Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

vendredi 17 janvier 2014

Fin du boycott des pharmacies BENU. Bravo a toutes les personnes qui ont participé, la victoire est totale !


Les pharmacies Benu forment une assistante en pharmacie sur trois dans le canton de Fribourg. 


Volte-face du groupe de pharmacies Benu, basé à Villars-sur-Glâne (FR), qui revient sur sa décision de ne plus former d'apprenties, selon une information de La Liberté.

L'information fait la une de la Liberté de Fribourg : la chaîne de pharmacies Benu revient sur sa décision de ne plus engager d'apprenties. Ses dirigeants l'ont annoncé dans une lettre adressée aux autorités fribourgeoises et valaisannes. Il faut rappeler que la décision du groupe Benu avait soulevé l'année dernière une vague de protestations, d'indignation et même une campagne de boycott. Le conseiller fédéral et ministre de l'Économie Johann Schneider Amman s'était même fendu d'un blâme à la direction du groupe.

Les pharmacies Benu, basées à Villars-sur-Glâne (FR), continueront à engager des apprenties. Le groupe revient en arrière sur sa décision prise fin 2013 de renoncer pour des motifs économiques à former des assistantes en pharmacie, selon une information publiée vendredi dans La Liberté.

Le quotidien fribourgeois cite un courrier adressé par la direction de la chaîne à la Direction de l'économie et de l'emploi du canton de Fribourg, dans lequel il fait part de sa décision de poursuivre la formation et continuer à engager des apprenties.

Importantes pressions politiques et médiatiques

Le groupe forme actuellement une assistante en pharmacie sur trois dans le canton. Il a subi, à la suite de son annonce, d'importantes pressions politiques et médiatiques, ainsi que le boycott (lancé sur Internet) de ses pharmacies, qui ont fait reconsidérer sa position.

Le nombre de nouvelles engagées, encore inconnu, pourrait néanmoins diminuer.