Contrairement à une idée répandue, il n’existe pas de consensus dans la communauté scientifique pour attribuer le réchauffement climatique global à l’activité humaine. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) un organisme de l’ONU qui a reçu avec l’ancien vice-président des États-Unis Albert Gore le Prix Nobel de la paix 2007 n’est composé qu’à 3 % de climatologues ; la plupart de ses membres étant des diplomates et des fonctionnaires internationaux.
C’est dans ce contexte que plus de 31 000 scientifiques états-uniens ont signé la pétition suivante, déposée au Congrès par Ron Paul :
« Nous recommandons avec insistance au gouvernement des États-Unis de rejeter le protocole sur le réchauffement global rédigé à Kyoto, au Japon en décembre 1997, ainsi que tout autre accord similaire. Les limitations d’émissions de gaz à effet de serre proposées nuiraient à l’environnement, feraient obstacle aux progrès de la science et des technologies, et auraient des conséquences néfastes sur la santé et le bien-être de l’humanité.
Il n’existe pas de travail scientifique convaincant en mesure de prouver que les émissions d’origine humaine de dioxyde de carbone, de méthane ou de tout autre gaz à effet de serre sont, ou seront dans un futur proche la cause d’un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et du dérèglement climatique de la Terre. De plus, il existe des preuves scientifiques substantielles montrant que l’augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique a des effets bénéfiques sur l’environnement naturel végétal et animal de la Terre. »
Simultanément, l’activité principale des sociétés de lobbying au Congrès des États-Unis vise désormais à promouvoir le Protocole de Kyoto. Cette intense pression est financée par de nombreuses multinationales, y compris spécialisées dans le secteur de l’énergie.
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