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vendredi 1 septembre 2017

Viols en série sur les plages de Rimini




L’Italie, submergée par l’afflux de migrants arrivés par la Méditerranée, voit des dizaines d’entre eux traîner le soir dans certains quartiers des villes du pays. La présence de ces nouveaux arrivés pose des problèmes de sécurité, notamment en matière d’agressions sexuelles.

Ce samedi 26 août 2017 au matin, une Polonaise en vacances à Rimini, une station balnéaire bien connue située sur la côte Adriatique, a été violée, sous les yeux de son compagnon, par quatre Nord-Africains.

La victime et son copain, tous deux de nationalité polonaise et âgés de 26 ans, se trouvaient sur la plage, lors d’une promenade nocturne, dans un endroit calme et mal éclairé. Des Nord-Africains leur ont proposé de la drogue, puis ont frappé plusieurs fois l’homme à la tête avec une bouteille et l’ont tabassé. Celui-ci a perdu connaissance. Les quatre agresseurs ont alors attaqué la femme et l’ont violée de manière brutale à plusieurs reprises. La victime a été jetée à l’eau après les faits. Des passants ont découvert les traces de sang et les deux victimes et ont alerté la police.

La dame se trouve à l’hôpital et doit être traitée psychologiquement. Son compagnon est également hospitalisé. Le quotidien italien La Repubblica confirme le fait que les agresseurs font partie d’un groupe de dealers nord-africains connus des services de police.

Une personne transsexuelle péruvienne a été également attaquée dans un autre endroit à Rimini par les mêmes individus et violée.

Le ministère des Affaires étrangères polonais a envoyé à Rimini un consul afin de soutenir la victime. Il a rencontré, entre autres, un adjoint du chef de la police et un membre de l’exécutif municipal responsable de la sécurité. La Pologne a envoyé un procureur en Italie afin de s’assurer que les auteurs des faits seront jugés selon le droit polonais, la Pologne préférant, si cela est possible, les faire amener sur son propre territoire afin qu’ils soient jugés là-bas.

Dans ce pays, ces criminels peuvent être frappés de peines allant jusqu’à quinze ans de prison, ce qui change du laxisme affiché par les juges d’Europe occidentale qui trouvent toutes sortes de circonstances atténuantes aux migrants délinquants.

Les agresseurs ont été arrêtés et des traces d’ADN trouvées. Divers organes de presse d’Europe occidentale qui ont relayé les faits ont « oublié », comme cela arrive souvent, de relayer l’origine des auteurs de ces faits.

Lors d’un viol commis quelques jours plus tôt sur une femme à Lloret de Mar, en Espagne, par trois hommes, l’organe de presse allemand Die Welt (« Le Monde ») avait titré qu’il s’agissait de trois Allemands alors que le célèbre quotidien espagnol El País précisait que les trois auteurs étaient de nationalité allemande et d’origine marocaine.

Encore un viol sur la plage de Rimini, un Marocain arrêté

Les Carabinieri de la ville côtière ont arrêté un Marocain de 34 ans, avec des précédents pour des crimes contre la propriété, accusés d’avoir violé une femme de 40 ans originaire de Parme. Selon les informations recueillies par les milices, le Maghrebin aurait arrêté un couple de touristes Parmigiani à 5 heures du matin sur le front de mer de Marina Centro, tous deux sous l’influence de l’alcool.

L’étranger aurait saisi le téléphone portable de la femme et l’aurait donc forcée à le suivre pour reprendre le téléphone. Une fois sur la plage, il l’aurait forcé à avoir une relation sexuelle avec lui. Pendant ce temps cependant le compagnon appela le 112 et alerta les carabiniers du danger, communiquant la position précise.

Une fois les hommes de l’Armée arrivés, ils arrêtèrent le jeune homme de 34 ans encore nu qui tentait de violer la jeune fille, le livrant en flagrant délit.

Lionel Baland