Un porte-parole de BP l’a avoué à la chaîne américaine ABC News, la compagnie a acheté des mots-clés sur des moteurs de recherches, comme Google, pour rediriger les requêtes sur son propre site. Ainsi, si l’on cherchait «marée noire» jusqu’à mardi, on tombait en premier lieu sur le site officiel de British Petroleum avant de voir les milliers d’autres résultats. BP étant extrêmement mal vue depuis le début de la catastrophe, elle essaie ainsi de gagner la bataille de la communication.
Nouvo