Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mercredi 20 août 2014

La Poste se met aux timbres-poste SMS


L'essai pilote, effectué pendant un an, s'est révélé concluant pour le géant jaune: plus de 100'000 lettres ont été affranchies avec un timbre-poste SMS.

En envoyant le mot-clé «TIMBRE» au numéro «414», le client reçoit un code à reporter, manuscrit, en haut à droite de l'enveloppe avant de déposer celle-ci dans une boîte aux lettres. (photo: dr)


L'affranchissement mobile sera possible avec tous les opérateurs de téléphonie mobile, au prix de 1,20 franc le SMS, annonce La Poste mercredi dans un communiqué.

Les timbres sont destinés aux envois jusqu'à 100 grammes et deux centimètres d'épaisseur. En envoyant le mot-clé «TIMBRE» au numéro «414», le client reçoit un code à reporter, manuscrit, en haut à droite de l'enveloppe avant de déposer celle-ci dans une boîte aux lettres. Les codes sont valables une seule fois dans un délai de dix jours.

Lors du lancement du projet-pilote en septembre de l'année dernière, le Forum des consommateurs avait critiqué le prix de 1 franc 20: «tant que la Poste conserve un monopole pour le courrier, les envois de lettres en courrier A ne devraient pas dépasser 1 franc», avait alors indiqué à l'ats son directeur Michel Rudin.

L'entreprise en mains de la Confédération a par ailleurs mis en place un mécanisme de contrôle plus efficace que durant la phase de test. Il n'est plus possible de falsifier, inventer ou réutiliser un code sans avoir à payer pour le SMS, car un programme informatique lit le code inscrit sur l'enveloppe, a précisé à l'ats un porte-parole de La Poste.

L'an dernier, un journaliste voulant tester le système avait inventé un code. Il affirmait n'avoir rien eu à payer.