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dimanche 9 mars 2014

JFK, le président à la la sexualité compulsive


Le président John F. Kennedy est tombé sous les balles à Dallas en novembre 1963. Il incarne toujours, pour de nombreux admirateurs, la probité, l’idéalisme et les valeurs morales.Tout cela n’est que mensonge et hypocrisie.

Le président, avec sa femme et ses enfants à Hyannisport, Massachusetts en 1963.
 (Photo: Corbis)



«Power is the ultimate aphrodisiac», dira un jour Henry Kissinger. Non seulement Kennedy devient, en accédant à la Maison-Blanche, l’homme le plus puissant du monde, mais il est aussi riche, charismatique, séduisant et charmeur. Peu de femmes résistent à une telle combinaison gagnante.

À 17 ans, John Kennedy contracte sa première MTS dans un bordel de Harlem où il s’est aventuré avec un copain de classe. Durant toute sa vie, sa consommation régulière de prostituées lui cause constamment de nouvelles infections, qu’il transmet souvent à ses partenaires sexuelles. Il a la réputation d’être un amant décevant.

À cause des maux de dos qui l’affligent, sa façon favorite de faire l’amour est étendu sur le dos, sa partenaire empalée sur son sexe. L’une de ses conquêtes assure qu’il n’est pas extraordinaire au lit, mais qu’il compense par son charme et son humour. Il prend du plaisir mais en donne rarement. Les femmes ne sont là que pour le satisfaire. Kennedy, qui adore baiser avec plusieurs femmes à la fois, considère ne pas avoir possédé une femme tant qu’il ne l’a pas pénétrée des trois façons: vaginale, orale et anale.

Quelques mois avant l’élection présidentielle de 1960, le sénateur Kennedy, membre du conseil de l’Université Harvard, séduit une étudiante de 19 ans de l’institution. Quand il veut se la faire après des réunions du conseil de l’Université, il envoie son chauffeur en limousine la chercher à son dortoir. Après son élection, il la fait nommer assistante spéciale de son conseiller à la sécurité nationale, McGeorge Bundy. Des décennies plus tard, elle confie comment, étudiante en histoire des États-Unis, elle était impressionnée de se faire baiser par un président dans la chambre d’Abraham Lincoln, qui servait de salle de jeux sexuels à Kennedy.

Moins de deux heures avant le célèbre débat télévisé qui l’oppose à Nixon lors des présidentielles de 1960, Kennedy saute une prostituée. Comme le débat se révèle un franc succès pour lui, il exige, de ses organisateurs, les services de prostituées avant tous ses autres débats télévisés. Kennedy affirme qu’il ne peut relaxer s’il n’a pas de relations sexuelles quotidiennes. Avec des femmes différentes, si possible. Durant ses déplacements à travers les États-Unis, les politiciens locaux et les permanents du Parti démocrate lui en fournissent: des call-girls ou des volontaires sans but lucratif qui veulent connaître le frisson de se faire monter par Kennedy.

Son beau-frère, l’acteur Peter Lawford, se charge d’attirer actrices et starlettes de Hollywood dans le lit de Kennedy lorsqu’il passe à Los Angeles. Joan Crawford, Marlene Dietrich, Audrey Hepburn, Zsa Zsa Gabor, Jayne Mansfield et Angie Dickinson relèvent leurs jambes pour recevoir l’hommage tumescent de JFK. On dit que Sophia Loren est une des rares à dire non merci.

Les effeuilleuses les plus connues de l’époque, Tempest Storm et Blaze Starr, vont connaître l’impétuosité du désir kennedyien. Starr raconte dans ses mémoires s’être fait saillir à quatre pattes par Kennedy en 1960 dans une penderie, pendant que son amant, le gouverneur Earl Long de la Louisiane, accueillait des invités dans la pièce voisine. «Aucune femme n’était hors limite pour Jack, affirme son ami le sénateur George Smathers, pas votre épouse, pas votre sœur, pas même votre mère.» On dit qu’il a même séduit sa belle-sœur, la princesse Lee Radziwill, pendant que sa femme Jacqueline accouchait de sa fille Caroline à l’hôpital.

Kennedy est accro aux amphétamines. Il consomme aussi des drogues antidouleur, des somnifères et des calmants. La peintre Mary Pinchot Meyer affirme avoir fumé de la marijuana avec lui à la Maison-Blanche avant de faire l’amour.

JFK et Marilyn Monroe, les coïts de deux mythes

Marilyn Monroe, qui chante le fameux «Happy Birthday» en 1962.
 (Photo: Corbis)


JFK forme avec Marilyn Monroe le couple d’amants le plus célèbre de l’histoire des États-Unis. Sa liaison avec la plantureuse blonde platine (elle se teint aussi le pubis) commence en 1960. C’est Frank Sinatra, un de ses amants, qui la refile à Kennedy. Tout le monde a vu leur fameuse apparition commune en public en mai 1962 au Madison Square Garden de New York lors du 45e anniversaire de Kennedy. 



Dans une robe qu’on lui a probablement cousue sur le dos tellement elle est moulante, Monroe, soûle et hébétée, lui chante en susurrant «Happy Birthday Mister President». Sa femme Jacqueline n’est pas sur place.

Robert Kennedy, le frère du président et son attorney general, baise aussi Marilyn. Il la prend pour la première fois dans une voiture stationnée devant la maison de Lawford. Bobby est amoureux d’elle, mais ce n’est pas réciproque. Elle aime follement John. 

Âgée de 36 ans, Monroe a de graves problèmes psychoaffectifs qu’elle soulage avec des barbituriques et de l’alcool. À 30 ans, elle a déjà subi 13 avortements. Engrossée par Kennedy, elle se fait entre autres avorter au Mexique.

Les notes de son psychiatre indiquent qu’elle a de la difficulté à atteindre l’orgasme. Elle confie à une amie que souvent les hommes qu’elle veut séduire sont tellement impressionnés de baiser avec elle qu’une fois au lit, ils sont incapables de bander.

Question de standing, Marilyn veut absolument, elle aussi, se faire sauter à la Maison-Blanche. Compte tenu de sa notoriété, cela est impossible. Kennedy tente de la raisonner. Parce qu’elle est devenue, à l’été de 1962, un risque grave pour lui à cause de son instabilité émotive, on l’avertit que le président ne veut plus la voir. 

Marilyn plonge dans une dépression. Elle menace semble-t-il de rendre publique sa liaison avec les deux Kennedy. Sa mort, attribuée à une surdose de somnifères, est considérée comme un suicide. Plusieurs y voient l’œuvre des deux Kennedy.

Tout en baisant avec Marilyn, JFK déverse ses excès de sperme dans Judith Campbell Exner, une magnifique Californienne âgée de 25 ans qu’il a reçue en cadeau de son ami Frank Sinatra. Ultra-macho, le crooner aime offrir certaines de ses conquêtes à ses copains, comme on offre des bons cigares.

Un mois après leur première séance amoureuse, Kennedy demande à Judith d’aller porter une sacoche contenant 250 000 $ au parrain de la mafia de Chicago, Sam Giancana, pour qu’il lui assure sa victoire aux primaires de l’Illinois contre son principal adversaire démocrate, Hubert Humphrey. Giancana, aussi un copain de Sinatra, finit lui aussi par la sauter.

En 1992, Judith Campbell Exner reconnaît à l’émission Larry King Live à CNN qu’elle a servi à plusieurs reprises d’intermédiaire entre ses deux amants. Quand Kennedy décide de recruter Giancana et la mafia pour faire assassiner Fidel Castro, c’est elle qui apporte au mafieux l’argent du contrat de meurtre.

Kennedy et Giancana se retrouvent à plusieurs reprises chez elle. Le président des États-Unis rencontre secrètement le parrain de la mafia de Chicago chez leur maîtresse commune: le renseignement explosif va parvenir à la société General Dynamics, sans doute vendu par un agent corrompu du FBI. L’avionneur fait chanter Kennedy et obtient un important contrat aéronautique.

Son F-111 se révèle un appareil si médiocre que le Pentagone réduit considérablement sa commande après la mort du président. La compagnie réalise avec l’avion des profits de 300 millions de dollars. C’est très payant de tenir un président par les couilles. Judith Campbell Exner affirme aussi avoir, à trois reprises, apporté à Kennedy de l’argent provenant d’autres entreprises californiennes voulant obtenir des contrats du gouvernement américain... mais qui ne pouvaient pas le faire chanter comme la General Dynamics.

Kennedy l’invite une vingtaine de fois à coucher à la Maison-Blanche. Un soir, il l’emmène dans une chambre où se trouve déjà une jolie brune élancée. Campbell Exner refuse la séance à trois. Le président, habitué que les femmes se soumettent à tous ses désirs, n’apprécie pas. Il espace leurs rencontres avant de rompre définitivement à l’automne de 1962. Lorsqu’elle lui dit qu’elle est enceinte de lui à la suite de leur dernier coït, le bon catholique Kennedy lui dit de contacter Giancana pour se faire avorter.

la Maison-Blanche de Kennedy était une véritable maison close

Dès que Jackie s’absente de la  Maison-Blanche, son mari la transforme en maison de débauche. Et Jackie n’y est pas souvent. Elle passe une bonne partie de son temps avec ses enfants dans une maison que le couple possède en Virginie. Elle ne revient jamais à la Maison-Blanche sans s’annoncer et quand sa femme reste plus de trois jours à Washington, Kennedy devient migraineux et maussade. 

En son absence, le président donne libre cours à ses vices. À l’heure du lunch, Kennedy s’adonne régulièrement à une partie de jambes en l’air dans la piscine de la Maison-Blanche avec deux de ses secrétaires, Priscilla Weir et Jill Cowan, âgées de 21 et de 23 ans. Surnommées «Fiddle» et «Faddle» par le Secret Service, elles n’ont d’autres fonctions que d’être les objets sexuels du président. Kennedy est aussi généreux avec ses frères Bob et Ted, qu’il invite à ses partouzes du midi.

Les séances sexuelles de midi n’assouvissent pas son besoin irrépressible de forniquer. Le soir, il reçoit des putains dans le lit de Lincoln. Le Secret Service est préoccupé par le va-et-vient de ces inconnues qui ne sont pas fouillées à leur arrivée à la Maison-Blanche. On craint qu’une de ces femmes ne le fasse chanter ou même ne tente de l’assassiner.

Kennedy aime se faire photographier en train de partouzer. Selon un agent du Secret Service qui a vu certaines de ces photos, il est parfaitement reconnaissable, malgré le petit masque noir qui recouvrait ses yeux, au milieu d’un emmêlement de formes féminines. Seymour Hersh écrit dans son livre The Dark Side of Camelot que l’imposante collection de photos pornographiques de Kennedy et d’autres documents compromettants ont été retirés du coffre-fort de son bureau par son frère Robert le jour même de son assassinat, avant que son successeur, Lyndon Johnson, arrive à la Maison-Blanche.

À l’automne 1963, lors d’une séance de sexe tumultueuse avec plusieurs femmes, Kennedy s’étire ou se déchire un muscle de l’aine. Au corset qu’il porte régulièrement à cause de son dos, s’ajoute un appareil orthopédique qui l’oblige à adopter une position verticale encore plus rigide. Certains pensent que c’est ce qui l’empêche de se pencher, réflexe normal, lorsqu’il est atteint au cou par la première balle tirée par Lee Harvey Oswald. Comme on peut le voir sur le fameux film de son assassinat, Kennedy reste raide et droit, et reçoit la balle fatale à la tête.

Ironie tragique du sort: le président, il faut le rappeler, a lui-même ordonné à la CIA d’assassiner plusieurs dirigeants politiques étrangers. Fidel Castro a survécu au contrat que Kennedy a donné à la mafia pour le tuer. Mais Patrice Lumumba au Congo, Rafael Trujillo en République dominicaine et Ngô Dinh Diêm au Vietnam sont tombés sous les balles de tueurs à sa solde par l’entremise de la CIA.

Peu avant sa mort, Kennedy a entretenu une liaison avec Ellen Rometsch, une espionne est-allemande qui avait été mariée à l’attaché militaire ouest-allemand à Washington, mais qui offrait maintenant ses services comme prostituée de luxe. Averti par le chef du FBI, J. Edgar Hoover, Robert Kennedy la fit expulser vers l’Allemagne et lui offrit beaucoup d’argent pour acheter son silence. Des républicains et des journalistes étaient au courant de l’affaire. Certains pensent que seul l’assassinat de Kennedy a évité que le scandale éclate au grand jour. 

L’un des présidents les plus aimés, les plus respectés des États-Unis était en réalité un porc lubrique prêt à sacrifier sa carrière, son honneur, son mariage et la sécurité nationale de son pays pour des séances de jambes en l’air avec n’importe quelle femme passant à sa portée. Kennedy était un politicien corrompu prêt à acheter et à se faire acheter, un chef d’État avec une morale de chef mafieux, capable de commander des assassinats comme d’autres commandent un scotch.

Bafouée et humiliée, Jackie soutient quand même son homme

Cinquante ans après la mort de John F. Kennedy, on continue d’apprendre de nouveaux détails sur sa vie sexuelle. En 2003, dans son livre An Unfinished Life, Robert Dallek révèle que, comme Bill Clinton bien après lui, Kennedy (aussi amateur de cigares) s’est offert une stagiaire de 19 ans identifiée seulement par son surnom «Mimi». 

Directrice du journal des étudiantes du Miss Porter’s School, l’alma mater de Jacqueline Kennedy, elle tombe dans l’oeil de Kennedy quand elle vient à la Maison-Blanche pour interviewer sa femme. Mimi accompagne souvent le président dans ses déplacements. En limousine et à bord d’Air Force One, elle ouvre ses cuisses au membre présidentiel ou lui prodigue des tendresses lippues. La liaison se termine quelques semaines avant l’assassinat de Kennedy.

Après avoir été identifiée comme la stagiaire du livre de Dallek par un journal, Marion «Mimi» Fahnestock, une matrone de 60 ans, administratrice d’une église presbytérienne de New York, reconnaît les faits: «De juin 1962 à novembre 1963, j’ai eu une relation sexuelle avec le président Kennedy. Durant 41 ans, je n’en ai jamais discuté et je n’en parlerai plus.» C’était en 2003. En 2011, elle publiera les détails de sa liaison sous le titre Once Upon a Secret: My Affair with President John F. Kennedy and Its Aftermath.

Jackie Kennedy sait que le travail de bureau n’est pas le fort de Mimi, qui ne sait même pas taper à la machine. Faisant visiter la Maison-Blanche à un photographe de Paris Match, elle lui montre la stagiaire et lui dit en français devant tout le monde : «Cette fille couche, semble-t-il, avec mon mari.»

La propre secrétaire de presse de Jackie, Pamela Turnure, est une des maîtresses de Kennedy. Que son mari se livre discrètement à ses pulsions sexuelles sans qu’elle en ait connaissance ne la dérange pas. Mais John Kennedy manque souvent de discrétion et cela l’humilie profondément. Lors de dîners, il disparaît souvent avec une femme qui est à sa table pour une copulation à la sauvette.

Selon Edward Klein, auteur du livre All Too Human: The Love Story of Jack and Jackie Kennedy, Jackie a une longue expérience de ce genre de comportement. Elle vient d’un milieu social fortuné où ces inconduites masculines, bien que réprouvées par les femmes, sont considérées comme normales. Son père, Jack Bouvier, était un coureur de jupon impénitent. 

Sa patience a peut-être aussi des raisons plus sonnantes et trébuchantes. On dit que Papa Joe Kennedy lui a donné un million de dollars pour la convaincre de rester avec son mari peu avant la campagne présidentielle de 1960. Un divorce aurait été fatal aux ambitions présidentielles de JFK. Son humiliation permanente la pousse à avoir ses propres aventures amoureuses, notamment avec l’héritier du fabricant d’automobiles Fiat, Gianni Agnelli. Certains la lient aussi à l’acteur de cinéma William Holden.

L'historien Arthur M. Schlesinger avait recueilli sur bandes magnétiques les confidences de Jacqueline Bouvier-Kennedy. La transcription des rubans, qui fait 500 pages, était conservée à la bibliothèque Kennedy à Boston et ne devait être rendu publique qu’en 2044, 50 ans après sa mort. En septembre 2011, Caroline Kennedy a trahi sa mère en vendant ses conversations à l’éditeur Barnes and Noble et à la chaîne ABC. Dans une voix infantile et haletante, comme si elle voulait imiter Monroe, Jackie ne dévoile rien de nouveau sur Kennedy et son époque se contentant d’écorcher au passage Lyndon Johnson, Martin Luther King et Charles de Gaulle. Fidèle à son mari volage pour l’éternité.

John Kennedy était un être sans principes et sans scrupules, un individu immoral et corrompu. Il avait la plupart des défauts de son antagoniste Richard Nixon avec en prime une sexualité débridée, compulsive et obsessionnelle. Mais, contrairement à son vieil ennemi, dont les forfaitures ont été exposées alors qu’il était au pouvoir, ce n’est que longtemps après sa mort que la vérité à son sujet a commencé à être connue. 

L’opinion publique américaine lui voue encore une immense admiration. À croire que la vérité ne peut rien contre le mythe!