On assiste depuis quelques semaines à une forte agitation dans les médias officiels, qui se livrent à une contre-attaque en règle contre ceux qu'ils qualifient de " conspirationnistes" ou de " complotistes ". A cela s'ajoute un problème supplémentaire : ce projet de vaccination contre la grippe A(H1N1), étendu d'emblée à une échelle planétaire, sur simple décision de l'OMS, de l'Organisation Mondiale de la Santé, qui se positionne de ce fait comme une première instance de gouvernance mondiale , dictant à tous les pays du monde la conduite à tenir en matière de santé publique, en s'appuyant sur une pandémie, portée par celle-ci au niveau 6, le plus élevé, et cela sans avoir fourni le moindre justificatif chiffré.
Les citoyens de très nombreux pays voient leurs gouvernements et ministres répercuter dans l'urgence ces directives. Des plans de vaccination à très vaste échelle, incluant éventuellement des mesures coercitives, voire l'appui d'autorités policières et militaires, avec décret d'un état d'urgence, sont définis et commencent à être mis en place.
Tout le monde sait que l'affection virale nommée grippe, qui affecte indifféremment les hommes et les animaux, sévit avec plus d'intensité à la saison froide. Les lecteurs doivent savoir que la grippe banale, saisonnière, tue au bas mot un demi-million de personnes dans le monde chaque année ( et de 2500 à 3500 personnes pour le seul pays France ), en général en affectant le système de défense immunitaire des personnes touchées, et en les rendant vulnérables à d'autres affections, bactériennes cette fois, ce phénomène étant nommé surinfection. Les décès sont donc majoritairement le fait de personnes de plus de 65 ans, mais ces surinfections peuvent aussi déboucher sur des suites fatales pour des individus plus jeunes, de très jeunes enfants ou des individus apparemment en bonne santé.
Des études ont montré que, vis à vis de cette grippe saisonnière, l'efficacité d'une protection assurée par une vaccination n'était nullement prouvée, étant donnée la grande facilité que présentait le virus à évoluer au fil du temps, donc d'être moins vulnérable à cette vaccination. J'ai soixante douze ans. J'ai personnellement suivi une bonne demi-douzaine de fois la prescription de vaccination, en m'y prenant à l'avance, pensant ainsi couper à la grippe et ... ça n'a jamais marché. Simple expérience personnelle, certes. Mais j'ai tout à fait le droit d'en faire état.
Une pandémie est une épidémie qui touche une vaste population d'individus, et s'étend sur de nombreux pays. Sous cet angle la banale grippe saisonnière est une pandémie.
Le monde a connu des pandémies à forte létalité, comme la célèbre grippe espagnole de 1918. Mais d'aucuns feront remarquer que le phénomène a sévi :
- A une époque où les populations touchées possédaient des systèmes immunitaires affaiblis par les privations, la promiscuité, l'absence de mesures d'hygiène.
- A une époque où l'absence de recours possible aux antibiotiques ne permettait pas de combattre les surinfections bactériennes par l'action des antibiotiques.
En 2004 des humains ont été victimes d'une grippe aviaire, véhiculée par les volailles, et transmissible à l'homme, avec un fort coefficient de létalité ( 40 à 60% de décès). Mais s'il s'est avéré que si le virus pouvait se transmettre des volailles d'élevage aux êtres humains, il n'y eut pas, ou peu de contaminations d'être humain à être humain. On associe aux grippes deux attributs bien distincts:
- Leur contagiosité : la capacité du virus à se propager au sein de populations humaines
- Leur létalité : le pourcentage de décès chez les sujets atteints.
Sous cet angle la grippe aviaire qui a fait depuis 2004 quatre cent victimes ( en cinq ans, à l'échelle de la planète entière !) peut être considérée comme :
- A forte létalité
- Faiblement contagieuse ( pas de contagion d'être humain à être humain )
En comparaison :
- La grippe saisonnière est très contagieuse ( d'être humain à être humain ). Elle débouche très rapidement, étant donnée la contagion assurée par les moyens de transport modernes, sur une pandémie à l'échelle planétaire.
- Par contre son taux de létalité est faible ( un décès pour mille individus atteints )
La grippe porcine A(H1N1) ne doit pas alarmer systématiquement, de par son appellation, car il n'existe pas de barrière d'espèces entre les différents virus humains et animaux. Ces croisements ont toujours existé. Pour comprendre le sens des lettres " A " , " H " et " N " et quels sont les différentes espèces de virus.
Les pays à climat dit tempéré, sont des pays où celui-ci est fortement influencé par l'impact saisonnier. Voici, sur cette carte, les zones climatiques de la planète :
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Tous les pays de l'hémisphère sud, correspondant à un climat tempéré, de même évolution nature que celui de leurs équivalents de l'hémisphère nord ( Argentine, Australie, Nouvelle Zélande, Nouvelle Calédonie ) connaissent l'hiver austral, en juin, juillet, août. En septembre-octobre, dans ces pays, c'est le printemps. L'hiver est derrière.
Dans les deux hémisphères, les saisons sont décalées de six mois. L'hiver chez les uns, c'est l'été chez les autres.
Je m'aperçois, en questionnant simplement mon entourage, que peu de gens connaissent l'origine du phénomène des saisons. Bien sûr, selon les lois de Kepler, la Terre décrit autour du Soleil une orbite qui n'est pas circulaire, mais en forme d'ellipse, le Soleil occupant d'un des foyers. Il en est de même pour toutes les planètes du système solaire. Si l'excentricité de l'orbite de Mercure est importante ( 0,2 ) et "visible à l'oeil nu " (sur une carte montrant les orbites de différentes planètes ) celle de la Terre, douze fois plus faible, est pratiquement négligeable. On peut donc considérer que le Soleil se situe pratiquement au centre de la trajectoire quasi circulaire, que la Terre parcourt autour de celui-ci. Le phénomène des saisons n'est donc pas dû à l'éloignement ou au rapprochement de notre planète vis à vis de l'astre du jour, comme certains ont tendance à le croire.
Il est dû à l'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre par rapport à la perpendiculaire au plan dans lequel notre planète évolue. Si cette inclinaison était nulle il n'y aurait pas de saisons. La température au sol dépend de l'angle sous lequel le rayonnement solaire attaque l'atmosphère terre. Prenons l'exemple d'une planète imaginaire, dont l'axe de rotation serait parallèle à la perpendiculaire à son plan orbital (dit " plan de l'écliptique " ).
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- A l'équateur les rayons attaquent l'atmosphère perpendiculairement : l'insolation est maximale.
- Aux pôles ces rayons arrivent tangentiellement : l'insolation est minimale.
- A une latitude proche de 45 degrés ( pays de l'hémisphère nord ) les rayons attaquent les hautes couches atmosphériques sous un angle de 45°. Une partie atteint le sol et l'autre est réfléchie, et l'énergie que véhicule ce rayonnement va se perdre dans le vide interplanétaire.
Sur une telle planète, exempte de saisons, on aurait donc des régions polaires, très froides, une région équatoriale à température maximale, et sur les deux hémisphères une variation continue entre ces deux extrêmes. S'il existait une pandémie grippale sur une telle planète, celle-ci sévirait, dans les deux hémisphères, sans variations saisonnières particulières.
Introduisons maintenant une inclinaison de l'axe de rotation de la Terre :
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Cette inclinaison reste invariable, par effet gyroscopique. L'axe de rotation de la Terre, tout au long de l'année, pointe toujours vers la même direction, dans la voûte céleste. Il se trouve que dans l'hémisphère nord une étoile se trouve assez proche de cette direction, et nous l'appelons de ce fait l'étoile polaire. Si vous mettez un appareil photographique en pose, pointant dans cette direction du ciel, " pendant un certain temps ", vous obtiendrez ceci :
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Le " pôle céleste " est ... vide.
L'étoile polaire " tourne autour ".
Elle en est simplement très proche
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Les Argentins, les Australiens, ne disposent pas, pour se guider la nuit, d'une direction du ciel indiquée par une étoile. La région avoisinant le "pôle céleste sud" est plutôt vide. En 1750-1752 un français, Nicolas Louis de Lacaille, effectue une croisière dans l'hémisphère sud. Il groupe les étoiles en constellations, de manière tout à fait arbitraire, selon son bon vouloir, et leur donne les noms de son choix, à la hauteur de son imagination de Jésuite
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et leur conféra des noms
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Cette inclinaison de l'axe de rotation de la Terre, de 23° crée le phénomène des saisons. Au passage, cette inclinaison est aussi responsable de l'allongement des jours durant l'été, et de leur raccourcissement pendant l'hiver. Ces jours de durées maximale ou minimale son appelés les solstices. Le 21 juin est dans l'hémisphère nord le jour le plus long, celui du solstice d'été. Mais pour les Australiens cela correspond à la journée la plus courte, à leur solstice d'hiver. Inversion analogue pour le 21 décembre, solstice d'hiver pour l'hémisphère nord et d'été pour l'hémisphère sud.
Quand l'axe de rotation de la Terre se situe dans un plan parallèle à la perpendiculaire au plan de l'orbite terrestre, les nuits et les jours sont de même longueur. Ce sont les équinoxes, qui se situent, pour les deux hémisphères ( au même moment ) le 20 mars et le 22 septembre.
Les habitants de l'équateur vivent une situation d'équinoxe permanent. Tout au long de l'année, la durée des jours égale celle des nuits : 12 heures. S'il y a des phénomènes saisonniers (saison des pluies ) ceux-ci ne sont pas liés à la variation de l'orientation de l'insolation solaire au long de l'année.
Tout cela pour dire que pour les habitants de l'hémisphère sud, l'hiver correspond au mois de juin-juillet-août. En septembre nos Argentins, Australiens, Néo-Zélandais de Néo-Calédoniens émergeaient donc de l'hiver austral et il était donc possible de dresser, pour eux, un bilan complet de l'effet de la grippe H1N1 sur ces populations, ce qui fut fait.
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Cette grippe ne fut en aucune façon plus dommageable que la grippe saisonnière habituelle. Les chiffres donnent même un nombre de décès inférieur à la moyenne des années précédentes. Ce qui n'empêcha pas les pays de l'hémisphère nord de mettre en chantier un vaccin, construit à la hâte ( en deux mois, mélangé à des additifs possédant des réputations exécrables, le squalène, le mercure ! ) afin se tenir prêts à subir des effets que l'OMS prévoit comme cataclysmiques.
Bien sûr, pour l'industrie pharmaceutique, cette opération s'avère fabuleusement profitable, se traduira par un bénéfice colossal. A l'inverse, si cette vaccination n'avait pas lieu, il s'agirait d'une perte sèche fort désagréable pour les gouvernements. Une question émerge immédiatement :
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Si cette vaccination est justifiée, serait-ce à dire que pour un raison mystérieuse, le fait d'habiter dans l'hémisphère sud protégerait les terriens de la grippe, ou qu'à l'inverse le fait de résider dans l'hémisphère nord les rendraient plus vulnérables ? Tout ceci semble parfaitement absurde. Et à ce stade le seul mot qui vient aux lèvres est:
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Pour quelle raison ce virus H1N1 se révélerait-il plus meurtrier dans l'hémisphère nord ?!? Comment, et de quel droit envisage-t-on de contraindre de vastes ensembles de populations à subir les injections de cette vaccination, qui plus est avec un vaccin non testé, dopé par des adjuvants qui sont de dangereux neurotoxiques ?
Ma conclusion est simple. Toute grippe "normale ", saisonnière, est pandémique. Grâce aux moyens de transport modernes elle se propage rapidement à l'ensemble de la planète. Et c'est le cas pour cette grippe H1N1, ce qui avéré. Sur la base des données dont nous disposons, concernant son impact dans les pays à climat tempéré de l'hémisphère sud :
- Cette grippe est fortement contagieuse, d'être humain à être humain, comme la grippe saisonnière habituelle, ni plus, ni moins.
Nous allons donc vivre, nous, habitants de l'hémisphère nord, cette aventure de la vaccination contre le H1N1. Certains se feront volontairement vacciner, cédant à l'intense propagande ambiante, à un bourrage de crâne ahurissant, relayé par les pouvoirs publics. D'autres s'abstiendront de le faire. Dans certaines régions du monde des citoyens y seront peut-être contraints par la force armée, par leur police. Dans le milieu médical, dans certains pays, le refus de se faire vacciner entraîne déjà le licenciement des intéressés. Aux Etats-Unis des mesures ont d'ores et déjà été prises pour rendre obligatoire la vaccination :
- pour les personnels du corps médical
- Ou cette grippe H1N1 ne sera pas plus dommageable en vies humaines qu'une banale grippe saisonnière ( hypothèse la plus probable, sur la base des données collectées dans l'hémisphère sud où, rappelons-le, les gens vivent leur saison printanière ).
- Ou il y aura des morts, en nombre significativement plus élevé, ce qui sera alors totalement anormal, d'un point de vue scientifique.
Dans tous les cas de figure, l'industrie pharmaceutique aura réalisé des profits colossaux. On aura fait la démonstration qu'on pouvait inciter des citoyens, ou les contraindre, à consommer " des produits de santé (? ....) " par simple incitation, bourrage de crâne, avec le relais des gouvernements en place et des médias.
Dans la première option, les vaccinés devront subir les dommages collatéraux liés aux adjuvants présents dans des vaccins conçus à la va-vite et diffusés sans " AMM " ( Autorisation de Mise sur le Marché ). Si la campagne de vaccination, volontaire ou obtenue par la contrainte, est importante, et si le nombre des décès n'est pas significativement important, l'OMS pourra clamer que " c'est grâce à cette mesure de prévention ".
En cas de succès de cette campagne, de facto, cela représentera le premier impact d'une gouvernance à l'échelle mondiale, de l'exercice d'un arbitraire non motivé par des faits.
Le discours de l'OMS, des dirigeants de nombreux pays, sinon de tous les pays, à commencer par le nôtre, nous contraint à nous poser sérieusement des questions, vis à vis d'une situation devenue complètement ubuesque. Ces gens agissent-ils
Une quatrième option étant ... un possible mélange des trois.
Si la pandémie liée à l'extension des effets du virus H1N1 dans l'hémisphère nord se traduit par un accroissement significatif des décès, il faudra s'interroger sur las cause d'un tel phénomène, qui serait alors parfaitement anormal. Encore faudrait-il que cet accroissement soit réel ou non simulé, dramatisé à coup de médias. On imagine déjà les gros titres des journaux :
- Cinq nouveaux décès au centre de Créteil de malades atteints par le virus H1N1. Roselyne Bachelot réconforte les familles, et dit que tout sera fait pour endiguer ce terrible fléau.
- Documents exclusifs : des reporters, vêtus de tenues spéciales, ont été admis à filmer le bunker souterrain, biologiquement sécurisé, d'où Roselyne Bachelot et ses collaborateurs gèrent le combat contre le H1N1
- L'Elysée s'interdit désormais tout déplacement dans les zones à risque. Sur cette carte, l'extension inexorable du virus, dont le nombre des victimes atteint désormais 1400 personnes.
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A proximité, la formation stellaire la plus remarquable,
la " Croix du Sud "
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La machine pneumatique
Le Burin
Le Compas
Le Fourneau
L'Horloge
La Table
Le Microscope
La Règle
L'Octant
Le Peintre
La Boussole
Le Réticule
Le Sculpteur
Le Télescope
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Cette inclinaison de l'axe de rotation de la Terre, de 23° crée le phénomène des saisons. Au passage, cette inclinaison est aussi responsable de l'allongement des jours durant l'été, et de leur raccourcissement pendant l'hiver. Ces jours de durées maximale ou minimale son appelés les solstices. Le 21 juin est dans l'hémisphère nord le jour le plus long, celui du solstice d'été. Mais pour les Australiens cela correspond à la journée la plus courte, à leur solstice d'hiver. Inversion analogue pour le 21 décembre, solstice d'hiver pour l'hémisphère nord et d'été pour l'hémisphère sud.
Quand l'axe de rotation de la Terre se situe dans un plan parallèle à la perpendiculaire au plan de l'orbite terrestre, les nuits et les jours sont de même longueur. Ce sont les équinoxes, qui se situent, pour les deux hémisphères ( au même moment ) le 20 mars et le 22 septembre.
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Les habitants de l'équateur vivent une situation d'équinoxe permanent. Tout au long de l'année, la durée des jours égale celle des nuits : 12 heures. S'il y a des phénomènes saisonniers (saison des pluies ) ceux-ci ne sont pas liés à la variation de l'orientation de l'insolation solaire au long de l'année.
Tout cela pour dire que pour les habitants de l'hémisphère sud, l'hiver correspond au mois de juin-juillet-août. En septembre nos Argentins, Australiens, Néo-Zélandais de Néo-Calédoniens émergeaient donc de l'hiver austral et il était donc possible de dresser, pour eux, un bilan complet de l'effet de la grippe H1N1 sur ces populations, ce qui fut fait.
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Effet nul
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Cette grippe ne fut en aucune façon plus dommageable que la grippe saisonnière habituelle. Les chiffres donnent même un nombre de décès inférieur à la moyenne des années précédentes. Ce qui n'empêcha pas les pays de l'hémisphère nord de mettre en chantier un vaccin, construit à la hâte ( en deux mois, mélangé à des additifs possédant des réputations exécrables, le squalène, le mercure ! ) afin se tenir prêts à subir des effets que l'OMS prévoit comme cataclysmiques.
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Préventivement, dans de nombreux pays, on s'apprête donc à vacciner des centaines de millions de personnes, éventuellement manu militari, alors que l'expérience vécue dans l'hémisphère sud semble indiquer que cette grippe est plutôt moins meurtrière que la grippe saisonnière des plus banales.
Bien sûr, pour l'industrie pharmaceutique, cette opération s'avère fabuleusement profitable, se traduira par un bénéfice colossal. A l'inverse, si cette vaccination n'avait pas lieu, il s'agirait d'une perte sèche fort désagréable pour les gouvernements. Une question émerge immédiatement :
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Pourquoi vacciner massivement les populations de l'hémisphère nord
contre une maladie qui s'est avérée bénigne dans l'hémisphère sud ?
Si cette vaccination est justifiée, serait-ce à dire que pour un raison mystérieuse, le fait d'habiter dans l'hémisphère sud protégerait les terriens de la grippe, ou qu'à l'inverse le fait de résider dans l'hémisphère nord les rendraient plus vulnérables ? Tout ceci semble parfaitement absurde. Et à ce stade le seul mot qui vient aux lèvres est:
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Pourquoi tout ce cirque ?
Pour quelle raison ce virus H1N1 se révélerait-il plus meurtrier dans l'hémisphère nord ?!? Comment, et de quel droit envisage-t-on de contraindre de vastes ensembles de populations à subir les injections de cette vaccination, qui plus est avec un vaccin non testé, dopé par des adjuvants qui sont de dangereux neurotoxiques ?
Ma conclusion est simple. Toute grippe "normale ", saisonnière, est pandémique. Grâce aux moyens de transport modernes elle se propage rapidement à l'ensemble de la planète. Et c'est le cas pour cette grippe H1N1, ce qui avéré. Sur la base des données dont nous disposons, concernant son impact dans les pays à climat tempéré de l'hémisphère sud :
- Cette grippe est fortement contagieuse, d'être humain à être humain, comme la grippe saisonnière habituelle, ni plus, ni moins.
- Son taux de létalité, sa dangerosité est inférieure à celle d'une grippe saisonnière normale.
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Le faire serait admettre la possibilité qu'un virus grippal, qui s'étendra nécessairement à l'ensemble de la planète, comme tout virus saisonnier, puisse être plus virulent dans l'hémisphère nord que dans l'hémisphère sud, ce qui relèverait alors d'un phénomène que l'on pourrait qualifier de paranormal, ou de simplement ... d'anormal.
Nous allons donc vivre, nous, habitants de l'hémisphère nord, cette aventure de la vaccination contre le H1N1. Certains se feront volontairement vacciner, cédant à l'intense propagande ambiante, à un bourrage de crâne ahurissant, relayé par les pouvoirs publics. D'autres s'abstiendront de le faire. Dans certaines régions du monde des citoyens y seront peut-être contraints par la force armée, par leur police. Dans le milieu médical, dans certains pays, le refus de se faire vacciner entraîne déjà le licenciement des intéressés. Aux Etats-Unis des mesures ont d'ores et déjà été prises pour rendre obligatoire la vaccination :
- pour les personnels du corps médical
- pour les militaires
- pour les gardes nationaux
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Il y aura deux scénarios possibles.
- Ou cette grippe H1N1 ne sera pas plus dommageable en vies humaines qu'une banale grippe saisonnière ( hypothèse la plus probable, sur la base des données collectées dans l'hémisphère sud où, rappelons-le, les gens vivent leur saison printanière ).
- Ou il y aura des morts, en nombre significativement plus élevé, ce qui sera alors totalement anormal, d'un point de vue scientifique.
Dans tous les cas de figure, l'industrie pharmaceutique aura réalisé des profits colossaux. On aura fait la démonstration qu'on pouvait inciter des citoyens, ou les contraindre, à consommer " des produits de santé (? ....) " par simple incitation, bourrage de crâne, avec le relais des gouvernements en place et des médias.
Dans la première option, les vaccinés devront subir les dommages collatéraux liés aux adjuvants présents dans des vaccins conçus à la va-vite et diffusés sans " AMM " ( Autorisation de Mise sur le Marché ). Si la campagne de vaccination, volontaire ou obtenue par la contrainte, est importante, et si le nombre des décès n'est pas significativement important, l'OMS pourra clamer que " c'est grâce à cette mesure de prévention ".
En cas de succès de cette campagne, de facto, cela représentera le premier impact d'une gouvernance à l'échelle mondiale, de l'exercice d'un arbitraire non motivé par des faits.
Cela constituera ainsi une sorte de test, vis à vis du projet d'instauration d'un gouvernement mondial, qui est loin d'être un mythe. La réaction de la population sera aussi testée, ainsi que la possibilité d'y faire face par la contrainte, de mille façon, y compris en procédant à l'internement des récalcitrants ( " pour protéger la population de risques de contamination par des gens irresponsables qui pourraient devenir porteurs du virus " ).
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Si la population reste passive, ou peut être matée sans trop de difficulté, grâce à un arsenal répressif qui révélera alors son existence et son ampleur, cela montrera, dans certains pays, qu'il existe une possibilité d'instaurer une dictature de nature fasciste. Déjà, l'arsenal des armes non léthales, de contrôle des foules, existe, qui permet d'interdire toute manifestation ou rassemblement ( armes chimiques, armes à micro-ondes, armes laser, armes soniques ).
Le discours de l'OMS, des dirigeants de nombreux pays, sinon de tous les pays, à commencer par le nôtre, nous contraint à nous poser sérieusement des questions, vis à vis d'une situation devenue complètement ubuesque. Ces gens agissent-ils
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- Par simple connerie ?
- Parce qu'ils sont au service de puissances d'argent ?
- Ou pour des raisons plus graves encore ?
Une quatrième option étant ... un possible mélange des trois.
Si la pandémie liée à l'extension des effets du virus H1N1 dans l'hémisphère nord se traduit par un accroissement significatif des décès, il faudra s'interroger sur las cause d'un tel phénomène, qui serait alors parfaitement anormal. Encore faudrait-il que cet accroissement soit réel ou non simulé, dramatisé à coup de médias. On imagine déjà les gros titres des journaux :
- Cinq nouveaux décès au centre de Créteil de malades atteints par le virus H1N1. Roselyne Bachelot réconforte les familles, et dit que tout sera fait pour endiguer ce terrible fléau.
- Documents exclusifs : des reporters, vêtus de tenues spéciales, ont été admis à filmer le bunker souterrain, biologiquement sécurisé, d'où Roselyne Bachelot et ses collaborateurs gèrent le combat contre le H1N1
- L'Elysée s'interdit désormais tout déplacement dans les zones à risque. Sur cette carte, l'extension inexorable du virus, dont le nombre des victimes atteint désormais 1400 personnes.
- Un second ministre atteint par le virus et admis au centre de soins intensif du Val de Grâce.
Il faut garder en tête que si la grippe saisonnière, qui sévit pendant disons, un maximum de quatre à six mois, elle tue alors en moyenne de vingt à cent malades par jour.
Si on constate un accroissement significatif du nombre des victimes, alors celui-ci ne pourra qu'avoir été provoqué. Et si le public s'étonne que la grippe tue sensiblement plus de monde dans l'hémisphère nord que dans l'hémosphère sud, on lui expliquera ( l'explication est déjà prête à l'emploi ) " que c'est parce que le virus, entre temps, a muté " ( auquel cas l'acte de vacciner perdrait alors tout son sens, le vaccin H1N1 devenait complètement inutile ).
Il faut garder en tête que si la grippe saisonnière, qui sévit pendant disons, un maximum de quatre à six mois, elle tue alors en moyenne de vingt à cent malades par jour.
Si on constate un accroissement significatif du nombre des victimes, alors celui-ci ne pourra qu'avoir été provoqué. Et si le public s'étonne que la grippe tue sensiblement plus de monde dans l'hémisphère nord que dans l'hémosphère sud, on lui expliquera ( l'explication est déjà prête à l'emploi ) " que c'est parce que le virus, entre temps, a muté " ( auquel cas l'acte de vacciner perdrait alors tout son sens, le vaccin H1N1 devenait complètement inutile ).
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Egger Ph.