Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

dimanche 13 septembre 2015

Ces déserteurs que l’Europe va transformer en chômeurs…


L'Europe est devenue folle. Son sinistre président Junker, ses députés, ses assemblées, ses associations dites humanitaires, certains de ses gouvernants, présidents non plus de leur nation mais de région, ont décidé sans l’avis de leur peuple, d’ouvrir en grand les portes pour y accueillir des migrants par centaines de milliers, peut-être même par millions. Par réaction émotionnelle. Alors que des milliers d’enfants sont morts et meurent sous les bombes, la torture, il aura suffi d’une seule photo pour qu’ils s’engouffrent la tête la première dans ce qui va s’avérer être la plus grande bêtise du 21e siècle.

Dans très peu de temps, le cheval de Troie va agir. Car parmi ces migrants qui ne sont pas des réfugiés selon le code international, ils sont sans doute des centaines, à avoir été envoyés par l’État islamique pour importer la terreur sur le sol européen jusque là à peu près préservé. À croire que la photo du petit Aylan, relayé par toutes les bonnes âmes de la caste journalistique mondiale, avait été montée pour servir d’appât, pour réveiller la compassion jusque là endormie. 

Car vous l’aurez noté, parmi ces colonnes ininterrompues de migrants qui arrivent du Moyen Orient voire parfois de Libye, peu de familles, peu de femmes et d’enfants. À près de 80 % selon les chiffres officiels eux-mêmes, ce sont des hommes de 18 à 40 ans, dans la force de l’âge, costauds, portables dans la poche, habillés sommairement mais correctement, voire à la mode. Des hommes qui venus de Syrie et d’Irak, deux pays en guerre, auraient dus être incorporés dans leur armée respective. Des hommes qui lorsqu’ils sont diplômés, et plusieurs sources ont remarqué qu’ils étaient nombreux, ont abandonné un pays qui a besoin de leur savoir, un pays qui les a éduqués aux frais de la communauté et qu’ils abandonnent tout simplement.


Alors, oui, ces migrants sont en quelque sorte des déserteurs. Qui devraient être considérés comme tels par nos gouvernants et nos journalistes qui ne voient en eux que des hommes prêts à redonner à l’Europe une démographie que l’avortement et le manque de motivation ont privé de millions d’enfants.

En 1940, combien de jeunes Français ont-ils fui leur pays devant l’avancée des forces allemandes ?

En 1962, les pieds noirs ont-ils fui leur Algérie natale ou en ont-ils été expulsés ? Qui expulse ces hommes syriens et irakiens ? Daech ? Peut-être bien… en retenant en otage leur famille et en leur fournissant de quoi payer cet honteux exil ? Fuient-ils les zones de combat plutôt que de combattre l’adversaire islamiste ? Mais fuir, c’est évidemment déserter. Déserter car ils savent désormais que l’Europe brisée par l’émotion est prête à leur ouvrir les bras, ses maisons, ses avantages sociaux etc.
Encourager ces hommes seuls, dans la vigueur de leur âge, à prendre la mer, en les accueillant comme des réfugiés économiques, politiques ou je ne sais quoi, c’est édifier son propre bûcher… Et au mieux alourdir les statistiques du chômage dans chacun des pays d’accueil. On comprend mieux dès lors la position adoptée par les anciens pays de l’Est. Après 70 ans de communisme, ils ne souhaitent pas tenter une nouvelle expérience, et remplacer leurs églises par des mosquées. C’est pourtant bien le plan défendu par la classe politique française à quelques exceptions près lorsque ses dirigeants proposent de repeupler des villages vides où l’église du 12e siècle risque vite de devenir une mosquée du 21e siècle…

La vidéo que tous les migrants (réfugiés économiques) devraient visionner


Floris de Bonneville