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lundi 6 août 2012

Le robot Curiosity s'est posé lundi avec succès sur Mars



Les premières images envoyées par «Curiosity». On peut y distinguer une de ses roues ainsi que son ombre.





11:09

Curiosity: à la recherche de traces de carbone organique

Curiosity s'est posé lundi sur Mars au terme d'un voyage de plus de huit mois et après avoir parcouru 567 millions de kilomètres. Au cours de sa mission de deux ans, il va vérifier si la Planète rouge n'abrite pas des traces de constituants de la vie autres que l'eau.

L'engin d'une tonne se déplaçant sur six roues est arrivé non loin d'une haute montagne constituée de couches de sédiments, le Mont Sharp, qui se dresse sur une hauteur de 5 km au milieu du cratère de Gale, cuvette vraisemblablement formée lors de la chute d'un astéroïde ou d'une comète il y a 3,5 à 4 milliards d'années.

Jusqu'ici, la Nasa recherchait les traces sous diverses formes, physique et chimique, de la présence de l'eau indispensable à la vie telle qu'elle a évolué sur la Terre. Désormais, l'agence spatiale américaine se met en chasse des traces du deuxième ingrédient nécessaire pour que la vie microbienne puisse se développer: les molécules de carbone organique.

«Sur Mars, nous avons un environnement riche en radiations qui peut détruire la matière organique. Aussi, même s'il y en a eu, il se pourrait que ce soit difficile de trouver un endroit où elle ait été préservée», explique Michael Meyer, de la Nasa.


Chaud et humide



Sur la Terre, la plus ancienne preuve de vie remonte à environ 3,5 milliards d'années. Des restes fossilisés de micro-organismes unicellulaires ont été découverts en 1958 à l'intérieur de roches sédimentaires. Ce type de roche pourrait exister aussi sur Mars.

Les plus anciennes parties du Mont Sharp pourraient correspondre en partie à l'époque où la vie est apparue sur Terre, époque à laquelle on pense que le climat sur Mars était chaud et humide. Comment le Mont Sharp s'est retrouvé au milieu du cratère Gale est un des mystères que les scientifiques espèrent résoudre.

Quelle que soit la manière dont ce monticule s'est formé, les scientifiques estiment que c'est un cadeau du temps. Rien de tel n'existe sur la Terre où les plaques tectoniques, l'érosion et autres phénomènes naturels reconfigurent en permanence la surface de la planète.

«Nous avons l'occasion de commencer dans le passé, de parcourir la surface du Mont Sharp et de traverser le temps pour voir comment l'environnement a changé», résume Michael Meyer.
09:50

Une nouvelle ère d'exploration scientifique

Planète Mars (ats/afp) Le robot Curiosity s'est posé lundi avec succès sur Mars. Un exploit et un soulagement pour la Nasa, qui n'avait jamais envoyé un robot aussi perfectionné sur une autre planète, ouvrant ainsi une nouvelle ère d'exploration de la planète rouge.

Le robot s'est posé à 07H32 lundi. «Le contact (avec le sol) est confirmé», a annoncé un membre de le mission de contrôle, au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de Pasadena (Californie), à l'est de Los Angeles.

Les membres de la mission de contrôle ont explosé de joie à l'annonce de l'atterrissage du robot, au terme d'une descente de sept minutes extrêmement délicate, qui semble s'être déroulée exactement selon le plan prévu.

Le président américain Barack Obama a immédiatement salué dans un communiqué l'atterrissage de Curiosity, «le plus perfectionné des laboratoires mobiles à se poser sur une autre planète», comme «un exploit technologique sans précédent qui restera comme un jalon de fierté nationale à l'avenir». Les Etats-Unis ont «fait l'histoire» avec cet exploit, a-t-il ajouté.

Premier signal

Peu avant O5H30 GMT (22H30 dimanche soir en Californie), la mission de contrôle avait annoncé avoir reçu un premier signal du robot, juste avant son entrée dans l'atmosphère de la planète rouge, avant de confirmer qu'il avait déployé correctement son parachute - deux signes extrêmement encourageants.

Juste après l'atterrissage du robot, entre les rires et les applaudissements, un des responsables de la mission a distribué des barres chocolatées Mars à ses équipes, dont les membres s'embrassaient et se félicitaient les uns les autres.

Le soulagement a été suivi d'une seconde explosion de joie lorsque le robot a envoyé une première photo d'une de ses roue posée dans le cratère de Gale, puis une seconde immédiatement après, d'une étonnante clarté, de son ombre portée sur la terre martienne, juste après son atterrissage.

«Un grand jour»

Charles Bolden, l'administrateur de la Nasa a estimé que c'était «un grand jour pour la nation (américaine), un grand jour pour tous nos partenaires qui ont (du matériel) sur Curiosity et un grand jour pour le peuple américain».

Le conseiller scientifique du président Obama, John Holdren, interrogé sur par le canal de TV interne de la Nasa, a affirmé pour sa part que l'arrivée de Curiosity sur Mars - une mission d'un coût de 2,5 milliards de dollars - constituait «un énorme pas en avant dans l'exploration des planètes».

«Personne n'avait fait quelque chose comme cela. Nous sommes de fait le seul pays à avoir fait atterrir (des robots) sur une autre planète», a-t-il ajouté.

Missions martiennes

Curiosity - si tout continue à se passer comme prévu - s'ajoute en effet à la liste des missions martiennes américaines réussies, après Viking 1 et 2 (1976), Pathfinder (1997) Mars Exploration Rovers (2004) ou Phoenix (2008).

Débordants de joie, les employés ayant travaillé sur la mission, vêtus de d'un polo bleu avec la date du 5 août brodée sur le coeur, ont fait irruption dans la salle où les responsables de la mission allaient tenir leur première conférence de presse, en brandissant des petits drapeaux américains, semant une joyeuse pagaille pendant plusieurs minutes.

Adam Seltnzer, responsable de la phase de l'atterrissage, est apparu en larmes et a remercié «les polos bleus»: «Je serai satisfait si cela reste comme la meilleure chose que j'ai faite dans ma vie», a-t-il dit lors d'une conférence de presse aux accents résolument patriotiques.

Allure de cyclope

La tâche qui attend maintenant ce robot de 900 kg, de la taille d'une voiture et à la vague allure de cyclope - avec le large objectif de l'une de ses 17 caméras monté sur un mât à deux mètres du sol - est colossale. Alimenté par un générateur nucléaire, il tentera de découvrir si l'environnement martien a pu être propice au développement de la vie.

«Curiosity va étudier les roches» qui l'entourent, a expliqué à l'AFP le Dr Randii Wessen, ingénieur sur la mission. «Il pourra les évaluer de loin, avec son laser, il pourra aussi prendre des roches et étudier leur composition, et nous avons une foreuse qui pourra creuser dans la roche et l'apporter dans le laboratoire de bord», a- t-il poursuivi.

«C'est vraiment un pas de géant dans l'éventail de possibilités qu'on a pu avoir à ce jour sur Mars. C'est énorme», a-t-il ajouté. Avant de prendre la route, Curiosity va néanmoins vérifier avec ses concepteurs terriens que tout ses appareils sont en ordre de marche, un processus qui prendra plusieurs jours, voire semaines.

ATS
09:49

émotion à Toulouse pour l'atterrissage de Curiosity sur Mars

Un millier de personnes ont applaudi, lundi, l'atterrissage réussi du robot américain Curiosity sur Mars, à la Cité de l'Espace à Toulouse (Sud ouest de la France), ville qui abritera un c entre de contrôle de deux instruments de la mission Mars Science Laboratory.
«C'est une énorme émotion, après tant de suspense», s'est exclamé un responsable du Centre national d'études spatiales (Cnes), Marc Pircher.

«Maintenant, l'aventure scientifique va commencer», a lancé M. Pricher également directeur du Centre spatial de Toulouse où sera installé le Fimoc (French Instrument Mars Operation Centre), chargé de gérer en direct deux outils français à bord de Curiosity, ChemCam et le chromatographe de SAM-GC.

Dès 06H30 du matin, les passionnés de l'espace ont rempli toutes les salles de la Cité de l'Espace où étaient diffusés les images de la Nasa et les commentaires des spécialistes invités sur un plateau reproduisant un paysage martien.

Le soulagement se lisait sur le visage de Martin Giard, directeur de l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap), unité mixte de recherche du CNRS et de l'université Paul-Sabatier de Toulouse: son laboratoire a conçu et réalisé la ChemCam (Chemical Camera), outil qui permettra de diriger Curiosity vers les cibles les plus intéressantes.

«Nous sommes dans l'expectative, la grande émotion, ce sera quand Curiosity enverra les premières données» indiquant que l'instrument fonctionne, dans quelques jours, a-t-il dit à l'AFP, tout en se félicitant de l'atterrissage: «C'est fabuleux».

Armelle Maurice a de la peine à cacher son émotion: son mari, Sylvestre Maurice, avait eu l'idée du Chemcam et a dirigé tout son développement. «C'est un soulagement, un moment de bonheur», s'exclame-t-elle. «C'est dix ans de travail avant le lancement vers Mars et dix ans pour la suite», rappelle-t-elle.

Son mari, Sylvestre, a suivi du Jet Propulsion Laboratory de Pasadena (Californie) l'arrivée de «son» instrument sur Mars, et il y attendra ses premiers signe de vie.

La suite de la mission de Curiosity sera retransmise en permanence à la Cité de l'Espace, qui présente jusqu'à fin août 2013 une exposition «Explorez Mars» où il est possible de voir une réplique du robot de 900 kilos, et manier à distance le mât portant ChemCam.

AFP
08:44

Un des responsables de la mission a distribué des barres chocolatées Mars à ses équipes. On a pas perdu le sens de l'humour du côté de Pasadena.
08:42

Le point par l'Agence France Presse: «Curiosity ouvre une nouvelle ère d'exploration de Mars»

Le robot Curiosity s'est posé lundi avec succès sur Mars, un exploit et un soulagement pour la Nasa, qui n'avait jamais envoyé un robot aussi perfectionné sur une autre planète, ouvrant ainsi une nouvelle ère d'exploration de la planète rouge.

Le robot s'est posé peu après 05H31 GMT lundi. «Le contact (avec le sol) est confirmé», a annoncé un membre de le mission de contrôle, au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de Pasadena (Californie), à l'est de Los Angeles.

Les membres de la mission de contrôle ont explosé de joie à l'annonce de l'atterrissage du robot, au terme d'une descente de sept minutes extrêmement délicate, qui semble s'être déroulée exactement selon le plan prévu.

Le président américain Barack Obama a immédiatement salué l'atterrissage de Curiosity comme «un exploit technologique sans précédent».

Peu avant O5H30 GMT (22H30 dimanche soir en Californie), la mission de contrôle avait annoncé avoir reçu un premier signal du robot, juste avant son entrée dans l'atmosphère de la planète rouge, avant de confirmer qu'il avait déployé correctement son parachute -- deux signes extrêmement encourageants.

Juste après l'atterrissage, entre les rires et les applaudissements, un des responsables de la mission a distribué des barres chocolatées Mars à ses équipes, dont les membres s'embrassaient et se félicitaient les uns les autres.

Le soulagement a été suivi d'une seconde explosion de joie lorsque le robot a envoyé une première photo, d'une étonnante clarté, de son ombre portée sur le sol martien, juste après son atterrissage.

Charles Bolden, l'administrateur de la Nasa a estimé que c'était «un grand jour pour la nation (américaine), un grand jour pour tous nos partenaires qui ont (du matériel) sur Curiosity et un grand jour pour le peuple américain».

Le conseiller scientifique du président Obama, Jon Holdren, interrogé sur par le canal de TV interne de la Nasa, a affirmé pour sa part que l'arrivée de Curiosity sur Mars -- une mission d'un coût de 2,5 milliards de dollars -- constituait «un énorme pas en avant dans l'exploration des planètes».

«Personne n'avait fait quelque chose comme cela. Nous sommes de fait le seul pays à avoir fait atterrir (des robots) sur une autre planète», a-t-il ajouté.

«Mais ce robot est beaucoup plus gros (que les précédents), a beaucoup plus de capacités et était beaucoup plus compliqué à faire amener» sur Mars. «C'est une performance incroyable», a-t-il dit.

Curiosity -- si tout continue à se passer comme prévu -- vient en effet allonger la liste des missions martiennes américaines réussies, après Viking 1 et 2 (1976), Pathfinder (1997) Mars Exploration Rovers (2004) ou Phoenix (2008).

La tâche qui attend maintenant ce robot de 900 kg, de la taille d'une voiture et à la vague allure de cyclope -- avec le large objectif de l'une de ses 17 caméras monté sur un mât à deux mètres du sol -- est colossale.

Alimenté par un générateur nucléaire, il tentera de découvrir si l'environnement martien a pu être propice au développement de la vie microbienne.

Pour cela, Curiosity possède de nombreux outils -- certains de conception et de fabrication françaises --, notamment un mât avec des caméras à haute définition et un laser pour étudier des cibles jusqu'à sept mètres.

D'autres instruments scruteront l'environnement pour y chercher des molécules de méthane, un gaz souvent lié à la présence de la vie, déjà détecté sur Mars à certaines saisons par un orbiteur américain. Le robot pourra aussi faire des prélèvements en perçant le sol, et les analyser.
08:13



L'explosion de joie au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de Pasadena en Californie.
08:07

La première image de «Curiosity» en basse résolution.



Les images en haute définition et en couleur arriveront dans quelques jours.
08:07

Il s'agit d'un «exploit technologique sans précédent» selon le président américain Barack Obama.
08:07

«Curiosity» se serait posé 250 mètres du meilleur endroit possible dans le cratère de Gale. Tout ça après un voyage de 500 millions de kilomètres. Une précision ahurissante.
07:52

Dan Limondi (Nasa): «Curiosity va déterminer si Mars est, ou a été, habitable»

Une question posée à Dan Limondi par «20minutes.fr»

Il faudra patienter 48 heures pour les premiers clichés couleur et en haute-résolution. Quel type de paysage verra-t-on?

Le cratère de Gale est le plus beau site d'atterrissage sur lequel un robot s'est jamais posé. Le lieu retenu était cinq fois plus petit que lors des précédentes mission. Il s'agit d'une ellipse de la taille de Manhattan. Lors de sa descente, Curiosity a pu admirer un magnifique dôme de 5 km de haut, passer juste à coté du bord du cratère et se poser sur une portion plane.
07:52

Le point par l'Agence Télégraphique Suisse:

Le robot Curiosity s'est posé avec succès sur la planète Mars, ont annoncé dimanche soir (soit lundi matin en Suisse) les équipes de la Nasa à Pasadena (Californie). Il doit désormais vérifier si la Planète rouge n'abrite pas de traces de constituants de la vie.

Le robot s'est posé lundi peu après 07H31 heure suisse. «Le contact (avec le sol) est confirmé», a annoncé un membre de le mission de contrôle, au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de Pasadena, à l'est de Los Angeles.

Curiosity, mastodonte d'une tonne se déplaçant sur six roues, s'est posé non loin d'une haute montagne constituée de couches de sédiments, le Mont Sharp, qui se dresse sur une hauteur de 5 km au milieu du cratère de Gale, cuvette vraisemblablement formée lors de la chute d'un astéroïde ou d'une comète il y a 3,5 à 4 milliards d'années.
07:40

Maintenant tout le monde espère que le rover est vraiment en très bon état. Les scientifiques vont devoir s'activer et tester toutes les fonctions de «Curiosity». Le gros du travail peut donc commencer.
07:37

Larmes et cris de joie résonnent au JPL de la NASA. Dix ans de doute et de travail ressortent chez les collaborateurs scientifiques. Bravo à eux.
07:32

C'est bon! Tout s'est bien passé! «Curiosity» est sur place!
07:31

Apparemment la descente se passe tout à fait correctement.
07:31

Le radar de «Curiosity» fonctionne, le fonctionnement du moteur est bon.
07:25

C'est la folie dans le centre de la NASA la tension est palpable. La parachute est ouvert selon l'heure terrestre!
07:22

Les scientifiques reçoivent le signaux de «Curiosity» qui entre dans l'atmosphère. Apparemment, ça chauffe très fort.
07:22

Les martiens sont donc les seuls à savoir si la mission est un succès!
07:12

L'instant est crucial. En ce moment, la «grue» vient de déposer «Curiosity» sur Mars. Nous saurons dans environ 15 minutes si la mission est un succès.
07:10

Théoriquement, «Curiosity » vient d'entrer dans l'atmosphère martienne! Le suspense est à son comble!
07:01

La vieille sonde «Mars Odyssey» est bien en place pour donner des informations de télémétries transmises par «Curiosity». Une très bonne nouvelle selon les scientifiques.
07:01

La capsule qui transporte le rover «Curiosity» n'émet désormais plus de signal. C'est normal, la capsule est désormais autonome car elle ne pourrait de toute manière plus recevoir d'ordre de la Terre. Les premiers applaudissements ont résonné au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA en Californie.
06:54

Il s'agit de la 41e mission vers Mars. Il n'y a que 14 opérations qui ont été un succès. Voilà pourquoi cette mission est spécialement risquée.
06:41

La signal vidéo se met en place du côté de la Cité de l'Espace à Toulouse. Vous pouvez activer le player en haut de cette page.
06:14

L'atterrissage sur Mars est prévu à 7h18 heure suisse. Signal reçu à 7h31 sur Terre. Soit 14 minutes de suspense total!
05:58

Distance de Mars : 25509 km, moins d'1h30 avant l'atterrissage.
05:53

Le marocain Kamal Oudrhiri, chef de l’équipe Radio Science de la NASA, sera la première personne à confirmer l’atterrissage de Curiosity sur Mars. L'homme déclare n'avoir "jamais été aussi stressé de toute ma carrière, pourtant j’ai travaillé sur plusieurs missions d’exploration mais aujourd’hui, tous ceux qui travaillent sur cette mission ont davantage de pression parce que le risque est plus élevé."

"C’est une responsabilité immense : pour rassembler les instruments nécessaires à la mission, il a fallu mutiplier la taille du robot par 5, alors que quand on multiplie la masse d’un robot par 2, on multiplie les risques par 100.

On n’a pas droit à l’erreur. Il faudra passer en 7 minutes de 21.000 km/h à 0 km/h pour réussir l’atterrissage. On est en train de lancer un nouveau système d’atterrissage, or il faut savoir que 60% des missions sur Mars ont échoué jusqu’ici."

Propos recueillis sur aufaitmaroc.com
05:42

Actuellement Curiosity file à une vitesse de 3600 mètres par seconde.
05:37

Un lien vers le simulateur de vol en temps réel de la NASA.
05:32

Twitter commence à s'enflammer, vous pouvez suivre les dernières nouvelles en utilisant le hashtag #msl_fr.
04:32

La plongée dans l'atmosphère martienne créera une coupure de contact de 7 minutes entre le plus gros robot jamais envoyé sur la planète rouge et ses créateurs sur Terre.
04:28

Il faut savoir que l'opération est très risquée. Malgré une dizaine d'année de développement et la mobilisation de milliers de scientifiques, il n'est pas du tout certain que Curiosity arrive sur Mars, après ses 8 mois et demi de voyage, en un seul morceau.
04:27

Voici une liste de diverses vidéo montrant les différentes caractéristiques techniques de Curiosity.
04:21

Une autre vidéo de teasing de l'arrivée de Curiosity sur Mars (en anglais). Publiée sur space.com

04:12

Une animation à couper le souffle de ce qui devrait être le bon déroulement de l'arrivée de Curiosity sur Mars


Animation : l'atterrissage du rover Curiosity par CNES
04:00



Quelques vidéos pour mieux situer la mission MSL





MSL : percer les secrets de la planète rouge par CNES


Que va faire Curiosity sur Mars? L'analyse des roches


A la recherche de la vie perdue par CNES


Les coulisses des laboratoires français


Les coulisses de la mission MSL par CNES


Une maquette a l'échelle 1:1 de Curiosity


Explorez Mars avec le rover Curiosity par CNES
03:59

Bienvenue sur le site 20minutes.ch et merci de suivre avec nous l'arrivée du robot Curiosity sur la surface de la planète Mars.