Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

dimanche 8 février 2015

Danemark : porte ouverte aux immigrants avec assistanat illimité


Brigitte Gabriel, présidente de "Act for America", explique de façon magistrale , et pourquoi il est grand temps de jeter le politiquement correct aux ordures.




et maintenant avec burqa




Même si la majorité des Musulmans est pacifiques, tolérants et démocrates, cela n’a aucune importance, aussi longtemps que la minorité violente, radicale et antidémocratique appelle au djihad, à la violence, à l’intolérance, au meurtre des non musulmans.

Comme cela n’eut aucune importance que certains Allemands, Russes, Chinois furent opposés aux excès du nazisme, du stalinisme, du maoïsme. Hitler, Staline et Mao réussirent quand même à exterminer plus de cent millions d’êtres humains.

Heureusement pour l’humanité, tous les Musulmans ne sont pas disposés à mettre en œuvre le programme sanguinaire de conquête, d’esclavage, d’assassinat de leur prophète, à supposer qu’ils deviennent un jour majoritaires, et s’emparent du pouvoir, rien ne nous garantit un vivre-ensemble dans l’harmonie, la justice, l’égalité, la fraternité et la paix, avec les membres de la « meilleure communauté qui soit ».

L’histoire des conquêtes musulmanes, au fil des siècles, n’est guère faite pour nous rassurer.

Les dirigeants occidentaux qui continuent à décrire l’islam comme s’il avait été inventé par l’Armée du Salut, n’aident en rien les Musulmans pacifistes, ni les peuples européens. Leur description édulcorée de l’islam constitue une véritable perversion d’un message islamique suprématiste.

S’il devait exister un lieu sur terre, où cette « approche douce » aurait dû fonctionner, c’est bien la Scandinavie. Fondamentalement, tous les immigrants, indépendamment de leur origine, de leur religion ou de leur culture, furent et sont reçus à bras ouverts.

Prenons l’exemple du Danemark

A peine arrivés dans le pays, les immigrants, une fois obtenu leur permis de séjour (et dans une certaine mesure même avant), bénéficient de tous les avantages offerts par notre Etat social : assistance médicale gratuite, éducation gratuite, logements gratuits, souvent de qualité supérieure à ceux destinés à nos pauvres, allocations sociales, apprentissage gratuit de la langue, pensions d’invalidité, retraites, égalité des droits devant la loi, etc.

Si un nouvel arrivant est incapable de subvenir aux besoins de sa femme (ou de ses femmes) et de ses nombreux enfants, car non qualifié pour trouver un travail ou n’ayant pas l’envie de travailler, pas de problème. Les contribuables veilleront à ce que l’immigrant et sa famille ne manquent de rien.

Si ce dernier souhaite partir en Syrie, rejoindre l’Etat islamique pour y accomplir son devoir de bon musulman, aucun souci pour sa famille : l’Etat subviendra à leurs besoins pendant qu’il améliorera ses talents de djihadiste en terre d’islam.

Si le soldat d’Allah en a assez d’égorger et d’enterrer des gens vivants en Syrie, il peut revenir au Danemark où il sera le bienvenu et pourra à nouveau bénéficier de tous les revenus auxquels il avait droit avant son voyage exotique.

En Suède également, les membres du gouvernement suédois se montrent tout aussi conciliants et prévenants envers les djihadistes de retour au pays, après avoir accompli leur devoir de bons et pieux musulmans : combattre pour la cause d’Allah aux côtés des égorgeurs de l’Etat islamique.

La Suède suggère qu’à leur retour de Syrie ou d’Irak, les guerriers islamiques n’ayant pas commis d’actes abominables (comment le vérifier ?) soient suivis psychologiquement, et aidés dans leur recherche d’un travail et d’un logement. Si ces braves se sont radicalisés, nous, les vilains Occidentaux, en sommes responsables, dès lors nous devons tout mettre en œuvre pour les aider à se réinsérer dans nos sociétés qu’ils détestent tant.

Magnus Norell, expert en terrorisme, fit ce commentaire, publié dans le journal « Aftonbladet » :

« Voilà une idée fantastique, si vous souhaitez favoriser le recrutement de djihadistes pour l’Etat islamique, envoyez- leur ce message: c’est bien d’agir comme vous le faites ; une fois revenu en Suède, nous vous trouverons un emploi, un logement et vous ferons suivre une thérapie, aux frais des contribuables, afin de vous réinsérer dans la société. »

Cette approche douce du retour des djihadistes islamistes a également indigné un soldat suédois Frederick Brandberg, qui effectue sa troisième mission en Afghanistan. Sa réaction fut d’abord publiée sur FB, puis relayée dans la presse :

“Dans quelques mois, écrivit Brandberg (en suédois et en anglais), je serais de retour en Suède, après avoir été déployé en Afghanistan pour lutter contre les talibans et autres factions islamistes qui mettent en péril le développement de ce malheureux pays. Mais il n’y aura aucun job, qui m’attendra à mon retour au pays. »

L’officier compara ensuite sa situation à celle des djihadistes de retour de Syrie :

“J’ai lu que Mona Sahlin, [ex-leader du parti social démocrate, actuellement responsable de la lutte contre l’extrémisme violent] et d’autres leaders politiques suédois se préoccupent de l’accueil des guerriers islamiques suédois de retour de Syrie, et élaborent des programmes spéciaux pour les aider à se réinsérer dans notre société.

Ce serait merveilleux si je pouvais aussi bénéficier d’un tel programme pour m’aider à trouver un emploi, une situation stable dans la société, dans laquelle je ne devrais pas me poser la question de savoir si je suis accepté ou non ».

Un porte-parole des forces armées suédoises a laissé ce commentaire : « Nous nous occupons des soldats quand ils sont sur le terrain. Une fois de retour, ce n’est plus notre problème… »

Tout est dit.

En Scandinavie, et certainement ailleurs en Occident, mieux vaut être un djihadiste islamiste qu’un soldat de l’armée nationale.

Le premier mène la guerre sainte contre l’Occident, coupable de tous les malheurs des musulmans, il doit être privilégié ; le second se bat pour apporter la démocratie dans un pays déchiré par la folie meurtrière des talibans, il ne fait que son devoir … à lui de se débrouiller, une fois rentré dans son pays. Quoi de plus naturel, dans nos sociétés perverties par l’inversion des valeurs.

Mais revenons au Danemark…

Existe-t-il une approche plus douce que celle appliquée par les responsables politiques danois aux immigrés musulmans ?

Et pourtant, il est rare qu’un musulman de première, deuxième ou troisième génération exprime la moindre gratitude envers les contribuables danois, ce serait plutôt l’opposé.

Quand les Musulmans se lamentent devant les médias, ils le font pour se plaindre de la façon horrible dont ils sont traités, insultés, moqués, offensés, exclus par les autochtones, cette population danoise qui leur tourne le dos.

A supposer que leurs récriminations s’avèrent exactes, cela s’expliquerait pas le fait que les Musulmans préfèrent vivre dans certains quartiers, appelés « ghettos », où ils peuvent pratiquer la charia, garder le contrôle sur leurs femmes et expulser quiconque n’est pas accepté par la communauté.

Le petit Danemark, dont la superficie est de 43.000 km2 et abrite une population d’environ 5.5 millions d’habitants, dont 300.000 sont musulmans, possède déjà 33 à 40 zones musulmanes.

Elles se sont transformées en « no-go zones » où la police et les pompiers hésitent à pénétrer par crainte d’agressions physiques. Parmi les plus « célèbres », citons les banlieues de Inner Nørrebro e Tingbjerg à Copenhague, de Vollsmose dans la ville d’Odense, et de Gellerup près d’Aarhus.

Des gangs d’immigrants – un euphémisme des médias danois pour designer les « gangs musulmans » – sont utilisés par les extrémistes religieux musulmans pour imposer la charia dans des zones résidentielles à travers le pays. Ces gangs de criminels endurcis soutiennent des imams extrémistes et des mosquées où l’on prêche la stricte application de l’islam.

Les gens craignent d’autant plus les extrémistes religieux musulmans quand ces derniers sont épaulés par des gangs, comme c’est le cas à Tingbjerg. Ils n’osent pas s’opposer aux extrémistes, car ils savent qu’ils seront battus par des criminels endurcis.

Des milliards et des milliards de couronnes ont été dépensées dans la rénovation et l’embellissement de ces quartiers afin de contrer la criminalité et les comportements anti-sociaux, supposés être provoqués par de misérables conditions de vie et de pauvreté. Mais rien n’a fonctionné et la raison est simple : les imams et autres « saints » hommes maintiennent une emprise solide sur la diaspora musulmane. Par exemple, ils parviennent à convaincre les chefs de famille de l’obligation pour les femmes d’être voilées, de se soumettre à l’homme et cela ne favorise guère l’intégration.

Il est enseigné aux imams que leur devoir est d’obéir aux ordres de Mahomet, de combattre pour la cause d’Allah, jusqu’à ce que le monde entier se plie à sa volonté. Cela serait impossible si les croyants commençaient à s’intégrer aux pays des infidèles ou s’ils imitaient leur culture. Leur seule adhésion devrait être celle à l’Oumma … Et naturellement, l’afflux constant de nouveaux immigrés musulmans aide à la réalisation de ce sinistre projet de conquête de l’Occident.

L’influence funeste des imams est une explication fondamentale de la faillite de l’intégration, non seulement au Danemark, mais partout où les imams chapeautent la situation. S’il n’y avait pas ces contrôles locaux des chaines de commandement, avec les financements des potentats arabes et des organisations prosélytes du Moyen-Orient, l’intégration pourrait peut-être partiellement réussir.

C’est du moins l’avis d’un pasteur danois luthérien qui aida les premiers Musulmans arrivés au Danemark dans les années septante, à s’intégrer.

Tout allait bien jusqu’à l’arrivée des imams qui commencèrent à sermonner les musulmans locaux, les accusant de commettre un péché mortel en devenant trop occidentalisés.

Se souvenant de la pensée luthérienne danoise, le pasteur et ses amis avaient adopté la fameuse devise du pasteur et poète danois du XIXe siècle, N.F.S. Grundvig, selon laquelle quiconque, indépendamment de sa race et de ses origines, pouvait faire partie du peuple danois s’il le souhaitait, et avait l’oreille pour la langue maternelle et la passion pour la patrie.

Les imams et leurs mécènes financiers connaissent bien cette devise et agissent en conséquence.

Ceci démontre la dangereuse futilité des exhortation d’Obama et autres leaders occidentaux appelant les autorités à collaborer avec les communautés religieuses locales (les porte-paroles autoproclamées des Musulmans).

De cette manière, les leaders occidentaux confèrent involontairement aux imams le rôle d’intermédiaire entre l’Etat et les populations musulmanes. Dès lors, la loi de l’Etat ne s’appliquera aux Musulmans que dans la mesure où les imams le permettront. Naturellement, ceci a un prix en termes de concessions culturelles, comme le droit de porter le voile islamique dans les institutions publiques, l’abolition de la viande de porc dans les cantines scolaires, les piscines séparées dans les écoles et dans les structures publiques et la construction de grandes mosquées financées par les islamistes du Moyen Orient.

L’année dernière, l’ex-imam danois, Ahmed Akkari, d’origine libanaise, avait publié un livre, intitulé : « Min afsked med islamismen » (Mon adieu à l’islamisme).

Dans ce livre, il affirmait, sans langue de bois, qu’il n’existait aucune mosquée « modérée » dans le pays et que les imams y pratiquaient la tqiyya, racontant aux Danois ce qu’ils voulaient entendre, mais prêchant un message complètement différent à leur troupeau.

Et Akkari sait de quoi il parle : il faisait partie du groupe d’imams qui firent une tournée au Moyen-Orient pour inciter les musulmans à manifester contre le Danemark en 2005-2006 après la parution des célèbres caricatures de Mahomet publiées par le Jyllands-Posten.

Depuis, Akkari s’est excusé pour les dommages causés au Danemark, mais il ne reçut aucune clémence de la part des Musulmans et dut se réfugier au Groenland pour fuir les agressions et les menaces de ses ex-frères d’armes.

L’immigration à l’échelle industrielle permet à certains de garder leur emploi

Un autre groupe trouve son intérêt dans le maintien d’une immigration de masse et dans la non intégration des immigrants, c’est celui, qui vit de l’immigration. Nous parlons ici du grand nombre d’employés de la fonction publique et de fonctionnaires des organisations humanitaires semi-privées, qui s’occupent de l’accueil et de l’intégration des étrangers. Si l’intégration devait réussir ou si les flux des demandeurs d’asile devaient s’assécher, alors ils perdraient leurs emplois.

Pour justifier leur travail, ce groupe essaye de diffuser un sentiment de culpabilité, et cet effort est soutenu par un grand nombre de journalistes et de soi disant experts qui ont bâti leurs carrière en accusant leurs compatriotes danois de racisme, d’islamophobie, de xénophobie.

Nous sommes tellement riches, déclarent-ils, et pourtant nous n’assumons pas notre responsabilité à l’égard des milliards d’êtres humains, persécutés et opprimés par la pauvreté à travers le monde.

Comment les Danois et autres peuples européens, qui n’ont jamais fait du mal à une mouche, se sont-ils vus contraints d’accepter ce fardeau, cela personne ne l’a jamais expliqué. De même, cette sorte d’auto-flagellation ne se rencontre nulle part ailleurs qu’en Occident, et cela fonctionne merveilleusement bien.

Comme Amir Taheri, l’ancien éditeur en chef du plus grand journal de Téhéran l’expliquait lors d’une conférence à Copenhague il y a quelques années, « si vous voulez intégrer de nouveaux arrivants, vous devez vous débarrasser des gens, qui vivent de l’intégration ».

L’intérêt de la classe politique de gauche à maintenir un flux ininterrompu d’immigrants, difficilement intégrables

Et que penser des politiques? Pourquoi continuent-ils à importer des Musulmans en nombre record tout en sachant pertinemment bien que toutes les tentatives d’intégration d’immigrés arrivés précédemment avaient échoués ?

Pour la gauche, l’immigration est une excellent chose. La gauche au Danemark a perdu et la guerre froide, et la fidélité de la classe ouvrière, sur laquelle elle avait reporté ses espoirs politiques.

Au début des années septante, les travailleurs de l’Etat social qu’ils avaient contribué à créer étaient satisfaits. Ils n’avaient aucune envier de rejeter l’économie capitaliste et s’embarquer dans des expériences socialistes.

La gauche ne put jamais pardonner au « prolétariat » d’avoir tourné le dos au projet socialiste en votant pour des partis de centre-droit. Il était dès lors nécessaire de disposer d’un nouveau prolétariat qui ne s’intégrerait jamais à la société bourgeoise et dont le rêve, tout comme celui de la gauche, serait de la renverser. Le nouveau prolétariat, issu de l’immigration musulmane, allait permettre la réalisation de cet « idéal » socialiste.

Dès lors, aussi longtemps, que les idéologies du multiculturalisme, du post nationalisme, de la globalisation et du relativisme culturel domineront les médias (comme c’est le cas au Danemark) rares seront les politiciens qui oseront réclamer un arrêt de l’immigration.

Jusqu’à présent, cela va bien pour la gauche. Selon un sondage réalisé auprès d’électeurs immigrés en 2010, si seuls les immigrés étaient appelés à élire le parlement danois, la gauche obtiendrait 169 sur un total de 179 sièges.

Il n’est donc pas surprenant de voir la gauche considérer avec sérénité, pour ne pas dire avec enthousiasme, un nouvel afflux massif d’immigrés du tiers monde.

Le problème est que ce genre d’immigration est destiné à détruire le système social danois que la gauche prétend protéger, défendre, et sa faillite n’est pas loin.

Mais quel politicien de gauche oserait quitter le navire et admettre que 30 ans de politique « porte ouverte » a été une erreur ?

Le vrai mystère est de comprendre pourquoi le centre-droit, à l’exception du parti du peuple danois (Dansk Folkeparti ou DF) opposé à l’immigration, a soutenu l’immigration de masse en provenance du tiers monde, sachant que peu nombreux sont les immigrés prêts à voter pour eux.

Il semblerait qu’il n’y ait aucune explication raisonnable, excepté le fait, peut-être, qu’il n’existe plus d’idéologie d’orientation nationale pour s’opposer aux idéologies envahissantes du post-nationalisme, du multiculturalisme, de la globalisation et du relativisme culturel.

Le Danemark est perdu à cause d’une folle expérience multiculturelle

Le Danemark est l’état nation européen à la plus longue histoire ininterrompue à l’intérieur de ses frontières actuelles. Au fil du temps, le Danemark a perdu de vastes territoires au profit de la Suède et de l’Allemagne, mais le cœur est resté intact. Et pourtant, il est difficile de trouver un homme politique, à l’exception des membres du Parti du Peuple danois, qui se lèverait pour affirmer que le Danemark est la patrie des Danois et que cela est ainsi depuis plus de mille ans. De même, quels politiciens de gauche auront l’honnêteté de reconnaître que le Danemark est perdu à cause d’une folle expérience multiculturelle.

Les Danois n’auront plus de patrie et leur langue et leur culture s’étioleront, jusqu’à leur disparition.

Certains signes, donnés par le centre-droit, pourraient laisser espérer qu’un changement serait en cours, mais il reste à déterminer s’il s’agit seulement d’un enfumage dans le but d’influencer les lecteurs avant les prochaines élections parlementaires.

Le temps presse pour l’ex-état démocratique du Danemark. Si, à la suite de son expérience multiculturelle des plus folles, le Danemark devenait un territoire perdu, les Danois de souche n’auront plus de patrie.

«Ta fin est proche Ô Danemark»

«Ta fin est proche Ô Danemark» – Ce message est signé Abou Sayyaf, du nom de l’organisation terroriste qui ensanglante les Philippines. La croix blanche sur fond rouge, c’est le drapeau danois.


© Rosaly