Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mercredi 2 février 2011

L'alerte enlèvement passe aussi par SMS

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L'alerte enlèvement, introduite au début de l'année passée, peut désormais aussi être transmise par SMS. Les propriétaires de téléphones portables sont donc priés de s'enregistrer afin d'augmenter le nombre de personnes joignables.

Le dispositif d'alerte est activé en cas de soupçon concret ou de certitude qu'un mineur a été enlevé et que sa vie et son intégrité corporelle sont en danger, rappellent mardi la Conférence des directeurs cantonaux de justice et police (CCDJP) et l'Office fédéral de la police (fedpol).

Déjà relayée par la radio, la télévision, les panneaux d'affichage autoroutiers, les messages sonores des gares et aéroports ainsi que par les agences de presse, l'alerte enlèvement l'est désormais aussi via SMS, grâce aux trois principaux opérateurs de téléphonie mobile du pays. Les premières heures sont décisives pour faire aboutir les recherches et sauver la victime, relève le communiqué.

Inscriptions ouvertes

Le SMS indiquera un lien Internet permettant d'accéder à une photo de la victime. Tout propriétaire de téléphone mobile peut s'inscrire sur Internet (www.alerteenlevement.ch) ou par SMS. Il suffit d'envoyer au 77777 "START ALERTE CODE POSTAL", par exemple "START ALERTE 1000" pour Lausanne. Pour se désinscrire, même opération mais avec "STOP" au lieu de "START".

L'inscription, la désinscription et le changement de code postal sont payants. L'envoi du SMS d'alerte enlèvement par les opérateurs est gratuit.

Comme les personnes à proximité du lieu de l'enlèvement sont les premières à être informées, il est préférable d'indiquer le code postal de la localité où l'on se trouve la plupart du temps. L'enlèvement et le meurtre de Lucie, jeune fille au pair fribourgeoise, et celui d'une fillette de 5 ans en été 2007 ont été pour beaucoup dans la mise en place du système.

ATS