En Afrique du Sud, la ville de Durban a installé des toilettes sèches dans les zones où l’eau manquait. Le principe des toilettes sèches est ancien, mais revient à la mode, car elles sont écologiques, propres et permettent de produire de l’engrais avec l’azote et le phosphore de l’urine. Problème, mal vues par certains, elles sont délaissées. La municipalité envisage de racheter le précieux liquide à leur «producteur» – 4 CHF les 20 litres – afin d’encourager leur utilisation, dans un pays où 43% de la population vit avec moins de deux francs suisses par jour.
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