Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 21 janvier 2014

Plus d'un homme sur deux (55 %) et près d'une femme sur trois (32 %) admettent avoir été infidèles


Plus d'un homme sur deux (55 %) et près d'une femme sur trois (32 %) admettent avoir été infidèles, un comportement en très nette progression depuis les années 70, selon une enquête en ligne de l'Ifop. La proportion de personnes ayant déjà été infidèles au cours de leur vie a progressé de manière continue au cours des 40 dernières années, passant de 19 % en 1970 à 30 % en 2001 pour s'élever désormais à 43 %, souligne l'enquête réalisée pour Gleeden, site de rencontres extraconjugales.

L'infidélité est plus forte à gauche (46 %) qu'à droite (40 %). Les hommes les plus âgés et les plus aisés (66 % des plus de 50 ans et 53 % CSP+) se distinguent "par une plus grande expérimentation des comportements extra-conjugaux". Sans aller jusqu'à passer à l'acte, une personne sur deux (46 %) a déjà embrassé quelqu'un d'autre que son partenaire et 50 % admettent s'être déjà livrés à un jeu de séduction à caractère adultérin.

"Embrasser, c'est tromper"

Les fantasmes ont le vent en poupe : 3 hommes sur 4 (76 %) et 2 femmes sur 3 (67 %) ont rêvé de faire l'amour avec quelqu'un d'autre que leur partenaire et un tiers des personnes (32 %) a déjà eu un rapport en pensant à une autre personne que son partenaire. Selon l'enquête, deux femmes sur trois estiment qu'"embrasser, c'est tromper". 57 % des deux sexes considèrent qu'échanger des messages coquins est déjà une forme d'infidélité.

Malgré la progression de l'infidélité, 68 % des personnes croient encore possible de rester fidèle toute une vie à la même personne. 63 % des personnes (contre 53 % en 2010) vivant en couple partage jugent qu'on peut aimer quelqu'un tout en lui étant infidèle. Pour François Kraus, directeur d'études au département opinion de l'Ifop, "un des principaux enseignements de l'enquête tient dans la perception toujours différenciée de la fidélité entre hommes et femmes : ces dernières acceptant toujours beaucoup moins ces écarts de conduite que les hommes".

Le sondage a été réalisé du 7 au 9 janvier auprès de 804 individus, selon la méthode des quotas.