Le stylo anti-agression - Bien plus discret qu'une bombe lacrymogène, ce stylo (qui écrit vraiment) neutralise l'agresseur grâce à son réservoir contenant une formule puissante au poivre. Il suffit de retirer le capuchon et de presser le bouton tout en orientant le jet grâce à un "témoin d'orientation".Par Morgane Tapia
© DR (Capture d'écran)
L'application Circle of 6 - L'application américaine Circle of 6 permet de contacter très rapidement six proches dans une situation problématique ou à risque et possède un bouton d'alerte qui contacte instantanément deux lignes de sécurité nationale aux États-Unis ainsi qu'une troisième préalablement choisie par l'utilisateur.
Par Morgane Tapia © DR (Capture d'écran)
L'application Bsafe - L'application Bsafe, en plus des options que possède Circle of 6, donne la possibilité aux personnes contactées de tracer en direct les déplacements de la potentielle victime ou encore de déclencher un appel simulé, pour se sortir d'une situation compliquée.
Par Morgane Tapia © DR (Capture d'écran)
La montre anti-viol.
À la suite de la sauvage agression d'une étudiante dans un bus en décembre dernier à New Delhi, le gouvernement indien a demandé à une société d'État de produire une arme contre le viol : une montre capable d'alerter des proches et la police en cas de danger imminent. Dotée d'un GPS pour tracer la victime, la montre possède une mini-caméra capable d'enregistrer trente minutes de vidéo. ParMorgane Tapia © DR (Photo d'illustration)
À la suite de la sauvage agression d'une étudiante dans un bus en décembre dernier à New Delhi, le gouvernement indien a demandé à une société d'État de produire une arme contre le viol : une montre capable d'alerter des proches et la police en cas de danger imminent. Dotée d'un GPS pour tracer la victime, la montre possède une mini-caméra capable d'enregistrer trente minutes de vidéo. Par
La veste No contact.
Des chercheurs du MIT (l'institut de technologie du Massachusetts) ont créé une veste "anti-agression" qui possède à l'extrémité d'une de ses manches un petit connecteur qu'il suffit de presser pour que l'extérieur du vêtement s'électrifie et envoie une puissante décharge de 80 000 volts qui immobilisera l'agresseur.
Des chercheurs du MIT (l'institut de technologie du Massachusetts) ont créé une veste "anti-agression" qui possède à l'extrémité d'une de ses manches un petit connecteur qu'il suffit de presser pour que l'extérieur du vêtement s'électrifie et envoie une puissante décharge de 80 000 volts qui immobilisera l'agresseur.
Par Morgane Tapia © DR (Capture d'écran)
Le soutien-gorge "taser"
Des étudiants indiens ont créé de la lingerie électrique pour lutter contre le viol : le vêtement peut délivrer jusqu'à 82 décharges électriques de 3 800 kilovolts et prévenir les services de police en cas d'agression.
Des étudiants indiens ont créé de la lingerie électrique pour lutter contre le viol : le vêtement peut délivrer jusqu'à 82 décharges électriques de 3 800 kilovolts et prévenir les services de police en cas d'agression.
Par Morgane Tapia © DR (Capture d'écran)
Le verre détecteur de drogue
Mike Abramson, qui a fondé la société Drink Savyy, a inventé le verre en plastique anti-viol qui détecte la présence des trois principales drogues utilisées par les violeurs, à savoir le GHB, la kétamine et le rohypnol. Les parois du verre se colorent en présence de ces substances.
Mike Abramson, qui a fondé la société Drink Savyy, a inventé le verre en plastique anti-viol qui détecte la présence des trois principales drogues utilisées par les violeurs, à savoir le GHB, la kétamine et le rohypnol. Les parois du verre se colorent en présence de ces substances.
Par Morgane Tapia © DR (Capture d'écran)
Le préservatif RapeX
Une Sud-Africaine a inventé le RapeX, un préservatif féminin un peu spécial muni de petites dents pointues destinées à harponner le pénis de l'agresseur. Seul un médecin est capable de retirer les crochets du sexe de l'assaillant et peut donc dénoncer l'agresseur aux autorités.
Une Sud-Africaine a inventé le RapeX, un préservatif féminin un peu spécial muni de petites dents pointues destinées à harponner le pénis de l'agresseur. Seul un médecin est capable de retirer les crochets du sexe de l'assaillant et peut donc dénoncer l'agresseur aux autorités.
Par Morgane Tapia © AFP
Egger Ph.