Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

mardi 3 février 2015

L’Islande aura un temple dédié aux dieux des Vikings




L’édifice sera construit à proximité de la capitale Reykjavik. Des mariages et des funérailles y seront célébrés.

Les Islandais vont pouvoir adorer ouvertement Thor, Odin ou Frigg grâce à la construction prochaine du premier temple dédié dans ce pays aux dieux des Vikings. Des mariages et des funérailles y seront célébrés. Les enfants y recevront un nom viking et les adolescents y seront initiés à la mythologie nordique.

Le temple de forme circulaire sera enfoui à quatre mètres dans le flanc d’une colline qui domine la capitale islandaise. Il sera couronné d’un dôme de verre qui laissera filtrer la lumière du soleil.

Le culte des divinités scandinaves sur l’île a cédé le pas au christianisme il y a environ un millénaire, mais nombre d’Islandais restent attachés à une forme de paganisme, très ancré dans les traditions populaires. Y compris au moment des fêtes chrétiennes comme Noël.

«Je ne pense pas que quiconque croie qu’il existe un cyclope monté sur un cheval à huit pattes», sourit Hilmar Orn Hilmarsson, grand prêtre de l’Asatruarfelagid, une organisation qui pratique le culte des dieux nordiques. «Pour nous, ces contes sont des métaphores poétiques et une manifestation des forces de la nature et de l’esprit humain.»

L’Asatruarfelagid, basée à Reykjavik, a vu le nombre de ses membres tripler au cours de la décennie écoulée. L’an dernier, elle rassemblait 2400 personnes, sur une population totale de 330'000 Islandais.

Les adeptes du culte nordique pratiquent encore des rituels sacrificiels anciens, occasion de se réunir pour écouter des contes, jouer de la musique, manger et boire mais, signe des temps, en épargnant désormais la vie des animaux.

ATS