En seconde position, après les préliminaires avec 76 % de risque d’accident, des chercheurs de l’école de médecine de l’Université de Campinas, au Brésil, ont déterminé que la "position de chevauchement”, en prenant comme exemple un couple hétérosexuel (en dépit du fait qu’il existe d’autres combinaisons possibles et communes de sexes) la femme sur le dessus, à cheval sur l’homme lui-même positionné sur le dos, est responsable de plus de la moitié des fractures du pénis. Même s’il n’est pas cassé, celle-ci (la fracture) est très douloureuse et pour rajouter à l’angoisse, toujours selon l’étude, la moitié des hommes qui subissent une fracture du pénis entende un déclic spécifique…
Arrive ensuite, en 3e position, avec 29% des fractures du pénis, la levrette. La position la plus sure (et prévisible) s’avère être la bonne vieille position du missionnaire.
A partir de l’étude (lien plus bas), ci-dessous les résultats cliniques détaillés. Les rapports hétérosexuels étaient la cause la plus fréquente de fracture (28 patients, 66,7%), suivie par la manipulation du pénis (6 patients, 14,3%) et les rapports (4 patients, 9,5%). Quatre patients (9,5%) ont choisi de maintenir la cause incertaine…
En se basant sur le graphique d’une précédente étude (Les mouvements de votre hanche (en titane) durant l’activité sexuelle), les positions 3 et 10 comportent des risques et la position 7 est la plus sûr.
Il faut garder à l’esprit que c’est une étude pour un journal appelé “Progrès en Urologie” (Advances in Urology), il semblerait donc que les personnes impliquées étaient très concentrées sur les blessures du pénis. Et rappelez-vous que tout est dans le mouvement du bassin.