Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mercredi 28 juillet 2010

La Poya (jeu de société)

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Un jeu de société Suisse créé par des amoureux de la Vache et des Montagnes.




LA POYA: une parade


Dans le canton suisse de Fribourg l'armailli, responsable du troupeau durant la saison d'alpage, a la charge de conduire le bétail sur le pâturage.

Cette tâche devient vite un plaisir et notre armailli prend rapidement le goût à la parade lors de la montée et de la descente de l'alpage.

Dès que l'automne arrive, l'armailli est fier de mener un troupeau joliment décoré.

La Poya est alors devenue une tradition populaire encore bien vivante.

Ce jeu s’adresse à un public âgé de plus 8 ans qui aime l’image de la Suisse à travers la vache dans son univers d’alpage.

Son côté symbolique et culturel le destine aussi bien à des consommateurs en recherche de souvenirs à l’image du pays de "Heidi" qu’à des personnes qui sont curieuses de mieux connaître la vache en famille ou entre amis dans une ambiance ludique.

Nombre de joueurs, 2 à 6.

La conception de ce jeu est suisse

Les illustrations sont d’un dessinateur suisse de renom.

Les textes sont en Français, Allemand, Italien et Anglais.

Les dessins, noms et idée sont protégés par les lois sur les droits d’auteur, le copyright et la protection des marques.

Dans ce nouveau jeu, la vache remplace l' oie pour une trépidante poya

Pédagogique avec ses 110 questions sur la vache laitière, le jeu de société conçu par une Vaudoise devrait se vendre comme des petits-beurre. D'autant qu'il est en quatre langues.

Cette femme a eu une idée de génie : Chantal Folliet-Pervangher a inventé un jeu de société façon jeu de l’oie

Dont l’héroïne est la vache, animal presque sacré pour les Helvètes et symbole connu dans le monde entier. Mais comment une hygiéniste dentaire vaudoise (elle vit à Gland) en est-elle venue à imaginer La Poya et à passer deux ans à le concrétiser?

«Je suis une joueuse» , commence par expliquer Mme Folliet-Pervangher. Mais encore: «J'ai appris un jour que pour qu’une vache donne du lait, il faut qu'elle ait fait un veau. Et je me suis rendu compte qu'on connaît très mal cet animal, même si on le voit partout. Les enfants en savent très peu.»

COMBIEN DE DENTS ?

En visitant des paysans, en se renseignant, elle a rassemblé 110 question-.réponses sur la vache qui constituent les cases pédagogiques de La Poya. Par exemple:

- combien la vache adulte a-t-elle de dents (32, 34 ou 36) ?

- Combien de kilos d'herbe 'broute-t-elle par jour en été (20-30, 30-50 ou 50-80)?

- Pourquoi enlève-t-on les pommes et les poires tombées dans les prés où broutent les vaches ?


Si une partie des questions est plutôt facile, on trouve ,aussi de vraies «colles».

CASES «BOUSE» ETCASES «CLOCHE»

Dessiné par le Montreusien Fabrice Prati, le plateau de jeu déroule une montée à l'alpage trépidante avec ses obstacles (les cases «bouse) qui ralentissent la progression et ses bonus (les cases «cloche»).

Chaque joueur - deux au minimum, six au maximum - doit amener sa vache le plus rapidement possible da la ferme à l'alpage.

Le jeu devrait séduire aussi bien les Helvètes que les touristes.

Tout est prévu: on peut y jouer en quatre langues(français, allemand, italien et anglais). Une version japonaise sera peut-être nécessaire sous peu !

Egger Ph.