la demi-diagonale vaut Phi. Je n’en dirai pas plus car le tracé parle de lui-même. De l’édifice entier jusqu’au détail d’architecture, la cohérence est totale.
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Nous trouvons dans le narthex deux pierres en granit, enchâssées dans un sol en grès. La première pierre est constituée de deux blocs accolés mesurant chacun 29,5 cm par 80,3 cm. Les spécialistes reconnaîtront immédiatement le pied romain. Nous la retrouvons à Fribourg dans la largeur des bases des colonnettes du narthex.
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Notez au passage que le rapport entre le diamètre des colonnettes et leurs bases vaut Phi. La dimension de 80,3 cm correspond à la coudée sacrée locale, à la latitude de Fribourg. Il est difficile de la calculer, en raison de l’aplatissement des pôles de la Terre, mais les Anciens savaient la mesurer de manière empirique en utilisant les étoiles.
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La deuxième pierre mesure 29,5 cm par 55,74 cm. La diagonale vaut 63,069 cm soit exactement une coudée sacrée égyptienne. Elle correspond environ au 1/1’000’000e du rayon terrestre.
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Cette coudée se retrouve dans la cathédrale, car l’entre axe des piliers de la nef mesure exactement 12 coudées sacrées. L’utilisation de la coudée égyptienne et du pied romain nous démontre la filiation historique de l’art des bâtisseurs. Elle crée une résonance subtile avec les Anciens et leur savoir.
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L’analyse géobiologique et énergétique nous a permis de dresser la carte des points positifs et négatifs. Partant de là, nous avons imaginé un parcours logique que nous avons testé, avec quelques variantes, sur plus de 40 personnes. Notre dernière expérience, illustrée sur les schémas, a été minutée et mesurée de façon précise. Le parcours, d’une durée totale de 15 minutes, a été effectué en réglant le rythme des pas, la durée des stations et la respiration sur les battements du coeur. A la fin du parcours, l’énergie de la personne est presque multipliée par 4. Elle est encore du double après 12 heures. Précisons toutefois que ces valeurs peuvent fortement varier d’un individu à l’autre.
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