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dimanche 25 janvier 2015

Le Sénat américain rejette la théorie de la responsabilité de l’homme dans le changement climatique


Les rumeurs de manipulation des données climatiques échauffaient les esprits depuis trop longtemps pour qu’elles restent encore longtemps des rumeurs.

Coup sur coup, le Sénat américain vient de rejeter deux propositions de loi qui affirmaient que l’être humain a un rôle prépondérant dans le changement climatique et le réchauffement global.

Le jeudi 22 janvier, le Sénat a rejeté deux mesures concernant le pipeline Keystone XL qui présupposent que les êtres humains sont la cause du réchauffement climatique — c’est le second vote en ce sens en moins de deux jours.

Les Sénateurs utilisent le prétexte de la construction du pipeline Keystone XL qui permettra de livrer aux Etats Unis le pétrole canadien pour mettre en doute le consensus sur le climat. Les Démocrates veulent forcer les Républicains à accepter l’idée que l’homme a un rôle majeur dans le réchauffement global.

Et jeudi, le Sénat a refusé par 56 voix contre 42 l’amendement proposé par le sénateur Bernard Sanders, un non inscrit, qui déclarait que le changement climatique est bien réel, qu’il est causé par l’homme, et qu’il va créer une catastrophe.

Puis les sénateurs ont voté par 54 voix contre 46 pour rejeter un amendement proposé par le sénateur Joe Manchin III, Démocrate de Ouest Virginie, qui stipulait également que le changement climatique d’origine humaine est réel et dévastateur, et voulait que le gouvernement investisse dans la recherche pour développer des technologies destinées à capter les émissions de carbone émises par les carburants fossile.

A la base de ces rejets se trouve pour une part un récent rapport, d’octobre 2014, publié par des chercheurs de la NASA perplexes de constater que les mers et la terre refroidissent.

Dans leur rapport, publié le 6 octobre 2014, les scientifiques de la NASA ont remarqué que tandis que les gaz à effet de serre ont continué de s’accumuler durant la première partie du 21e siècle, les températures moyennes globales ont cessé de progresser.

Les dernières mesures produites par les satellites de la Nasa et les mesures directes des températures des océans entre 2005 et 2013 « ont montré que les abysses en dessous de 2000 mètres ne se sont pas réchauffés de manière mesurable, » explique la NASA dans un communiqué.

Les découvertes représentent un défi pour les scientifiques, et l’un des co-auteurs du rapport, Josh Willis du laboratoire de propulsion à réaction de la NASA (JPL) a déclaré à titre d’excuses que la réalité du changement climatique n’est tout de même pas encore remise en question. « Le niveau de la mer continue de monter, » a déclaré Willis, et « nous sommes seulement en train de chercher à comprendre tous les petits détails » car « la combinaison des mesures de température directes et par satellites nous donne une petite idée de l’impact de la hausse des températures sur la remontée du niveau de la mer. Et la réponse est : pas grand. »

En août 2014, un chercheur du nom de Tony Heller publia un rapport accusant les climatologues d’avoir « dramatiquement modifié les relevés de température des Etats Unis pour faire paraître le passé beaucoup plus froid et le présent beaucoup plus chaud… »

Ces modification, accusait Heller sur le blog Steven Goddard, « ont refroidi 1934 et réchauffé 1998, afin de faire de 1998 l’année la plus chaude de l’histoire des Etats Unis, et non 1934. »

Ce qui a fait tousser la planète des scientifiques soutenant que l’homme est responsable du réchauffement climatique est que Heller a pris les températures brut depuis 1895 jusqu’à nos jours, et a tracer une courbe sans aucun ajustement. A l’opposé, les tenants du réchauffement climatique modifient les chiffres brut en tenant compte des emplacement, des équipements, de l’heure des relevés, des effets de la chaleur due à la croissance des villes, etc.

Heller a affirmé chiffres en mains que leurs « ajustements » ont inversé les chiffres de la réalité des températures.

Le témoignage de Heller déclencha une guerre de commentaires et attira l’attention du site The Drudge Report, du Telegraph, du Daily Caller, et de Fox News.

Quelques jours plus tard, dans la discrétion la plus totale, les chercheurs du centre national climatique (NCDC) modifiaient leurs publications et classait juillet 1936 comme le plus chaud de l’histoire connue des Etats Unis au lieu de juillet 2012 …

© Alain Leger