Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 21 août 2018

Encore aucune décision sur la piscine olympique du Platy


La piscine olympique du Platy ressemblerait un peu à ceci. © Myrtha Pools


Le Conseil communal de Villars-sur-Glâne n’a pas encore pris de décision sur la piscine olympique du Platy. Il veut rencontrer l’association Piscine Olympique du Grand Fribourg, pour l'entendre sur la viabilité économique du projet.

Le destin de la piscine olympique couverte du Platy, à Villars-sur-Glâne, n’est pas encore scellé. Le Conseil communal n’a en effet pour l’instant pas pris de décision à son sujet. Réuni en séance lundi soir, l’exécutif villarois a opté pour une rencontre avec les représentants de l’association Piscine Olympique du Grand Fribourg (POGF), afin que celle-ci puisse lui expliquer en détail les modalités de son projet.

«L’association POGF nous a fait parvenir sa prise de position sur l’étude économique que nous avions mandatée. Elle souhaite être entendue. Nous allons donc la recevoir. Aussi aucune décision n’a-t-elle encore été prise en ce qui concerne la piscine», note Erika Schnyder, syndique de Villars-sur-Glâne.

Pour mémoire, le complexe aquatique de POGF est budgétisé à 30 millions de francs. Quant aux frais d’exploitation de l’infrastructure, ils sont évalués à 3,3 millions de francs. Or selon Jean-Noël Gex, président de POGF, l’analyse économique demandée par la commune estime que le projet n’est pas crédible. La somme de 30 millions de francs pour les coûts de construction n’est pas jugée réaliste. Et les frais d’exploitation, pour leur part, ne pourraient être couverts qu’à 90% selon l’expert.

Mais POGF n’est pas d’accord avec les conclusions de ce dernier. C’est pourquoi il a sollicité cette rencontre avec le Conseil communal. Le rendez-vous est fixé pour le début de septembre.