Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mercredi 26 juillet 2017

Les animaux ne sont pas à la fête, le 1er août


Pensez aussi à eux !



Pour les animaux, la fête nationale n'en est pas une, écrit mardi la Protection suisse des animaux (PSA) dans un communiqué. Les feux d'artifice peuvent les paniquer et les tas de bois brûlants les tuer.

A la maison comme dans la nature, les animaux ressentent les détonations des feux d'artifice comme un énorme stress, souligne la PSA. Cela vaut aussi pour les animaux de rente. Les chevaux sont particulièrement sensibles aux bruits soudains. Et leur réaction de fuite peut leur causer de graves blessures.

Ainsi, les feux d'artifice ne doivent jamais être allumés à proximité d'écuries ou d'étables, d'animaux au pâturage ou de forêts. Cela épargne leur ouïe sensible et réduit le danger d'accidents et d'incendies.

L'association de protection des animaux recommande également aux propriétaires d'animaux de ne pas les laisser seuls lors de la fête nationale. «Les détenteurs d'animaux veillent aussi à ce que l'ambiance soit le plus calme possible et qu'il y ait des endroits où ils puissent se retirer», poursuit-elle.

Animaux sauvages brûlés

La PSA conseille également de maintenir les fenêtres et les volets fermés ainsi que d'aménager un arrière-fond audio habituel chez soi (radio, TV, musique). Pendant ce temps, nos compagnons à quatre pattes ne doivent absolument pas sortir en plein air. Et les animaux craintifs ne doivent pas être consolés, car cela renforce leur insécurité.

Certains animaux sauvages, comme les hérissons, les orvets et les musaraignes, périssent chaque année dans les bûchers du 1er août, explique encore l'association. De nombreux animaux sauvages perçoivent en effet les tas de bois sec comme des abris apparemment sûrs.

ATS