Cet article est le premier d’une série, destinée à montrer que la pensée unique concernant le réchauffement climatique anthropique est une hérésie et que la vraie pollution n’est pas le gaz carbonique, celui-ci étant indispensable à la vie. L’écologisme érigé en dogme pour d’autres thèmes écolos fera basculer l’humanité dans une régression moyenâgeuse.
Le parlement chinois vient de décider d’une taxe qui frappera les industries polluantes à partir de 2018. Ces taxes seront relativement symboliques.
Ceci a suscité de gros émois dans les rédactions de nos médias subsidiés, car la taxe chinoise ne s’appliquera pas au CO₂ ! Evidemment, les Chinois ont des connaissances scientifiques et sont pragmatiques. La logique en UE est évidemment orientée et manipulée.
Nous sommes bombardés de messages totalement mensongers depuis des années. Il n’y a plus un seul article dans les médias, plus une seule émission de radio ou de télévision ou le CO₂ n’est pas diabolisé. Tout est désormais comptabilisé en « émission de CO₂ ». C’est la grande arnaque de ce siècle.
La majorité des partis politiques ont emboîté le pas à cette idéologie, totalement « intéressée ». Eux, ont bien compris qu’avec la paranoïa distillée par les ayatollahs verts, il y avait des sommes d’argent énormes à récupérer. Une méga-extorsion des citoyens qui, si des chefs d’états clairvoyants (comme Trump) ne l’arrêtent pas, appauvrira drastiquement chacun d’entre nous, mais également bloquera à terme l’expansion de toutes les industries.
Ce gaz tant décrié est indispensable à la vie sur notre planète !
A croire que l’immense majorité des journalistes n’ont pas fait d’études et ne comprennent pas le fonctionnement élémentaire de la photosynthèse.
Il est temps de présenter une explication simplifiée du mécanisme pourtant très complexe de celle-ci : les plantes utilisant l’énergie de la lumière solaire absorbent le CO₂ atmosphérique, et le transforment en composés carbonés organiques (sucres, cellulose, bois, tissus végétaux, etc…) grâce évidement à des réactions chimiques élaborées en présence d’eau.
L’une des principales briques de construction de toute la flore; du phytoplancton marin au séquoia géant, en passant par toutes les espèces végétales que nous connaissons est le carbone issu du gaz carbonique. Bien sûr, de très nombreux éléments chimiques sont associés aux atomes de carbone, principalement des atomes d’hydrogène et d’oxygène, et bien d’autres molécules de base extraites du sol.
Ce qu’il faut en retenir : le CO₂ est « l’aliment » principal et essentiel de la flore.
Celle-ci est un immense piège pour le gaz carbonique. Il ne faut surtout pas déforester.
Pendant ce processus de la photosynthèse, de l’oxygène est rejeté. Notre oxygène, celui que nous respirons. Un autre gaz vital.
Plus il y aura de gaz carbonique, plus dense sera la flore, plus notre oxygène sera assuré.
Revenons à une série d’explications indispensables pour une clarification :
La composition de notre atmosphère est la suivante (nous avons simplifié en arrondissant les chiffres pour les trois gaz principaux (volume en %) : azote 78,1 ; oxygène ; 20,9. L’eau existe sous une forme essentiellement vapeur qui représente environ 0,25 % du volume total de l’atmosphère en retenant que ce pourcentage est très fluctuant d’une région à l’autre. La fraction restante est composée de gaz rares (dont l’argon principalement)…. et du CO₂ pour 0,039 % (en général, on parle de 390 parties par million).
Dans l’atmosphère, deux gaz sont caloporteurs (ils retiennent une certaine quantité de la chaleur déversée pour le soleil). Les zélotes de l’écologisme utilisent les mots de « gaz à effet de serre ».
Cela fait partie de leur stratégie de la peur.
Ce que les fanatiques (GIEC et autres organismes politiques pilotés) veulent faire croire: il y a un réchauffement climatique dû au CO₂ anthropique (dû aux activités de l’homme). Les vrais scientifiques non subsidiés qui ne sont pas à la botte de maîtres-chanteurs sont totalement opposés à ces idées loufoques.
S’il est vrai que le taux de CO₂ était relativement stable depuis 2.000 ans, à 280 parties par million, il a augmenté très légèrement durant le siècle écoulé (+0,011 %).
Cette différence infime n’influence que les états d’âme des écologistes. Ils s’arcboutent sur leurs dogmes.
Cette infime élévation est probablement partiellement anthropique, mais son impact sur la température est totalement biaisée par des organismes politiques comme le GIEC, qui agit avec le but de faire créer des taxes et aussi des transferts d’argent très discutables Nord-Sud.
Ceux-ci n’enrichiront d’ailleurs que les riches des pays pauvres.
Nous pourrions écrire des volumes entiers sur l’ensemble de tous les paramètres qu’il faudrait intégrer pour expliquer que s’il devait y avoir un réchauffement, ce ne serait absolument pas le CO₂ qui pourrait être en cause.
Les causes les plus probables seraient (entre autres) les cycles solaires et l’affaiblissement cyclique des champs magnétiques terrestres.
Au cours des ères géologique, le taux de CO₂ a fluctué, jusqu’à culminer à plus de 7.000 parties par millions (0,7 %), sans corrélation avec la température du globe.
Ajoutons quelques éléments à la réflexion des lecteurs :
– Il y a absorption massive de CO₂ par les océans, avec précipitations de carbonates. Les
océans régulent la teneur de ce gaz.
– La vapeur d’eau très calo porteuse possède un rôle bien plus important que celui du CO₂, curieusement personne n’en parle. Et pour cause qui oserait dire que la vapeur d’eau est nocive ?
– Le taux létal de CO₂ pour les plantes est de 150 parties par million, en dessous c’est la destruction irrémédiable de toute la flore et la fin de l’humanité.
Ajoutons que la désinformation est totale lorsque les médias montrent des cheminées aux fumées noires, alors que le gaz carbonique est incolore, inodore et insipide. Tout est bon pour faire peur aux citoyens.
Nous continuerons nos explications dans de prochains articles.
Cette diabolisation du CO₂ doit cesser. C’est tout simplement une insulte à l’intelligence.
JACQUES D’EVILLE