Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 20 mai 2014

Facebook s'intéresse vraiment à votre vie de couple


Désormais, les utilisateurs américains du réseau disposent d'une fonction à côté des statuts amoureux non renseignés qui leur permet de réclamer l'information.

Avec un simple clic, on pourra demander des informations sur la vie amoureuse de ses amis Facebook
 © Manjunath Kiran / AFP 



Et si Facebook envahissait encore plus notre vie privée ? 

Une nouvelle application passée inaperçue est disponible depuis le 18 mai sur les "murs" Facebook des Américains, dévoile le Business Insider, qui permet d'en savoir encore plus sur ses amis. Et tant pis si certains membres souhaitaient pudiquement ne pas étaler leur vie privée sur le réseau social : les plus curieux de leurs amis peuvent désormais leur demander pourquoi. Grâce à la nouvelle fonctionnalité "ask", positionnée à côté de celle permettant de préciser son statut personnel, il est possible de demander si un ou une membre est toujours célibataire ou en couple. Le malheureux qui n'aura rien précisé recevra alors une notification.




Drague en ligne

Depuis 2004 déjà, il était possible de cliquer sur le bouton "demander" pour obtenir des informations sur l'emploi, le lieu d'habitation ou encore les études suivies à ses contacts Facebook. Le réseau social s'introduit une nouvelle fois un peu plus loin dans la vie privée de ses utilisateurs, à en devenir un site de drague capable de rivaliser avec Meetic ou Adopte un mec ?



Fort heureusement, les utilisateurs conservent le choix de communiquer ou non l'information à celui ou celle qui l'a demandée. L'option n'est pour l'instant disponible qu'aux États-Unis, mais il est certain qu'elle va donner du grain à moudre aux détracteurs de Facebook. À quand un bouton "j'aime pas" ? 


Olivier Pérou