Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 10 septembre 2019

Encore une personne qui n'a pas respecté des vaches allaitantes


«La promeneuse piétinée n'avait rien à faire là!»

(Photo: Keystone)
Une Suissesse de 52 ans a été chargée par des vaches allaitantes, lundi dans un pâturage. 
Elle avait passé des clôtures pour récupérer son chien


La balade au pâturage a fini à l'hôpital pour une Suissesse de 52 ans, lundi. La promeneuse, qui marchait dans le secteur du Mont-des-Cerfs, près de Sainte-Croix (VD), a été prise en chasse et piétinée par une trentaine de vaches. Ses jours ne sont pas en danger mais elle souffre de multiples contusions et fractures au niveau du thorax et des côtes.

«Son chien, qui n'était pas attaché, est passé sous la clôture d'un pâturage, précise Cédric Pittet, de la police cantonale vaudoise. Pour le récupérer, la propriétaire est entrée aussi.» Mal lui en a pris. «Les vaches peuvent être extrêmement agressives quand elles sont avec leurs petits et qu'elles sont surprises», reprend le policier. «Faux! s'étrangle la tenancière d'un gîte dans la région, qui possède ses propres têtes de bétail. Les vaches sont curieuses, elles sont attirées mais elles n'attaquent pas! Cette dame, en revanche, n'avait rien à faire là! C'est un manque de respect envers les animaux.» Et la restauratrice de préciser qu'elle se bat tous les jours pour que les visiteurs fassent attention avec les vaches allaitantes ou portantes. «On a des sentiers, mais les gens ne respectent rien, reprend-elle. L'autre jour, j'ai vu 7 personnes avec cinq ou six chiens détachés. C'est n'importe quoi!»

 Francesco Brienza