Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Classement des pannes automobiles par marques 2025 : https://fiabiliteautomobile.blogspot.com/ Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

dimanche 15 juin 2025

Ces petits Romands qui ne savent ni lire ni écrire…


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Des élèves qui ne savent pas lire. Des élèves qui ont de la peine à écrire sans fautes. Des élèves qui ont de la peine à se lever le matin. Des parents qui n'en sont pas vraiment. En Suisse. En 2025. On croit rêver.

Une récente étude montre que seuls 41% des élèves romands atteignent les compétences requises pour l’apprentissage de l’orthographe en français. Une autre révèle qu’un quart des élèves ne peut pas écrire correctement dans la langue nationale de sa région ni comprendre un texte de niveau standard. Pour un pays qui vise l’excellence, c’est lamentable.

L’école joue un rôle prépondérant dans la cohésion de la société et de l’économie. Elle a pour vocation de donner à nos enfants, issus de milieux différents, des bases solides qui les aident à s’épanouir et à grimper l’échelle sociale. C’est ce qu’ont fait avec succès des générations d’enseignants, contribuant ainsi à la prospérité de la Suisse. Mais le modèle s’est grippé.

Il y a une baisse du niveau scolaire en Suisse romande, liée à l'augmentation du nombre d'élèves d'origine étrangère dans les classes. 

A force de vouloir parler de tout et de tout le monde, on s’éloigne de l’essentiel. Il est temps de recentrer l’école sur ses missions fondamentales. Redonner le goût de l’effort, susciter la curiosité, stimuler la réflexion et l’esprit critique, apprendre à prendre ses responsabilités et à se préparer à relever les défis de demain.

Au moment où l’intelligence artificielle s’immisce de plus en plus dans notre quotidien, il est indispensable de renforcer les compétences de base que sont la lecture, l’orthographe et le calcul. Privilégier l’apprentissage des langues nationales.

Il faut cesser la bagarre stérile autour des notes. Les notes, c’est simple, c’est clair. Un instrument nécessaire pour évaluer les progrès de l’élève. La concurrence existe dans la vraie vie. Les échecs font partie du parcours. Il faut apprendre à les surmonter et à en tirer les enseignements.

Quant aux smartphones, ils n’ont rien à faire dans les classes. A Köniz dans le canton de Berne, l'interdiction des téléphones portables dans les écoles a été généralisée. La nouvelle réglementation est louée à la fois par les enseignants, les parents et même les enfants. La preuve qu’il est possible de survivre sans son téléphone greffé sur la main pendant quelques heures.

Il est préoccupant que la majorité de nos enfants passe plus de temps sur les réseaux sociaux qu’à faire leurs devoirs. Une dépendance qui peut les rendre influençables, vulnérables. L’école doit rester une boussole qui leur sert de point de repères et aiguise leur esprit critique. 

L’enseignement idéologique et le matériel woke n’ont pas leur place dans les classes. Enfin, le personnel enseignant mérite le respect. De la part des enfants et des parents. Un recentrage sur les fondamentaux, qui ont fait le succès la Suisse, s’impose.

Le dogme de l’égalité et celui de l’inclusion travaillent évidemment main dans la main pour créer une école où tout le monde réussit dès lors que les exigences sont sans cesse revues à la baisse. On ne lit plus les textes classiques parce qu’ils sont non seulement incompréhensibles pour les enfants d’immigrés, mais qu’ils risquent en plus d’être perçus comme étant méprisants pour eux. On préfère faire dormir les élèves 30 minutes de plus le matin car ils n'arrivent pas à se lever dans certains cantons romands en changeant les heures de cours et de raccourcir la pause de midi (le "repas" de midi, s'il en est encore un, est moins important que le sommeil prolonger du matin les lendemains de fête chaque soir ?!). 

Dans la même veine, on se coupe de ses racines culturelles en interdisant certaines chansons de Noël et fêtes traditionnelles tout en réécrivant l’histoire à la sauce politiquement correcte dans un élan inédit de culpabilisation et d’autocensure. Les immigrés n’en demandent pas tant. Ils sont venus chez nous pour obtenir des chances de vie. Celles-ci sont liées à la qualité. À l’exigence. Au sens du travail bien fait. À la discipline et à une intégration progressive et intelligente. L’éducation à la sauce socialiste, en faisant chuter le niveau, pénalise ceux qu’elle prétend aider: les basses couches sociales, les immigrés, les plus fragiles, qui n’ont que l’école publique pour ascenseur social, puisqu’ils ne peuvent se payer des écoles privées et de fastidieuses années propédeutiques en vue de corriger sur le tard ce qui n’a pas été enseigné au niveau élémentaire et secondaire.

Le nivellement par le bas induit par un égalitarisme forcené devient ainsi le plus grand vecteur d’inégalité. L’inclusion à tout prix d’enfants ne maîtrisant pas nos langues nationales renforce massivement ce nivellement. Il participe pour une bonne part à la baisse du niveau scolaire constaté en occident ces dernières décennies. Au lieu de préparer les enfants d’immigrés – dans des classes spéciales – à leur intégration ultérieure dans les classes ordinaires, on pénalise tout le monde en organisant un fourre-tout indescriptible qui nuit autant au fort qu’au faible et pousse les enseignants au désespoir.

Au mépris des réalités, on fait croire aux citoyens que l’immigration en Suisse ne concerne que des gens d’un haut niveau d’éducation et on tait honteusement la masse des immigrants qui n’ont absolument aucune formation digne de ce nom. Ajoutez à cela la lente progression de ghettos culturels défavorables à l’intégration, des traditions religieuses hostiles à toute adaptation à la vie en Suisse et ses valeurs démocratiques et une criminalité massive importée ou induite par la précarité et vous avez une bombe à retardement prête à exploser. Le racket devient une réalité dans les préaux d’école, la drogue s’y installe insidieusement et les enseignants, au lieu d’être des pédagogues, deviennent de plus en plus des dompteurs. On a beau démultiplier les intervenants dans des classes explosées, privées de toute cohésion, le mal est fait. Pour y remédier, il faut que la Suisse reprenne la haute main sur sa politique migratoire, afin de lui donner un cadre crédible et de pouvoir gérer les flux migratoires sans péjorer la qualité de nos écoles et de notre formation. L’immigration de masse se fait au détriment de la qualité.

Il vaut mieux laisser entrer moins de monde, mais mieux intégrer ceux qui viennent. 


La bonne tambouille actuelle qui ne fonctionne pas  !

Prenez une pâte scolaire quelconque. Apprêtez-la à la sauce égalitaire. Saupoudrez d’une bonne dose d’inclusion. Expurgez-en le savoir, puis intégrez, en remuant prudemment, le savoir-être dans la masse et vous obtiendrez le brouet de l’école moderne qui, au mépris des principes pédagogiques les plus élémentaires, veut formater l’homme nouveau, planétaire, libre de tout enracinement, ouvert jusqu’à l’incontinence et tolérant jusqu’au déni de soi-même.


Hans Struktur & Werner Disciplin

Respectine, Moraline et Motivex, trois remèdes pour cette société qui se cherche dont les valeurs sont avant tout la lâcheté, l’individualisme, le matérialisme, l'égoïsme, le narcissisme et l'ignorance !


Egger Ph.