Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

vendredi 4 avril 2014

Etats-Unis : 98% des nouveau-nés subissent un prélèvement d'ADN dans leur première semaine de vie !


Des programmes de dépistage néonatal qui impliquent quelques gouttes de sang au talon du nouveau-né ont été mis en place depuis la fin des années 1960. Ils sont réputés avoir sauvé des milliers de vies en identifiant certains troubles génétiques, endocriniens ou métaboliques qui peuvent être traitées efficacement lorsque dépisté assez tôt.  

Est-ce que ces programmes dissimulés sous de fausses allégations (on dit aux parents que l'enfant reçoit par injection sur le talon la "vitamine K"), servent à d'autres expérimentations génétiques et à un recensement de l'adn de tous les nouveaux-nés ?
 
"Le dépistage néonatal en Amérique", un rapport du Council for Responsible Genetics déclare: "Avant qu'ils n'aient une semaine, 98% des 4,3 millions de bébés nés chaque année aux États-Unis ont un petit échantillon de sang prélevé sur leurs talons" [dans les hôpitaux du Québec, les médecins disent aux parents que les bébés reçoivent, sur le talon, de la "vitamine K".  Est-ce des injections pour prélever de l'ADN?]

Le rapport poursuit: "Ces taches de sang-nés sont ensuite ciblées pour une variété de maladies héréditaires et peut être ensuite stockées dans des bases de données de l'État... les parents ne sont souvent pas au courant de ces programmes de dépistage et de leurs options au consentement."  

Ce programme national dit vouloir faire du dépistage de maladies [évidemment!], mais rien ne justifie le prélèvement d'ADN de bébés sans le consentement des parents.  

Le rapport poursuit en faisant état qu'il y a peu de transparence dans les procédures de stockage et de l'utilisation ultérieure de ces échantillons.  De nombreux États ne disposent pas de politiques claires au sujet du consentement.    

Il y a ensuite la question de savoir qui a accès et qui aura accès à ces millions d'échantillons de sang et aux résultats du dépistage génétique.  

Une base de données de l'ADN de tous les nouveau-nés semble déjà effective, mais dans quel but?  Avec la bio-ingénierie, tous les scénarios sont permis!