Des chercheurs écossais ont réalisé une percée dans le domaine de la recherche sur les matériaux invisibles. Ces métamatériaux sont connus pour posséder un «indice de réfraction négatif», qui se traduit par un camouflage magnétique, dans les longueurs d’onde normalement plus élevées que celles du spectre visible. Ici, c’est aux alentours de 620 nanomètres – soit entre le rouge et l’orange – que les physiciens ont travaillé pour produire une matière flexible composée de silicium et de polymère.
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