Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

dimanche 26 juin 2016

chefs de partis français dépités après avoir rencontré Hollande




Marine Le Pen est venue pour rien

C’était ensuite au tour de Marine Le Pen, présidente du Front national (FN), de rencontrer le chef d’Etat. Au terme d’un entretien qui n’aura servi, selon elle, qu’à «entendre qu'il ne sera tenu compte d'aucun des signaux lancés pourtant depuis déjà de nombreuses années» par les peuples européens et français, elle a réitéré son appel à un référendum sur un Frexit. Ce à quoi le Président aurait répondu par la négative, «comme si nous avions utilisé un gros mot», a-t-elle ironisé.


Auteur: RT France


Sur Twitter, un observateur particulièrement attentif a souligné que la chaise du secrétaire d’Etat aux Affaires européennes Harlem Désir, bien connu pour son engagement au sein de l’association SOS Racisme, était vide lors de la rencontre avec la délégation FN. «Il était aux toilettes ?», a blagué l'internaute.



«J'avais rendez-vous avec le président, j'ai été reçu par l'assistant de Merkel»

Nicolas Dupont-Aignan, président du parti souverainiste Debout la France, a lui carrément taclé François Hollande en déclarant : «J'avais rendez-vous avec le président de la République et j'ai été reçu par l'assistant de Madame Merkel». «Il ne peut rien faire sur rien ! TAFTA, PAC, Turquie : Bruxelles décide de tout !», a-t-il déploré sur Twitter.

"Je croyais m'entretenir avec le Président de la République.  Je n'ai vu que l'assistant de Mme Merkel"


Il a indiqué avoir remis au chef de l’Etat un «traité alternatif pour une Europe des nations et de la coopération», auquel François Hollande n'aurait guère prêté attention.

Depuis que le Royaume-Uni a voté, à 51,9% en faveur d’une sortie de l’Union européenne, François Hollande appelle à un «sursaut européen», multipliant les entretiens avec les dirigeants étrangers et les hommes politiques français.