Le Conseil d’Etat propose d’accepter en partie un postulat sur la question. Le texte demande d’une part de rendre compte de l’état actuel de la surveillance des lieux de cultes musulmans et d’autre part de proposer des mesures d’intégration pour cette communauté.
Le gouvernement refuse de serrer la vis au niveau sécuritaire mais est en faveur de la seconde proposition. Elle s’inscrit dans le projet de la DIAF, la direction des institutions, de l’agriculture et des forêts, de réviser sa loi sur les relations Eglises-Etat. Le Conseil d’Etat proposera donc au Grand conseil de fractionner ce postulat.