Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 14 juin 2016

Pour avoir une chance de gagner la guerre contre l’islamisme…


Une nouvelle fois, des massacres au nom d’Allah ont été commis. Samedi soir, à Orlando, un islamiste a ouvert le feu dans une boîte de nuit gay faisant 49 tués et 53 blessés. En France, c’est un couple de policiers qui a été assassiné hier soir, chez eux et par un de leurs voisins aux cris de « Allah Akbar ». Seul leur fils de 3 ans a survécu. Dans les deux cas, l’État islamique a revendiqué l’attaque et les islamistes étaient déjà connus des services de police. Bref, la chanson est connue.

En France, et à l’heure où j’écris ces lignes, seule Marine Le Pen a nommé l’ennemi : l’islamisme. Les autres, allant de François Hollande jusqu’à Juppé tout en passant par Sarkozy se refusent de mettre « islam » et « terrorisme » dans la même phrase. Le mot d’ordre est également connu : « pas d’amalgames ».

Cependant, et il faut bien le reconnaître, les musulmans sont en effet les premières victimes de l’islam, du moins numériquement. C’est logique car dans toutes idéologies totalitaires, les non-conformistes et opposants sont toujours les premières victimes. Italie fasciste, Allemagne nazie, URSS ne sont que de tristes exemples.

L’islam est un totalitarisme, car il ne contrôle pas seulement la vie spirituelle, mais aussi tout l’aspect juridique, politique, économique, social, culturel et sexuel qui peut entourer un individu, et cela que l’on soit ou non musulman. Ces derniers ne sont donc pas des ennemis en soi, mais des individus qui doivent obéissance aux lois d’Allah, sinon ils se retrouvent, comme nous, dans « la maison de la guerre » (Dar-al-Harb). En somme, plus une société s’islamise, plus la liberté de conscience s’efface.

Quant à la « maison de la guerre », elle est mondiale :

– en Thaïlande et en Birmanie, l’islam est en guerre contre les bouddhistes,
– en Inde, l’islam est en guerre contre les hindous,
– en Israël, l’islam est en guerre contre les juifs,
– aux Philippines, l’islam est en guerre contre les catholiques,
– en Afrique, l’islam est en guerre contre les animistes,
– en Europe et aux USA, l’islam est en guerre contre les agnostiques, les athées et les chrétiens de toutes nuances.

Dans son livre « le choc des civilisations », Samuel Huntington explique très bien que lorsque l’islam rencontre l’Autre, il y a conflit. Ou pour le citer : « l’islam a des frontières sanglantes ».

Nombreux sont ceux qui ne veulent pas s’exprimer publiquement, par crainte d’être traité « d’islamophobe », synonyme d’intolérance, un de nos tabous suprêmes. Cependant, une phobie est une maladie mentale qui se résume par une « peur irrationnelle ». À travers le monde, beaucoup ont peur de l’islam mais à la lumière de l’actualité et de l’histoire, il n’y a absolument rien d’irrationnel dans cette peur. Au contraire, elle est saine et reflète un instinct de conservation. Le jour où notre peur légitime envers le djihadisme sera supérieure à celle d’être insultés, alors nous commencerons à avoir une chance de gagner cette guerre.

Xavier Scott