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jeudi 27 février 2020

Les extraits troublants d'un livre sorti en 1981


Le roman «The Eye of Darkness» raconte une histoire ressemblant étrangement à l'actuelle crise du coronavirus. Certains internautes refusent de croire à une coïncidence.



Des extraits d'un livre publié en 1981 sont en train de faire un carton sur les réseaux sociaux. Il faut dire que l'histoire racontée par l'Américain Dean Koontz dans «The Eye of Darkness» ressemble furieusement à l'actuelle crise du coronavirus. Ce roman de 312 pages raconte le parcours de Christina Evans, une maman endeuillée cherchant à comprendre ce qui est arrivé à son fils, mort un an auparavant lors d'un voyage en camping.

L'héroïne découvre finalement que le jeune homme est en fait vivant, mais qu'il est retenu dans une base militaire secrète parce qu'il a été infecté par une arme biochimique créée au centre de... Wuhan. «Un scientifique chinois nommé Li Chen a fait défection aux États-Unis, transportant une disquette de la nouvelle arme biologique chinoise la plus importante et la plus dangereuse de la dernière décennie», explique l'un des personnages du livre. Il poursuit: «Ils appellent ce truc «Wuhan-400» parce qu'il a été développé dans leurs laboratoires de RDNA à l'extérieur de la ville de Wuhan, et qu'il s'agit de la quatrième souche viable de micro-organismes artificiels créée au centre de recherche.»

Le virus décrit dans le roman a un taux de mortalité de 100%, contrairement au Covid-19, qui se situe autour de 2%. Les personnages expliquent que les Chinois avaient l'intention de l'utiliser «pour anéantir une ville ou un pays» sans qu'il soit nécessaire de procéder à une «décontamination coûteuse». «Wuhan-400 est une arme parfaite. Il n'affecte que les êtres humains. Aucune autre créature vivante ne peut la porter. Et comme la syphilis, le Wuhan-400 ne peut pas survivre plus d'une minute en dehors d'un corps humain vivant, ce qui signifie qu'il ne peut pas contaminer de façon permanente des objets ou des lieux entiers comme le font l'anthrax et d'autres micro-organismes virulents», explique un des protagonistes du roman.

La réapparition de ces extraits alimente une théorie du complot bien présente sur les réseaux sociaux, qui veut que le virus ne provient pas d'un marché de fruits de mer de la ville. En fait, il proviendrait d'un laboratoire d'armes biologiques appelé l'Institut de Virologie de Wuhan. «Ce n'était pas juste un livre mais un avertissement avec tous les détails sur le coronavirus. Ce n'est pas une coïncidence, c'est un complot. Le coronavirus est une arme», s'emporte notamment un internaute.

Interrogé par le «South China Morning Post», l'écrivain hongkongais Ho-kei explique que ce genre de «fiction-prophétie» n'était pas rare. «Si vous regardez bien, je parie que vous pouvez repérer des prophéties pour presque tous les événements», estime-t-il. Sachez encore que dans la version originale de «The Eye of Darkness», le virus venait de Russie et était nommé «Gorki-400», du nom de la ville où il a été créé. Le nom a été changé en «Wuhan-400» dans une réédition de 1989 du livre.
En 2008, une autrice américaine avait également «prédit» l'épidémie de coronavirus. Dans son livre «End Of Days: Predictions And Prophecies About The End Of The World», Sylvia Browne a écrit: «Vers 2020, une maladie grave de type pneumonie se répandra dans le monde entier, attaquant les poumons et les bronches et résistant à tous les traitements connus. Ce qui est presque plus déconcertant que la maladie elle-même, c'est qu'elle disparaîtra soudainement aussi vite qu'elle est arrivée, attaquera de nouveau 10 ans plus tard, puis disparaîtra complètement», peut-on lire.