Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 26 juillet 2016

Soyons impitoyables !


Le père Jacques Hamel, 86 ans


L’horreur à Saint-Étienne-du-Rouvray, dans la banlieue de Rouen. Mardi 26 juillet, deux hommes se sont introduits dans l’église où le père Jacques Hamel, 86 ans, célébrait la messe en présence de quatre personnes, dont deux religieuses. Après avoir pris en otages les fidèles, ils ont finalement égorgé le prêtre et grièvement blessé une autre personne. Avertie par une des religieuses qui a réussi à s’échapper, la BRI est intervenue immédiatement et a abattu les deux preneurs d’otages sur le parvis. Stupeur et effroi dans l’agglomération.

Selon la police, l’un des deux hommes portait une barbe et une chéchia, le bonnet de prière musulman. Il s’agit d’un acte islamiste. L’égorgement du prêtre est, hélas, la marque de cette barbarie à laquelle les terroristes islamistes nous ont maintenant habitués.

Dans cette banlieue communiste, la présence musulmane est très importante. La présence chrétienne y est réduite à la portion congrue, et la communauté catholique, vieillissante, comporte quelques religieuses qui vivent ici au cœur d’une cité très défavorisée, au milieu de petites gens. Rien à voir, donc, avec les paroisses dynamiques et conquérantes de certains centres-villes. Ici, peu de jeunes désireux d’affirmer leur foi, mais plutôt l’archétype de l’église postconciliaire désertée dans un monde déchristianisé.

Mais certains musulmans ont compris qu’il fallait semer la terreur partout, y compris où on ne les attend pas. Quand on craint qu’ils attaquent les JMJ, ils viennent au pied d’un modeste autel trancher la gorge d’un malheureux qui devait être un des premiers à dire « pas d’amalgame » et à passer du temps avec eux. Un vieil homme resté fidèle à sa vocation, entouré de rares fidèles bien éloignés de toutes ces horreurs. La guerre islamique, c’est ça, aussi.



Ça suffit ! 

La presse évoque des « forcenés » quand il s’agit d’assassins qui agissent par haine de ce que nous sommes. Par haine des chrétiens pacifiques. Par haine de notre foi. Par haine de notre civilisation. Par haine de tout ce qui n’est pas musulman. Combien de temps, encore, allons-nous nous laisser égorger par ces fous ? Combien de temps allons-nous encore accepter la présence de ces vipères au sein de nos villes ? Combien de temps, encore, allons-nous nous appliquer à ces ordures des règles de procédure pénale édictées en temps de paix pour une nation policée ?

Ces gens nous font la guerre, comme ils l’ont faite dans tous les pays musulmans depuis, et encore aujourd’hui. S’ils portent la guerre sur notre terre, nous devons lutter contre eux avec d’autres moyens que ceux appliqués jusque-là. S’ils portent la terreur chez nous, ce n’est pas avec des hommages larmoyants et de petites bougies que nous les neutraliserons.

C’est en prenant, enfin, la mesure de ce qu’ils sont et en les combattant chez nous, au cœur de nos villes, dans les quartiers où ils vivent. Avec des moyens policiers et militaires adaptés. Combien faudra-t-il encore de martyrs et d’innocentes victimes ? Le père Hamel est mort à cause de sa foi, parce qu’il était chrétien.

Paix à son âme.

Et levons-nous contre ces barbares pour qu’il n’y ait plus de père Jacques Hamel égorgé en célébrant le sacrement du salut et de la paix éternelle offert à tout homme. Nous lui devons bien cela.





Une frontière symbolique vient d’être franchie. Attaquer une église pendant une messe, égorger le curé, ce n’était pas à Mossoul ou à Alep, mais ce matin dans la banlieue de Rouen en France.

Pour les fanatiques de l’islam, la France comme l’Europe sont perçues comme une terre, un continent, à prendre.

Désormais, la réplique doit être totale. Des mesures fortes, ordonnées autour de deux principes – celui de précaution, celui de réaction -, doivent être prises sans attendre la prochaine attaque.

11 axes pour éradiquer le terrorisme islamiste en Europe :

Principe de précaution

1 – Internement immédiat de tous les islamistes fichés.

2 – Suppression de la double nationalité, hormis pour les ressortissants européens.

3 – Fin de l’accueil de tous les migrants, à l’exception des véritables réfugiés politiques.

4 – Réforme de la nationalité : rétablissement du droit du sang et limitation des naturalisations aux cas d’assimilation.

5 – Rétablissement des peines plancher et expulsion systématique des condamnés étrangers à l’issue de leur peine de prison, et conclusion d’accords bilatéraux pour que ces étrangers purgent leur peine de prison dans leur pays.

Principe de réaction

6 – Déchéance de la nationalité pour tous les ressortissants européens qui se rendent au Moyen-Orient pour combattre au côté de l’État islamique, pour tous les terroristes ainsi que pour tous les auteurs d’apologie du terrorisme.

7 – Suspension de l’espace Schengen.

8 – Installation d’un poste de gendarmerie ou de police permanent, couplé à des moyens juridiques spécifiques et conséquents, dans les zones de « non-droit » jusqu’à complet rétablissement de la présence républicaine et française.

9 – Nouvelle réglementation sur la légitime défense pour les forces de l’ordre.

10 – Dénonciation de l’adhésion des pays aux articles de la Convention européenne des droits de l’homme qui privent la police et la justice des moyens de mener à bien leurs missions.


Egger Ph.