L’actuelle directrice de la Foire de Fribourg s’en va afin de «relever de nouveaux défis professionnels». © Vincent Murith
«On peut dire qu’à Fribourg, la foire est toute une histoire!». L’ancien conseiller d’Etat fribourgeois, Pascal Corminboeuf, a donné vendredi officiellement le coup d’envoi de la 34e édition de la Foire de Fribourg.
Pour l’occasion, pas de grands discours: le bruit des moteurs de deux roues de l’auto-moto club Le Mouret, l’un des quatre invités de cette année, a empli le chapiteau à l’entrée du bâtiment. Les motocycles ont fait une entrée pour le moins festive et ont incité les personnes présentes à entamer le parcours dans le comptoir.
«Nous avions hâte de commencer. Maintenant c’est parti!» A la tête du cortège, les membres de la commission d’organisation enchaînent les salutations. Aux stands, récemment ouverts, tout est prêt: les réchauds sur les tables, les vendeurs à leurs postes et les échantillons parés. Dans la Halle des fêtes, la scène s’anime: trois jeunes filles mettent l’ambiance avec des danses aérobiques. Dans le couloir, des visiteurs commencent une partie de bowling.
A la fin de la visite, rendez-vous aux quartiers du Fogolar Furlan. Le stand du foyer frioulan est dédié à la région du Frioul-Vénétie julienne. Et pour cause: l’inauguration coïncidait avec la journée dédiée à cette association, qui fait notamment découvrir les œuvres de l’école de mosaïque du Frioul.
Deux élèves de l’institution, Alberto, 20 ans, et Tamara, 21 ans, ne peuvent dissimuler leur enthousiasme: «Nous allons créer une mosaïque en direct dans un événement comme celui-ci pour la première fois!»
Samanta Palacios