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Le Carnaval des Bolzes est le nom donné au carnaval de la ville de Fribourg, en Suisse.
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Les Bolzes sont les habitants de la basse ville de Fribourg, du quartier de l'Auge, historiquement un quartier populaire à majorité germanophone (alors que la ville compte une majorité de francophones). Selon un organisateur du carnaval, cette fête date du Moyen Âge, de la fête des corporations. Les festivités s'étendaient alors de l'épiphanie au début du carême. Le carnaval a donc une longue tradition en basse-ville de Fribourg.
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Officiellement initiée par trois habitants de la vieille ville de Fribourg, dont deux enseignants et un patron de café. Le but était de faire renaître le carnaval à Fribourg, alors en perte de vitesse. Un personnage clé de la ville les a rejoints, Hubert Audriaz. Ce dernier construit chaque année de superbes chars, avec l’aide d'adolescents.
Officiellement initiée par trois habitants de la vieille ville de Fribourg, dont deux enseignants et un patron de café. Le but était de faire renaître le carnaval à Fribourg, alors en perte de vitesse. Un personnage clé de la ville les a rejoints, Hubert Audriaz. Ce dernier construit chaque année de superbes chars, avec l’aide d'adolescents.
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Le carnaval des Bolzes commence officiellement le samedi précédent mardi gras, par la remise de la clé du carnaval du syndic au président du carnaval. Le cortège du dimanche après-midi est la partie principale du carnaval, qui se conclut par le procès et la mise à mort du Rababou. Les chars, tirés par des tracteurs ou des Jeeps, sont suivis par leurs créateurs déguisés. Les groupes de Guggenmusik défilent parmi les chars. Les chars sont créés par des équipes d'amis, des sociétés ou des clubs. La décoration du char et les costumes sont unis par un thème.
Le carnaval des Bolzes commence officiellement le samedi précédent mardi gras, par la remise de la clé du carnaval du syndic au président du carnaval. Le cortège du dimanche après-midi est la partie principale du carnaval, qui se conclut par le procès et la mise à mort du Rababou. Les chars, tirés par des tracteurs ou des Jeeps, sont suivis par leurs créateurs déguisés. Les groupes de Guggenmusik défilent parmi les chars. Les chars sont créés par des équipes d'amis, des sociétés ou des clubs. La décoration du char et les costumes sont unis par un thème.
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Les chars se veulent souvent satiriques. Certains groupes bien équipés tirent au canon à confetti, projetant en l'air des kilos de morceaux de papier multicolores.
Les chars se veulent souvent satiriques. Certains groupes bien équipés tirent au canon à confetti, projetant en l'air des kilos de morceaux de papier multicolores.
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Le cortège s'achève sur la place du Petit-St-Jean, épicentre du carnaval, où a lieu le procès du grand Rababou, suivi de sa mise à mort. Le Rababou symbolisait autrefois le rababouêt, ou voleur de bois. Aujourd'hui, on l'appelle volontiers le «Bonhomme Hiver». Cette poupée grimaçante (de plus de 12 mètres de haut) est rendue coupable de tous les maux.
Le cortège s'achève sur la place du Petit-St-Jean, épicentre du carnaval, où a lieu le procès du grand Rababou, suivi de sa mise à mort. Le Rababou symbolisait autrefois le rababouêt, ou voleur de bois. Aujourd'hui, on l'appelle volontiers le «Bonhomme Hiver». Cette poupée grimaçante (de plus de 12 mètres de haut) est rendue coupable de tous les maux.
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Les festivités nocturnes s'étendent du vendredi au mardi soir. Le mardi est le soir le plus fréquenté et de nombreux carnavaliers ont l'habitude de prendre congé le lendemain.
Les festivités nocturnes s'étendent du vendredi au mardi soir. Le mardi est le soir le plus fréquenté et de nombreux carnavaliers ont l'habitude de prendre congé le lendemain.
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Particularité du carnaval fribourgeois, les habitants de la Place du Petit-St-Jean ouvrent leurs caves au public, qui deviennent autant de bars éphémères.
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A l'origine, le Carnaval des bolzes a été fondé par : MM. Paul Morel et Bruno Cesa un patron de café, M. André Demierre, tous trois bien sûr, habitants de la Vielle-Ville, à Fribourg. L'idée d'organiser un cortège leur est venu dans la cour de l'école en voyant tous les enfants se masquer trois semaines avant le Carnaval.
A l'origine, le Carnaval des bolzes a été fondé par : MM. Paul Morel et Bruno Cesa un patron de café, M. André Demierre, tous trois bien sûr, habitants de la Vielle-Ville, à Fribourg. L'idée d'organiser un cortège leur est venu dans la cour de l'école en voyant tous les enfants se masquer trois semaines avant le Carnaval.
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Le seul survivant de cette naissance est Bruno Cesa, qui fait partie du comité d'organisation depuis vingt-huit ans; de plus, depuis 35 ans, il construit avec ses élèves un ou deux chars. Il y a également Hubert Audriaz, qui fabrique avec l'aide de jeunes adolescents de superbes chars, qui sont toujours magiques et qui font partie du domaine des rêves. Il y a aussi les centres de loisirs et des écoles de la ville de Fribourg, des sociétés ou tout simplement une bande de joyeux copains qui participent à ce superbe Carnaval.
.La fête bat son plein tous les soirs, dans les bistrots, bars et caves du quartier de l'Auge et de la Neuveville. Les gugenmusiks invitées viennent de toute la Suisse pour animer ce cortège et, faire danser, sur des rythmes bien connus, toute la population fribourgeoise et avoisinante.
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Mais le Carnaval ne s'arrête pas là! Clou de la manifestation: après le cortège, le procès et la mise à mort par le feu du Rababou construit par les frères Curty. Le mardi gras, dernier jour de liesse avant le carême, les gosses sont à la fête avec le Carnaval des enfants.
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Egger Ph.