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lundi 25 janvier 2016

Calais : placer « No Borders » sur la liste des organisations terroristes ?


L'Etat français ne joue plus son rôle
 en France !

Les français sont agressés chez eux par les migrants, 
soutenus par No Borders







Les images tournées le 23 janvier à Calais montrent une ville assiégée, une ville de non-droit dans laquelle les lois de la République n’ont plus cours. Calais est une zone de non-France, de France hors la France. Les Calaisiens, citoyens français, sont exténués. De par sa situation géographique qui en fait le premier port de liaison avec l’Angleterre, la ville de Calais est envahie par des clandestins venus du Moyen-Orient, du Maghreb et d’Afrique subsaharienne. Les migrants sont majoritairement de jeunes hommes, parmi lesquels certains ont été condamnés à de la prison dans leur pays d’origine. Selon la préfecture du Pas-de-Calais, les migrants en transit dans la « jungle » de Calais étaient 800 en juillet 2014 et plus de 6.000 en octobre 2015, suite à l’explosion de la crise migratoire. Ces chiffres déjà édifiants sont néanmoins très en deçà de la réalité.

Les gouvernement successifs n’ont jamais rien fait pour trouver une solution à cette situation dramatique qui met en danger des familles françaises. Depuis quarante ans, des inaptes, des petits-bourgeois impressionnables et, disons-le, des criminels se succèdent au pouvoir. Le bon sens imposerait de pratiquer une politique d’immigration zéro (en sortant des accords de Schengen), à la manière de l’Australie ou du Japon, qui découragerait les candidats à l’installation ou au transit sur notre territoire. Une telle politique permettrait de régler le problème à l’échelle de la nation. Bien sûr, nos dirigeants, faibles ou idéologues, n’en sont pas capables. Malheureusement, ils ne sont pas plus aptes à régler des crises isolées comme celle que traverse la ville de Calais et ses environs. Pire : ils sont quelques-uns à être convaincus que l’invasion migratoire est une chance (à commencer par madame le maire de Calais, Natacha Bouchart). D’où une politique de « saupoudrage » des « migrants » dans les campagnes françaises qui n’en demandaient pourtant pas tant.

Le cas de Calais est très particulier. Les clandestins se trouvent dans une jungle épouvantable dans laquelle les tensions sont multiples. Les jeunes hommes en « transit » se rendent en ville et créent des incidents insupportables pour la population : vols, agressions, squats et parfois même des viols. Le port est régulièrement bloqué par des migrants qui s’introduisent sur les ferries avec la complicité d’associations para-terroristes (le 23 janvier encore, le Spirit Of Britain a été pris d’assaut par 150 individus). Les Calaisiens vivent dans une situation inacceptable qui devrait faire la honte de la France.

Toujours le 23 janvier, 2.000 personnes ont défilé dans les rues de Calais pour « exprimer leur solidarité avec les migrants ». Ils ont surtout montré leur peu de compassion pour les citoyens français, et même leur haine de la France et de son histoire. Des militants de l’association Calais Solidarity, émanation des No Borders, ont ainsi souillé la statue du général de Gaulle d’un horrible « Nik la France ». Cette association internationaliste milite pour la disparition des frontières et encourage les migrants à commettre des violences. Les No Borders sont les complices des transnationales polluantes, du travail détaché et de l’arbitraire. Ils sont mus par la même idéologie que la grande finance internationale : créer un homme nouveau, remplaçable et corvéable à merci.

Dans un tweet rédigé dans la langue naturelle des mondialistes qu’est l’anglo-américain, Calais Solidarity a justifié la dégradation de la statue du général de Gaulle : « ANIK France/Fuck France/Against all states and anything that places borders between us. » Nul besoin de traduire…

Supplétifs de l’invasion, les No Borders crachent sur nos lois, nos institutions, notre histoire, notre peuple. Ils appellent à notre destruction. Leur activité séditieuse s’apparente à du terrorisme. Dans un pays normal, ces associations et ceux qui les soutiennent devraient d’ailleurs être classés sur la liste des organisations terroristes. Aux côtés du NPA d’Olivier Besancenot, les No Borders et les migrants ont agressé violemment une famille française. Un homme acculé par des militants terroristes anti-France a sorti un fusil factice utilisant des billes. Heureusement, il n‘a pas tiré et a simplement cherché à repousser ces agresseurs qui menaçaient son foyer. Si l’État ne joue pas son rôle, Calais connaîtra de nouveaux drames. Viols de masse, terrorisme, islamisme, invasion migratoire, déculturation : jusqu’à quand la France et l’Europe se laisseront-elles faire ?

Gabriel Robin