Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 14 janvier 2014

Les Suisses d’abord !




C’est le maître-mot de l’initiative contre l’immigration de masse, qui demande que notre pays, qui a perdu le contrôle de son immigration, en reprenne la maîtrise en imposant des contingents fixés en fonction des intérêts de notre économie, bien sûr, mais aussi et surtout en respectant un principe essentiel : la préférence nationale.

Allons-nous continuer encore longtemps à accueillir chaque année plus de 80'000 immigrés (solde migratoire) ? Surtout, le voulons-nous ? Où allons-nous les loger ? Combien de terres agricoles allons-nous devoir sacrifier pour cela ? Combien de temps encore les loyers et le prix des terrains vont-ils continuer à augmenter ? A un moment donné (et nous en sommes là, ne nous y trompons pas), sachant que l’immigration est la cause unique de la croissance démographique débridée que nous connaissons, l’immigration de masse nous pose un problème que l’on peut qualifier d’écologique : cela devient une question de préservation de notre environnement, de notre qualité de vie que de refuser de nous entasser toujours plus dans un aussi petit pays. Nous ne voulons pas d’une Suisse à 10 millions d’habitants. Nous ne voulons pas devenir minoritaires dans notre propre pays.

Choisir notre immigration, la limiter aux étrangers qui ne prennent pas le travail des Suisses et qui peuvent – et veulent – s’intégrer, est-ce trop demander ? Rester maîtres chez nous, refuser de plier l’échine devant l’Empire européen, est-ce si excessif ? Mais alors, pourquoi des pays comme la Grande-Bretagne, pourtant membre de l’Union européenne, osent-ils remettre en cause la libre circulation pour combattre les abus des aides sociales ? Pourquoi des pays réputés libéraux comme les USA, le Canada ou encore la Nouvelle-Zélande osent-ils imposer des conditions très strictes à l’immigration ?

La libre circulation, on ne le voit que trop, c’est aussi la libre circulation des criminels. 23% d’étrangers commettent 53% des infractions. Nos prisons regorgent d’étrangers. Il y a donc un lien direct entre immigration et criminalité, un lien qui nous autorise à dire que limiter l’immigration, c’est un moyen efficace de combattre la criminalité.

La libre circulation, c’est encore celle des chômeurs (le taux de chômage est presque du double parmi les ressortissants de l’UE) et de la pauvreté (un peu plus de 23% de personnes représentent près de 50% des bénéficiaires du chômage, de l’aide sociale et de l’AI). Agir sur l’immigration, c’est donc un moyen d’assainir nos assurances sociales.

Devons-nous écouter le grand patronat et ses troublants alliés de gauche lorsque ceux-ci veulent nous faire croire que notre prospérité dépendrait de manière décisive de l’immigration de masse que nous connaissons ? Dans les années 1960, le gouvernement français a écouté, notamment, les grands patrons de l’industrie automobile. Ceux-ci ont fait venir des millions de Maghrébins, qui avaient surtout deux qualités : pas chers et pas syndiqués. Des années et quelques crises de l’automobile après, qu’en reste-t-il aux Français ? Des millions de chômeurs, un déficit abyssal de la Sécu, des mosquées et des millions de musulmans qui refusent de plus en plus de s’intégrer et qui menacent jusqu’à l’identité et la sécurité de la France. Notre grande voisine, qui s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise et la décadence, nous donne l’exemple dramatique de ce que nous ne voulons pas et surtout de ce que nous pouvons éviter en limitant l’immigration de masse. Nous ne voulons pas assumer de tels coûts économiques, sociaux et culturels en cédant à la logique à court terme de capitalistes et de socialistes unis dans un même internationalisme qui ruine les nations et nous conduira, si nous ne disons pas « stop », tout droit dans l’Union européenne à laquelle nous avions échappé en 1992.

Quelques signes devraient interpeller cette belle coalition qui unit le grand patronat d’economiesuisse à la gauche syndicale. En effet, là où ceux qui savent encore ce que sont les intérêts des travailleurs (en tout cas des travailleurs suisses) sont vraiment au front, comme au Tessin, l’édifice s’est lézardé : les Verts et même les socialistes tessinois se sont ouvertement ralliés à la solution proposée par l’initiative. D’ici au 9 février, les travailleurs suisses, tous les jours en concurrence avec des immigrés ou des frontaliers, subissant la pression d’un puissant dumping salarial, pourront utilement de se demander qui défend vraiment leur intérêts.

Pour l’UDC du Valais romand, l’ASIN-Valais et le Mouvement chrétien conservateur valaisan, le choix est clair : pour que la Suisse reste aux Suisses, il faut dire OUI à l’initiative contre l’immigration de masse.

Comité valaisan contre l’immigration de masse 
Jean-Luc Addor, député, vice-président de l’UDCVR, chef de campagne
Oskar Freysinger, conseiller d’Etat et conseiller national
Pierre Michel Vergères, président de l’ASIN-Valais
Grégory Logean, député, président du MCCVs
Kevin Pellouchoud, vice-président des Jeunes UDCVR